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Open-source

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SF mayor: city can save money with open source software. The San Francisco Committee on Information Technology has published a new software evaluation policy that requires departments of the city government to consider open source software solutions alongside proprietary commercial offerings. In a post on Mashable that was published this morning, San Francisco mayor Gavin Newsom says that the city's ongoing experiments with open source software have been successful at reducing costs. As one example, he cites the RecoverySF blog, which is built on the open source WordPress platform. He believes that San Francisco could significantly reduce its IT costs by adopting open source solutions more pervasively.

"Moving forward, there is an opportunity to save millions of dollars in software costs by using open source software. We are only scratching the surface. Newsom also acknowledges the value of opening city data to the public through APIs. Les DSI et l’open source, mythes et réalités – Philippe Scoffoni. Le 8 mar, 2010 • Catégorie: Entreprises, Planet-Libre Tags : adoption • entreprise • stratégie Cet article a été publié il y a 3 ans 10 mois 27 jours, il est donc possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. Cela fait bientôt un peu plus de sept ans que je suis responsable informatique après environ huit années passées dans le domaine du service et plus particulièrement du développement et de l’intégration de logiciels (propriétaire !). Durant ces sept années qui correspondent d’ailleurs avec ma découverte des logiciels libres et open source, j’ai eu le temps de me poser pas mal de questions et pas seulement technique sur le sujet.

Le document dont je vous propose ici une synthèse a été élaboré suite à la “l’Open CIO Summit, un événement organisé et animé par des décideurs informatiques afin de débattre de l’impact de l’Open Source dans la mise en œuvre et l’usage du Système d’Information.” Quels sont alors les vrais freins à l’open source ? Logiciel libre : L'analogie de la voiture. Le concept de logiciel libre n’étant pas toujours très simple à expliquer, la tentation est alors forte de lui trouver quelques comparaisons plus parlantes et signifiantes aux yeux du grand public. La plus cèlèbre d’entre elles est la comparaison dite de la recette de cuisine. Selon le principe du libre, vous avez obtenu légalement cette recette par différentes sources (des revues, le bouche à oreille…), vous avez le droit de préparer cette recette à qui vous voulez et vous pouvez la modifier puis la redistribuer comme il vous plaît.

Selon le principe du logiciel non libre, vous n’avez pas accès à la recette, mais uniquement au plat déjà fait, vous ne pouvez manger le plat que dans une seule cuisine, et personne d’autre que vous ne peut en manger. Quand bien même la recette serait fournie avec le plat, toute copie ou modification serait interdite[1] Nous vous proposons aujourd’hui une comparaison avec l’achat et l’utilisation d’une voiture[2] La comparaison avec une voiture The car analogy. Le logiciel libre est mort, longue vie à lopen source ? - Vous n’êtes pas un familier du Framablog et de ses thèmes de prédilection ? Alors ce billet risque de vous sembler destiné à une chapelle de spécialistes, susceptibles et pointilleux, toujours prompts à s’enflammer pour d’obscures querelles de clochers[1] Or, c’est peut-être plus significatif que cela. En effet, ceux qui découvrent « le logiciel libre », en ayant déjà eu du mal à saisir toute la finesse du concept, sont parfois étonnés de constater la présence d’une autre expression, qu’ils jugent de prime abord synonyme : « l’open source ».

Par exemple, l’Open World Forum 2009, qui se déroule en ce moment même à Paris, est ainsi présenté en accueil du site : « Au coeur de la révolution de l‘Open Source, l’Open World Forum 2009 permettra de cross-fertiliser les initiatives pour favoriser la croissance économique : Les logiciels libres au coeur de la relance économique ». Quant à son président, il évoque, rien que ça, un « Davos des logiciels libres et de l’innovation ouverte »[2] Le logiciel open-source se convertit à l’esprit d’entreprise- Ec. D’habitude, lorsqu’on se rend à une manifestation autour du logiciel libre, on se retrouve avec une horde d’informaticiens chevronnés qui aident les débutants à installer un système libre dans une ambiance très coca-rillettes-ordinateurs portables. Du coup, lorsqu’on lit l’adresse de l’Open World Forum, avenue George-V à Paris, à deux pas des Champs-Elysées, il y a comme un air de changement.

Dans les locaux cossus de l’Eurosites ­George-V se déroulaient, en fin de semaine dernière, des conférences et des rencontres sur le thème du logiciel libre, mais version costard-cravate. Une version qui cause chiffre d’affaires plutôt que lignes de code. Jean-Noël de Galzain, président de l’Open World Forum, assume : «C’est un événement international dans un lieu central à Paris. Si le logiciel libre attire, c’est qu’il offre des avantages évidents. Rappel historique. Dans la grande salle du rez-de-chaussée, c’est l’heure du buffet. Lire les réactions à cet article. Erwan CARIO. 9 prévisions open source pour l'année 2010. Que va-t-il se passer en 2010 dans le monde de l’open source et du logiciel libre ? Seul Nostradamux le sait. Mais le journaliste Bruce Byfield s’est tout de même risqué au jeu des prédictions dans un article que nous avons traduit avec un petit mois de retard (ouf, il était temps !). Tout comme nous, vous ne serez pas forcément d’accord sur tout.

