background preloader

Saynos

Facebook Twitter

Quand il faut se doper pour travailler. Se doper pour travailler. Le cas serait de plus en plus fréquent, selon une enquête menée par trois chercheurs. L’alcool, les psychotropes et le cannabis seraient utilisés pour "tenir le coup" au travail. Au travail, le dopage se démocratise. Il ne concerne plus uniquement les cadres de la finance, de l’informatique, de la publicité ou des médias. Avec, notent les auteurs, un décloisonnement entre la vie privée et la vie professionnelle. Ces substances psychoactives peuvent remplir quatre grandes fonctions au travail. Les Allemands peu portés vers la création d’entreprise. Le burn-out, maladie professionnelle? "L'insécurité au travail peut mener au burn-out" L'angoisse de perdre son emploi du jour au lendemain tiraille de plus en plus de salariés, même dans les entreprises considérées comment garantes d'emploi à vie comme à la SNCF.

Comment y faire face? L'avis de Danièle Ruffet, coach et psychanalyste. Comment reprendre le travail après un burn-out? Difficile de reprendre une activité professionnelle à la suite d'un burn-out. Quand le coach fait un burn-out Coach de dirigeant à succès, professeur associé en université, Thierry Chavel imprime à sa vie un train d'enfer. Sommes-nous tous en burn-out? Manifestation extrême de la souffrance au travail, le burn-out est souvent confondu avec la dépression, le stress ou les problèmes au bureau. Le burn-out, une maladie professionnelle: le combat de Hamon Benoît Hamon et 83 députés présentaient ce 17 février une proposition de loi à l'Assemblée nationale visant à faire reconnaître le burn-out comme une maladie causée par le travail. Ce qu’il faut retenir de l’enquête « HappyAtWork » 2017 – My Happy Job. Meilleures-entreprises.com vient de révéler son enquête « HappyAtWork » 2017 (1). Verdict ? Seulement 56% des Français se disent heureux au travail.

Découvrez les entreprises les mieux notées par leurs salariés. Progression professionnelle, environnement stimulant, management & motivation, salaire & reconnaissance, fierté et plaisir. Voilà les six thématiques permettant d’établir les classements « HappyAtWork » 2017. Chacune des 18 questions posées aux collaborateurs est évaluée sur une échelle de 1 à 5. Au total, 28 000 salariés travaillant dans 3 300 entreprises ont participé à cette enquête. Il existe enfin un palmarès des entreprises les mieux notées par les candidats. Deux citations clés : Célica Thellier, responsable de l’étude et cofondatrice de Meilleures-entreprises.com : “D’une part, il s’agit d’entreprises qui permettent à leurs salariés d’être dans la découverte, et d’apprendre au quotidien. Joanne Watanabe, cofondatrice et responsable marketing de Ignition Program : Bien-être au travail : un responsable du bonheur. Rendre les salariés heureux au travail pour obtenir de meilleurs résultats : une pratique qui nous vient tout droit des États-Unis, adopter par les géants d'internet il y a quinze ans.

À tel point qu'est née un nouveau métier, le responsable du bien-être au travail, en anglais, le happiness officer. Une fonction qu'occupe Brunehilde Thako. Chaque vendredi, elle embrasse les 100 salariés de son entreprise. Sa mission : les chouchouter, par exemple en leur proposant une séance de massage.

Dans une grande société pharmaceutique lyonnaise, la fonction existe ici depuis 25 ans. Le travail de la responsable du bien-être est fondamental. Le JT. Responsable du bonheur : un métier d’avenir ? - Essentiel Santé Magazine. Ils se nomment chief happiness officer, feel good manager, happiness driver… en français, responsable du bonheur. Leur rôle ? Contribuer au bonheur des collaborateurs de leur entreprise. C’est dans la Silicon Valley, au début des années 2000, qu’est né ce nouveau métier.

À l’époque, Chade-Meng Tan, ingénieur chez Google, se donne pour mission de tout faire pour que les salariés de son entreprise se sentent heureux au travail. Il invente ainsi le concept de responsable du bonheur et devient le « Jolly good fellow », ou « super bon camarade » en français, de ses collègues. Depuis, son concept de « M. Bonheur » a traversé l’Atlantique : après avoir séduit le milieu des start-up, le chief happiness officer (CHO) fait désormais partie des offres d’emploi proposées par de nombreuses entreprises de tailles et de secteurs d’activité très différents.

Le bien-être au travail : son premier objectif * Ouvrage publié aux éditions la Charte, en 2013. Un métier qui s’adapte aux besoins de l’entreprise. Après le burn-out et bore-out, place au smile-out ! - Pour travailler autrement. Eh oui ! Encore une expression anglaise liée au monde de l’entreprise. Mais celle-ci risque de vous faire voir les choses autrement et de replacer le bonheur à sa juste place : autour de vous.

Alors que le burn-out touche près de 10 % de la population active, le bore-out sort des non-dits pour dénoncer l’ennui chronique au travail. Mais l’épuisement et la morosité ne sont pas une généralité et le smile-out compte bien démontrer tout l’intérêt d’adopter sa philosophie. Créer les conditions idéales pour vaincre le fléau de la démotivation Le PDG de Harmony Patrice Reydon, un créateur de bureaux tendance énonçait il y a quelques semaines le terme et les vertus du « smile-out ». Trop beau pour être vrai nous direz-vous ? Une récente étude du cabinet Hays évalue l’épanouissement au bureau comme principale source de motivation chez les cadres. Fervent défenseur du bien-être au travail, l’association Fabrique Spinoza définit plusieurs critères qui interagissent avec notre bonheur.