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Science & Society

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Why Scientists Increasingly Need to be Salesmen. It may be increasingly important for successful scientists to have the charisma of astrophysicist Neil deGrasse Tyson to get their work funded. Photo credit: John Roling Girls and boys aspiring to be scientists imagine themselves peering into microscopes -- not writing grant proposals to apply for NIH funding. But just as late night comedians and Hollywood writers discover that integrating product placements is crucial to their creative careers, scientists cannot ignore the question of how to pay for the labs, study participants, and research assistants that make their projects go. As one of several “kickstarter for science” sites, Experiment offers a new way for scientists to pursue funding. Priceonomics previously wrote about the business side of Experiment, which allows anyone to help crowdfund science. The researchers seeking crowdfunded dollars are not all the candidates you’d expect to turn to a new, alternative funding mechanism.

Pay to Play From Public to Private The New Normal? Www.academie-sciences.fr/presse/communique/pgm_170314. GM debate will never be resolved unless the public is consulted properly. The UK Council for Science and Technology recently called on prime minister David Cameron to reassess EU rules on GM crops. Two days later the Observer published an editorial bluntly declaring: “There’s no choice; we must grow GM crops now”.

There is a high risk that a new round of the shouting match that mired the debate 15 years ago will begin again, with little real progress. But research since the first failure of the debate on GM crops in the EU suggests there is a better way. Our GM-Futuros project has recently explored the GM debates in depth at national and local levels in India, Mexico and Brazil – highlighting some stark lessons for the EU and UK. Quality engagement with the public is key. Both of the recent UK publications call for a positive move towards GM agricultural technology.

Troubled technologies Some technology stirs up emotional opposition more than others, and this happens differently across cultures. Public interests Engagement done properly Building trust. Oui, la publication de Séralini est un poison. Même retiré, ses effets toxiques pour l’expertise scientifique persistent. Le contexte Les études scientifiques et les expériences de terrain confirment la sécurité sanitaire des OGM.

Plutôt que de débattre de leur projet politique agricole, les anti-OGM poursuivent leurs allégations de dangerosité des OGM, ce qui est bien plus payant médiatiquement. Le décryptage politique complet du dossier OGM est présenté dans mon livre récent « OGM, la question politique ». Ainsi, le groupe anti-OGM de Séralini et collaborateurs avait affirmé à tort la toxicité du maïs NK603 sur des rats. Le lobby écologiste obsédé par le retrait de documents qui lui déplaisent Il a ainsi demandé (en vain) le retrait par Food and Chemical Toxicology d’un article d’un groupe chinois (Zhu et coll.) paru en même temps que celui de Seralini et coll.

Un autre exemple d’une tentative politique d’allumer un contre-feu face au retrait de la publication de Séralini et coll. Notre publication scientifique était utile. L’organisation d’un débat public sur des questions scientifiques ou techniques est impossible. A cause d'eux. Ils ont remporté une victoire importante en contraignant les organisateurs des derniers débats publics sur des questions scientifiques à se réfugier sur Internet. Plus aucune réunion publique sur les nanotechnologies ou l’enfouissement des déchets nucléaires ne peut se tenir en France sans être perturbées. Quelques minutes après le début de telles manifestations, les activistes de Pièces et Main d’Œuvre (PMO) monopolisent la parole. Raffut et tapage forcent rapidement les organisateurs, la Commission nationale du débat public (CNDP), à annuler la réunion. Cette situation a conduit quatre anciens ministres, Robert Badinter, Jean-Pierre Chevènement, Alain Juppé et Michel Rocard, à signer une tribune dans le journal Libération du 14 octobre 2013 appelant «solennellement les médias et les femmes et hommes politiques à exiger que les débats publics vraiment ouverts et contradictoires puissent avoir lieu sans être entravés par des minorités bruyantes et, parfois provocantes, voire violentes».

How GIFs are changing the way we talk science. The use of “GIFs” has exploded in recent years. They are used for news, views and entertainment but are most commonly seen as a light-hearted medium. Now scientists are beginning to see how GIFs can be used in public engagement with science and in science communication. Most people who spend time online will have come across a GIF at some point, even if we struggle to agree on how the word is pronounced. There seems to be a spectrum of GIFs. They are used as a kind of extended emoticon to emphasise a point and even as artforms. Capturing the imagination But aside from the thousands of GIFs that circulate of people falling down stairs or of cats behaving badly, their use as a way of getting complex scientific information across to a general audience appears to be a growing trend. Many scientific disciplines are also now developing their own GIFs to encapsulate scientific methods, discoveries, objects and so on in succinct and relatively simple and enjoyable ways.