Il va alors sans dire que les commentaires sont là pour accueillir vos critiques et vos propres plans sur la comète[1] L’open source en 2010 : Neuf prédictions Open Source in 2010: Nine Predictions Bruce Byfield - 30 décembre 2009 - Datamation(Traduction Framalang : Cheval boiteux, Martin et Olivier) Même si c’est la fin de la décennie seulement pour ceux qui ne savent pas compter, les rétrospectives semblent plus à la mode que les prédictions en ces derniers jours de 2009. Mais quoi d’autre ? 1. Les utilisateurs ont dû attendre longtemps pour avoir des pilotes vidéo open source aussi performant que leurs pendants propriétaires. 2. 3. 4. 5. 6. 7. . Quand l'Open Source rejoint l'univers de la mode - Num. C'est un mouvement qui a commencé par les logiciels, qui s'est prolongé par la musique, les écrits ou les vidéos, et qui continue à se développer chez les créateurs. L'open source gagne l'univers de la mode.

La maison de couture allemande Burda a lancé le mois dernier le site BurdaStyle, qui permet aux amateurs de mode de télécharger des patrons de couture "open source", qui peuvent être librement utilisés, y compris pour vendre les vêtements créés. Ils l'expliquent ainsi sur leur blog : "En créant BurdaStyle, nous avons été captivés par la philosophie 'Open Source": le partage de la propriété intellectuelle, ouverte et disponible selon les besoins spécifiques du public. L'occasion pour nous de s'attarder un peu sur le rôle de la propriété intellectuelle dans la haute-couture. Mieux, l'industrie du luxe profiterait même de la contrefaçon. Mais le Design Piracy Prohibition Act est vécu par les petits producteurs de mode, très majoritaires dans l'industrie, comme un grave danger.

L'IIPA veut-il faire de l'open source une menace aussi important. Les logiciels propriétaires n'ont décidément plus le vent en poupe. Depuis quelques années maintenant, on assiste en effet à un vrai élan migratoire vers des solutions libres, réputées plus sûres, plus évolutives et surtout moins onéreuses. Et ce phénomène n'est pas seulement localisé en Europe ou dans n'importe quel autre pays industrialisé.

Que ce soit en Inde, au Brésil ou en Indonésie, de nombreuses initiatives autour des logiciels libres se mettent en place. Même chose pour la France, avec le déploiement de Linux à l'Assemblée nationale et dans la gendarmerie (et ses 70 000 ordinateurs). Si plusieurs raisons ont été avancées pour justifier l'utilisation de la distribution Ubuntu, la première fut bien évidemment économique : "avec les logiciels libres, nous n'avons pas eu à passer de marché public sur toutes les couches. 70% sont en logiciels libres et nous économisons donc à ce jour 700 000 licences de 25 à 300 euros l'unité.

Mais tous ne sont pas ravis de cette situation. « Microsoft devra gérer une contagion du libre » Dans un environnement informatique en pleine mutation, ­Microsoft, dont le chiffre d’affaires et le ­bénéfice ont reculé en 2008 – une première ! –, est contraint à bouger. Vendredi, le géant du logiciel a dû faire une concession majeure à Bruxelles, à propos de son navigateur Explorer. Quelques jours plus tôt, il avait fait «don» à la communauté Linux du code source de 20 000 lignes ­concernant trois gestionnaires de périphériques. Un changement de cap brutal pour une firme dont le patron, Steve Ballmer, pourfendait, il y a peu, le monde du logiciel ­libre, évoquant ce « cancer anticapitaliste» . Entretien avec Alexandre Zapolsky, PDG de l’éditeur de logiciels Linagora , acteur majeur du libre. Est-ce vraiment un tournant ?

L’événement, c’est qu’ils ont choisi une licence GPL, licence totalement libre de droit, la plus couramment utilisée dans le logiciel libre. Comment définiriez-vous ce modèle «dis­ruptif» du logiciel libre et en quoi menace-t-il Microsoft ? Christophe ALIX. Logiciel Libre : la Guerre Mondiale aura bien lieu. Un évènement d’importance est passé totalement inaperçu la semaine dernière du côté des médias francophones (à l’exception notable de Numerama).

