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Fast fashion - Les dessous de la mode à bas prix. Renouveler en permanence sa garde-robe sans se ruiner : rien de plus simple aujourd’hui.

Fast fashion - Les dessous de la mode à bas prix

Tandis que les marques qui font le pari de vendre exclusivement en ligne se multiplient, l’achat de vêtements tient désormais pour beaucoup d’entre nous du loisir à part entière. Une tendance entretenue par les nouveaux acteurs de la fast fashion sur les réseaux sociaux qui, via un marketing subtil, rémunèrent les influenceurs pour placer leurs produits. Ces dernières années, des marques d’ultra fast fashion se sont même lancé le défi de produire et de livrer encore plus vite et moins cher que les vendeurs traditionnels. Mais leur efficacité se paie au prix fort. En Grande-Bretagne, ces vêtements sont fabriqués dans des ateliers insalubres par des ouvriers payés la moitié du salaire minimum.

Labels et certifications - UIT. De nombreux labels et certifications sont à disposition des entreprises textiles pour éclairer le consommateur.

Labels et certifications - UIT

Ils leur permettent d’attester de leurs démarches écoresponsables et de leurs valeurs. Toxicité, production responsable, économie circulaire et origine des produits : vous trouverez ici les plus utilisés en France dans ces catégories. Toxicité / santé Oeko-Tex® STANDARD 100 : certifie des textiles sans produits toxiques pour la santé et l’environnement. Production responsable Générique OEKO-TEX®MADE IN GREEN basé sur la certification STANDARD 100, garantit que le produit a été fabriqué dans le cadre d’un processus responsable et dans le respect des conditions de travail Made in Green by OEKO-TEX® est un label de traçabilité produit (2015), spécifique aux textiles fabriqués :

Le lin : une matière éco-responsable sous-estimée – Atelier Unes. “Une matière de qualité qui soit éthique et qui dure toute une vie.”

Le lin : une matière éco-responsable sous-estimée – Atelier Unes

C’est notre premier motto. Le choix des textiles de nos créations est absolument primordial. Comme vous avez déjà pu le voir avec notre robe 100 % Lyocell Tencel, nous avons un petit faible pour les matières naturelles, d’origine végétale, particulièrement éco-responsables. CO2, eau, microplastique : la mode est l’une des industries les plus polluantes du monde. Toujours plus de vêtements et de moins en moins cher.

CO2, eau, microplastique : la mode est l’une des industries les plus polluantes du monde

Le succès du prêt-à-porter a révolutionné notre façon d’acheter des vêtements, mais fait de la mode une des industries les plus polluantes de la planète. Pour la première fois, en marge du G7, trente-deux entreprises du textile, des groupes Adidas et Nike à Chanel et Prada, en passant par H&M et Gap, ont décidé de s’engager à diminuer l’empreinte carbone du secteur de l’habillement. Vendredi 23 août, ces géants de la mode ont signé un « Fashion Pact » (pacte de la mode) visant à atteindre zéro émission nette de dioxyde de carbone (CO2) d’ici à 2050 et à passer à 100 % d’énergies renouvelables sur toute la chaîne d’approvisionnement d’ici à 2030.

Synthèse : Des groupes de mode s’engagent à réduire leur impact sur l’environnement Plus de 12 kg de vêtements par an pour un Européen Cette consommation cache de fortes disparités. Nos habits polluent-ils ? Fabriquer des jeans écolos en France, c'est possible ! Qui a dit que le textile n’était pas un secteur d’avenir ?

Fabriquer des jeans écolos en France, c'est possible !

A rebours du schéma de la fast fashion, dont l’objectif est de produire toujours moins cher et de vendre toujours plus, Thomas Huriez a eu l’idée saugrenue de fabriquer des jeans… en France ! En fondant sa marque 1083, il ne s’est pas contenté d’installer ses ateliers dans l’Hexagone, mais il est allé chercher des fournisseurs locaux, reconstituant ainsi une filière industrielle et écologique. Dans un entretien à Alternatives Economiques, il revient sur son aventure entrepreneuriale et explique comment produire local et autrement. Bientôt une note environnementale sur nos vêtements, petite révolution dans un secteur "extrêmement nocif pour l'environnement" Le ministère de la Transition Ecologique et les industriels de la mode lancent mardi une concertation pour mettre en place un affichage environnemental pour les vêtements.