Keeping it friendly. Superphénix, des braises sous la cendre, par Christine Bergé. En arrivant par la route à Creys-Malville, on aperçoit très vite l’imposant édifice du bâtiment réacteur dont la masse de béton s’élance à quatre-vingts mètres de hauteur. Installé dans une boucle du Rhône, au milieu des champs et des forêts de l’Isère, Superphénix est toujours le théâtre d’une intense activité. Quatre cents intervenants y accomplissent, depuis l’annonce de son démantèlement, il y a plus de dix ans, des opérations délicates, retirant une à une ses fonctions vitales dans le but de le désarmer définitivement.

Le chantier est prévu pour durer encore une vingtaine d’années. « Volcan aux portes de Lyon », selon les mots du philosophe Lanza del Vasto, le plus grand surgénérateur du monde, dont l’abandon fut décrété par M. Lionel Jospin le 19 juin 1997, suscite encore toute l’attention des ingénieurs du Commissariat à l’énergie atomique (CEA). Taille de l’article complet : 2 368 mots. Vous êtes abonné(e) ? Connectez-vous pour accéder en ligne aux articles du journal. Physics Confidential - Tony Rothman. Exit from comment view mode. Click to hide this space PRINCETON – Each February, I begin the introductory electricity and magnetism course at Princeton University by telling my students that the material we will cover during the semester provides the basis for modern civilization.

Who could quibble with such an innocent statement? Without the discoveries of nineteenth-century physicists and their successors, we could hardly imagine today’s world: no electrical power grid, no televisions, no satellites, no iPads. Physicists are justly proud of the many ways that their achievements have benefited humankind. But building a light bulb or a telephone doesn’t mean that you understand its basic principles (Thomas Edison and Alexander Bell certainly didn’t).

Unfortunately, many of my colleagues – particularly those who write textbooks – present physics as a towering, seamless basilica, ignoring the gaps in our hodge-podge of skewed models. Comment aborder la « zone d'incertitude » énergétique. La population mondiale de 7 milliards d'habitants aujourd'hui va croître à 9 milliards en 2050 (une Chine et une Inde supplémentaires) avec des besoins en ressources auxquels il faudra répondre.

Des millions de gens émergent parallèlement de la pauvreté : ils achètent leur première voiture, leur premier ordinateur ou réfrigérateur... Conséquence de ces tendances, une expansion de la demande énergétique et des contraintes croissantes imposées à l'environnement. Continuer à utiliser l'énergie comme aujourd'hui contribuerait à tripler les besoins énergétiques de la planète d'ici à 2050, alors que de nombreux scientifiques s'accordent à dire que les émissions de CO2 doivent être réduites de moitié dans le même temps pour éviter de graves changements climatiques. Les experts des « scénarios Shell » pensent que, d'ici à 2050, il pourrait y avoir un gouffre entre l'offre et la demande énergétique mondiale, de taille comparable à la demande totale en énergie en l'an 2000 !

Qui expertisera les scientifiques ?, par Jacques Testart. Le savoir entre déontologie, intérêts et influences Sommé d’arbitrer des débats de plus en plus techniques, le monde politique se tourne vers des experts afin d’éclairer sa décision. Mais ceux-ci, pour être compétents dans leur domaine, sont trop souvent liés aux intérêts du secteur. Une expertise publique pourrait aider à lever le soupçon : dans quelles conditions devrait-elle s’exercer ? Par Jacques Testart, décembre 2010 Aperçu Faut-il encore demander l’expertise de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (AESA) sur l’innocuité des plantes transgéniques, quand tous ses avis ont été positifs et alors que sa présidente fut liée à l’un des principaux groupes de pression de l’agroalimentaire ? Il existe trois conceptions différentes de celle-ci. M. Taille de l’article complet : 1 232 mots. Vous êtes abonné(e) ? Connectez-vous pour accéder en ligne aux articles du journal.

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