Il faut dire qu’à priori cela ne nous concerne pas puisqu’il oppose un lobby américain à l’état indonésien. Et pourtant, à l’heure de la mondialisation (de moins en moins heureuse), cet épisode est riche d’enseignements et annonce peut-être la fin de l’enfance et de l’innocence pour le logiciel libre. « Ils » veulent la guerre économique et politique ? Alors ils l’auront ! Et tant qu’Internet demeurera neutre et ouvert, « nous » ne sommes en rien assurés de la perdre, quand bien même nous n’ayons pas la puissance financière de notre côté et la capacité à mobiliser un bataillon des meilleurs avocats à notre service[1] En perdant un brin notre sang-froid, nous pourrions presque qualifier cela de « Choc des Civilisations 2.0 » ! Plantons le décor de ce qui ressemble au départ à une information trop grosse pour être vraie. Pardon ? Pourquoi Microsoft voue une haine viscérale au Cloud Computing.

(Remarque : texte plus long qu’à l’habitude) Pourquoi ce titre ? Est-ce que l’on n’entend pas chezMicrosoft tous les responsables au plus haut niveau vanter les louanges du Cloud Computing, des nouvelles offres Azure... Lors des journées Microsoft Techdays célébrées à Paris du 8 au 10 février 2010, le Cloud, sous la marque Azure, était très présent. Hugo Lunardelli est l’auteur d’un des blogs les plus «positifs» sur Microsoft ; dans son compte rendu de cette manifestation, il écrivait : «... voir Microsoft souligner qu’il était seul en mesure de proposer un continuum de solutions allant du dacatencer traditionnel au cloud computing en passant par toutes les solutions hybrides situées entre ces deux éléments.» Ce texte est tout sauf un pamphlet primaire «anti Microsoft». La décennie Cloud a démarré en 2010 ; ce n’est pas demain matin que ses impacts vont s’en faire sentir à plein, mais on en voit déjà les premiers résultats. Et ce n’est qu’un début ... Alors, pourquoi s’inquiéter ?

When using open source makes you an enemy of the state | Technol. It's only Tuesday and already it's been an interesting week for the world of digital rights. Not only did the British government changed the wording around its controversial 'three strikes' proposals, but the secretive anti-counterfeiting treaty, Acta, was back in the headlines.

Meanwhile, a US judge is still deliberating over the Google book settlement. As if all that wasn't enough, here's another brick to add to the teetering tower of news, courtesy of Andres Guadamuz, a lecturer in law at the University of Edinburgh. Guadamuz has done some digging and discovered that an influential lobby group is asking the US government to basically consider open source as the equivalent of piracy - or even worse. What? What's Special 301? Now, even could argue that it's no surprise that the USTR - which is intended to encourage free market capitalism - wouldn't like free software, but really it's not quite so straightforward. Nothing wrong with that, right? From the recommendation: Damien Cuvillier » Licences Open Source. Depuis 2013 Straton IT - Responsable des développement* Développement de solutions applicatives pour l'infrastructure ITIL Compliant Lead Developer Architecture & développement Java pour un logiciel de formalisation et d'audit de connaissance R&D sur de nombreux aspects de qualification de données Scrum Master Création & management de l'équipe de développement Mise en place des normes et méthodes Business Developer Construction de l'offre commerciale et réflexion sur le positionnement fonctionnel et marketing Chef de projet e-marketing Conception, ergonomie et l'optimisation technique et commerciale des parcours web Monitoring de la performance technique et commerciale des sites et applications Architecture et audit d'applications web Mise en place d'architectures techniques, audit et consulting sur des applications web Conseil en communication digitale Co-Fondateur & responsable technique Becquet - Chef de projet technique 3SI - Chef de projet Nouvelles technologies SI3SI - Ingénieur étude.

Le nouveau Socialisme : La société collectiviste globale se met. Un socialisme nouveau, revu et corrigé, est en train de prendre forme sur l’internet. Telle est l’hypothèse de Kevin Kelly, le gourou des nouvelles technologies, éditorialiste volontiers polémique qui nous a offert plus d’une fois quelques belles réflexions sur l’évolution des technologies comme “Nous sommes le web”, “la naissance du superorganisme”, “l’expansion de l’ignorance”, “la Machine unique” ou la “technologie comme nouvelle culture” que nous évoquions cette semaine.

C’est le cas encore de cette tribune originellement publiée par Wired, le 22 mai 2009 (et traduite par par Poupoul2, Daria et Don Rico pour le Framablog). Est-ce que le collectivisme qui nait en ligne est en train de dépasser le capitalisme ou n’est-ce qu’une simple évolution du capitalisme, comme le résume Grégoire Colbert ? Peut-on comparer le “socialisme du monde réel” avec le partage tel qui existe dans le monde virtuel, comme se demande très justement Tristan Nitot ? I. II. III. IV Le collectivisme.