Bientôt une note environnementale sur nos vêtements, petite révolution dans un secteur "extrêmement nocif pour l'environnement"

Une petite révolution dans le monde du textile. La secrétaire d’Etat à la Transition écologique Brune Poirson réunit mardi 11 février une cinquantaines de marques textiles pour travailler ensemble sur la mise en place d’un indicateur qui sera placé sur les vêtements pour informer le consommateur sur leur impact environnemental. Si tout le monde joue le jeu, ce qui va se passer d’ici 18 mois, c’est que vous allez voir apparaître sur les tee-shirts ou les pantalons une étiquette colorée avec une échelle qui va de la lettre A à la lettre E pour indiquer le niveau de performance environnemental. Pour cela, neuf indicateurs seront pris en compte, parmi lesquels les rejets de gaz à effet de serre pour la confection, l'impact sur l’eau, ou encore la pression sur les ressources énergétiques ou minérales. Les baskets recyclables d'Adidas, véritable engagement écologique ou opération de « green-washing »?

□ Le marché du carbone expliqué avec du coton. [L'industrie c'est fou] Un sweat qui mesure la qualité de l'air - L'industrie c'est fou. Les acheteurs veulent savoir d'où viennent leurs vêtements et c'est un vrai casse-tête pour les fabricants. « Révolte dans la mode » : manifeste pour une industrie textile responsable.

Le film de Laurent Lunetta et Ariel Wizman donne la parole à des créateurs qui dénoncent les travers de la surproduction de vêtements sans éthique ni démarche artistique.

« Révolte dans la mode » : manifeste pour une industrie textile responsable

Arte, vendredi 14 septembre à 22 h 30, documentaire. Greenpeace souligne les avancées de certaines marques de mode moins polluantes - 13/07/2018 - ladepeche.fr. Certains acteurs de l'industrie vestimentaire s'engagent depuis plusieurs années à réduire l'utilisation de produits toxiques polluants de leur production et les effets commencent à se faire ressentir, à en croire un rapport de Greenpeace paru le 12 juillet.

Greenpeace souligne les avancées de certaines marques de mode moins polluantes - 13/07/2018 - ladepeche.fr

L'organisation environnementale pointe du doigt les risques causés par l'utilisation de produits toxiques par l'industrie de l'habillement depuis sept ans via sa campagne "Detox". Le bureau allemand de Greenpeace vient de publier une mise à jour des résultats partiels de cette campagne sous la forme d'un rapport intitulé "Destination zéro : impacts de sept ans de campagne Detox sur l'industrie du vêtement". A en croire ce rapport, 80 grandes marques de mode se sont engagées à retirer les produits chimiques dangereux de leurs chaînes de production d'ici 2020.

Vêtements & Développement durable. Entre 2 Rétros, les sacs qui recyclent la voiture - L'Usine Auto. Les fans d’automobile peuvent aussi avoir une fibre écologiste.

Entre 2 Rétros, les sacs qui recyclent la voiture - L'Usine Auto

Et la porter, grâce à Entre 2 Rétros. Cette start-up parisienne propose une collection de sacs et bagages réalisés à partir de ceintures de sécurité, de cuir ou de tissus issus du monde automobile. Ancré dans son époque grâce à sa boutique en ligne, Entre 2 Rétros vient d’une longue histoire avec l’industrie. "Mon père travaillait dans l’automobile, mon grand-père avait monté une société de pièces détachées, raconte Virginie Nantas, la fondatrice d’Entre 2 Rétros. J’ai toujours baigné dans le milieu industriel, avec ses usines, ses ouvriers, et j’ai voulu lui insuffler un esprit recyclage. " Pouvoirs publics, secteur économique et société civile (citoyens, associations, syndicats...) sont les acteurs complémentaires de sa réussite : La stratégie de développement durable d'une entreprise doit tenir compte des opinions et des attentes des différents publics concernés par son activité et par ses impacts avérés ou potentiels : ses parties prenantes.

Les parties prenantes de l'entreprise sont multiples : salariés, syndicats, investisseurs, actionnaires, clients, pouvoirs publics, ONG, média.... L'acceptabilité correspond ainsi à la satisfaction des attentes des parties prenantes de l'entreprise. Un travail d'identification et de communication avec les parties prenantes est nécessaire. Le programme Fibre Citoyenne facilite ce travail de concertation et d'acceptabilité avec les parties prenantes de la filière. Deux minutes pour comprendre le développement durable. Journal synthese developpement durable. Ecoprofil jeans[1] Développement durable & normalisation. Comprendre le Développement Durable. YouTube.