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Démocratie

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Nos deputes, observatoire citoyen de l'activité parlementaire. Présentation de l'association Article 3. Européennes : Dupont-Aignan et Nouvelle Donne tirent leur épingle du jeu. Le dictateur, Discours de fin (Charlie Chaplin) VF. Démocratie directe : Le miracle Suisse (20mn. Un oeil sur la planète : La Suisse - Une vraie démocratie. Européennes : pourquoi les listes ne sont pas nationales ? Pour le scrutin des européennes, la France est divisée en huit grandes circonscriptions. Chacune correspond généralement à plusieurs régions et se voit attribuer un nombre de sièges (de 3 à 15) proportionnel à sa population. A chaque circonscription ses propres listes, soit une vingtaine en moyenne !

Libre aux Etats membres de l'UE de choisir leur découpage. La majorité des pays ont opté pour une unique circonscription nationale, à l'instar de l'Espagne, des Pays-Bas, de la République tchèque ou de la Grèce. Un avantage pour les grands partis Cet « éclatement » devait permettre un rapprochement entre les élus et leurs électeurs. Ce qui est moins connu, c'est que ce système, imaginé pour éviter une forte dispersion de la représentation, avantage les grands partis et, à l'inverse, handicape les petites formations. « C'est une manipulation des partis dominants », résume l'ancien syndicaliste Louis Weber, coauteur du livre « le Parlement européen, pour faire quoi ?

CARTE INTERACTIVE. Sommes-nous en démocratie ? Populisme, l'Europe en danger. Ils prétendent parler au nom du peuple, dont ils épousent habilement les attentes. À chaque problème, ils offrent invariablement les mêmes réponses : haro sur l'immigration, l'Europe et les élites. Marine Le Pen en France, Geert Wilders aux Pays-Bas, Viktor Orbán en Hongrie, Beppe Grillo en Italie… : à grand renfort de formules chocs et de rhétorique simpliste, les leaders de ces mouvements, qui ont réussi à se construire une façade respectable, captent l'adhésion de citoyens toujours plus nombreux.

À l'échelle européenne, certains d'entre eux choisissent désormais de s'allier pour conquérir le Parlement, comme la présidente du Front national et le chef de file de l'extrême droite néerlandaise, qui espèrent triompher lors des élections de mai 2014. Comment expliquer le succès grandissant de leurs formations ? Sont-elles en marche vers le pouvoir ? Radiographie. L’État français est-il en guerre contre les Français ? La loi de programmation militaire française étend les pouvoirs des Armées à la « la prévention de la criminalité ». Ce faisant, elle abroge, sur le modèle de ce qu’ont fait les États-Unis après le 11-Septembre, la distinction classique entre défense et sécurité intérieure, entre armée et police.

Du coup, elle soumet les citoyens français à un régime de surveillance autrefois réservé à des agents d’une puissance étrangère. L’espionnage massif de ses citoyens par les services secrets d’un pays est aujourd’hui devenu la norme. À la faveur de la « lutte contre le terrorisme », la notion de guerre s’est introduite dans le Code pénal de l’ensemble des pays occidentaux. La dernière loi française de programmation militaire, qui vient d’être promulguée le 19 décembre 2013 [1], s’inscrit dans cette tendance de fusion du droit pénal et du droit de la guerre. Une loi militaire comme « prévention de la criminalité » Une loi martiale numérique Jean-Claude Paye. Qu'est-ce qu'une Scop ? Les Scop, Sociétés coopératives, désignent les entreprises à statut Scop (Société coopérative et participative) et à statut Scic (Société coopérative d’intérêt collectif).

Soumises à l’impératif de profitabilité comme toute entreprise, elles bénéficient d’une gouvernance démocratique et d’une répartition des résultats prioritairement affectée à la pérennité des emplois et du projet d’entreprise. Les deux formes juridiques de Sociétés coopératives : La Scic Dans une Scic, les mécanismes coopératifs et participatifs sont identiques à ceux de la Scop.

Pour mieux comprendre ce que sont les Scop, les Scic et même les CAE, découvrez le premier film d'animation sur les Sociétés coopératives : Un village auto-géré depuis 1971 ! Des élus qui écoutent les citoyens, des citoyens qui participent vraiment à la décision, des référendums qui tranchent quand aucune solution nette n’émerge ?

Mais si, c’est possible. Ça s’appelle la démocratie. Et ça marche très bien, comme à Vandoncourt, commune de 800 habitants près de la frontière suisse qui expérimente depuis plus de quarante ans la démocratie participative. Les 800 habitants de Vandoncourt, dans le Doubs, n’ont pas attendu que la démocratie participative soit à la mode pour s’impliquer dans la vie de leur village. Le débat en cours sur l’implantation d’un parc éolien est un bon exemple de la culture démocratique qui règne dans la commune. Une opposition qui n’incommode pas le maire, Patrice Vernier : « Je me suis engagé auprès des habitants en leur disant que dès que nous aurons tous les éléments en main, nous organiserons une réunion publique contradictoire ».

Aux sources de la démocratie participative Chacun a son mot à dire Autogestion en actes. Élections sénatoriales françaises. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les dernières élections ont eu lieu le 25 septembre 2011, et les prochaines auront lieu en septembre 2014. Histoire[modifier | modifier le code] IIIe République[modifier | modifier le code] Ve République[modifier | modifier le code] En 2000, le Parlement vote une loi visant un passage au scrutin de liste proportionnel dans les départements à 3 sénateurs et plus, et une augmentation du nombre de délégués pour les grandes communes, mais cette dernière mesure est censurée par le Conseil constitutionnel, car le Sénat doit représenter les collectivités territoriales[1]. En 2003, la durée du mandat passe de neuf ans à six ans. En 2005, le mandat de tous les sénateurs est prolongé d’une année, pour que les élections sénatoriales se fassent juste après les élections municipales[3]. En 2011, l’âge minimum passe de 30 à 24 ans[4].

Mode de scrutin actuel[modifier | modifier le code] Répartition départementale depuis 2008 Électeurs[modifier | modifier le code] Le vote sans la démocratie (et inversement) Deux auteurs stimulants, le Flamand David Van Reybrouck, qui avait signé Congo, une histoire, et l’Américain David Graeber, qui a publié Dette, 5 000 ans d’histoire (voir nos articles ici et là) s’intéressent, dans deux livres plus mineurs que leurs précédents, aux limites des processus électoraux.

Le premier signe aux éditions Actes Sud un ouvrage au titre choc, Contre les élections. Il part de son expérience belge et de l’absence de gouvernement de ce pays pendant un an et demi, dont il estime qu’elle est la manifestation du caractère primitif et obsolète des processus électoraux, pour valoriser d’autres formes de représentation et de désignation du pouvoir législatif, en particulier le tirage au sort. Avec sa plume toujours alerte et sa puissance descriptive, David Van Reybrouck reprend surtout à son compte des élaborations théoriques ou des pratiques expérimentées ici ou là. Bulletins, ballottes et billets Les limites de la règle majoritaire Lire aussi Source : www.mediapart.fr.