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Google. Bibliographie revue. Un nouveau campus pour l'ESDES sur le site Saint-Paul à la rentrée 2014 - ESDES - Ecole de management- Université Catholique de Lyon. Projet immobilier Saint-Paul : l'avenir grand ouvert Ce projet est porté par la SOFADE (filiale du holding patrimonial de la famille Dentressangle) et sa filiale OGIC. De nombreux acteurs, outre l'UCLy, ont apporté leur contribution : l'association Habitat et Humanisme, Pôles Développement, l'OPAC du Rhône, les architectes Garbit & Blondeau et le studio Ory, l'urbaniste Thierry Roche et l'architecte en chef des monuments historiques Frédéric Didier. Le projet, qui répond au besoin de déploiement immobilier de l'UCly, propose une réelle mixité sociale et intergénérationnelle par l'accueil de logements sociaux pour les étudiants et les personnes âgées. En outre, il intégrera un lieu de réflexion sur l'économie sociale et solidaire, à l'initiative de l'association Habitat et Humanisme.

L'UCLy enregistre, depuis deux ans, une croissance soutenue du nombre de ses étudiants (+ 11 %). L'Etat cèdera donc le site des prisons à la SOFADE, qui le cèdera à son tour, pour partie, à l'UCLy. A Lyon, un complexe immobilier va remplacer les cellules d'une prison historique. Une prison désaffectée en plein centre de Lyon va devenir dans quelques mois un complexe immobilier qui entend préserver son architecture tout en devenant un lieu de vie, une initiative originale en France où les vieilles prisons sont généralement détruites.

En voyant aujourd'hui les cellules et les bâtiments désertés de la prison Saint-Joseph, défigurés par les extensions successives et les outrages du temps mais qui gardent tous les stigmates de la vie carcérale, des barbelés aux graffitis de détenus, difficile d'imaginer que bientôt s'élèveront ici immeubles de bureaux et logements. "Comment d'un monde clos passer à un lieu ouvert, vivant, pacifié" et "conserver la mémoire de ce patrimoine carcéral unique en le transformant en locaux répondant aux normes de confort actuelles", c'est à cette double gageure que doit répondre le projet retenu par l'Etat pour la réhabilitation des lieux, explique Frédéric Didier, architecte en chef des Monuments historiques qui suit le projet. Selon M. Programme_jeco.pdf. Énap - Ressources en ligne / Parcours thématiques / Regards sur l'architecture carcérale - 19ème - 20ème siècles / Variations architecturales autour de l'emprisonnement cellulaire.

Au 19ème siècle, deux modèles de systèmes cellulaires coexistent. Tous deux font de l’isolement et du travail les instruments de la transformation et de l’amendement du détenu, mais ils diffèrent dans leur mise en œuvre : - le système pennsylvanien : il préconise un emprisonnement cellulaire strict, avec séparation de jour comme de nuit - le système auburnien : les détenus sont isolés en cellule individuelle durant la nuit, mais travaillent pendant la journée dans de grands ateliers communs. Dans les années 1830, juristes, architectes, administrateurs et politiques prennent position pour l’un ou l’autre système. Les débats sont vifs et nombreux mais à partir de 1840, c’est le système pennsylvanien, combiné au modèle panoptique de BENTHAM*, qui devient la référence architecturale dominante en France. Cependant au cours du siècle, des décisions de l’administration, sous le Second empire par exemple, ont pu modifier la préférence pour le modèle cellulaire jugé trop coûteux.

Les prisons de France. Il est des noms qui ne nous évoquent plus rien : Austerlitz? Une Gare. Biribi? Un quelconque mot d'argot. De même, la Roquette. On n'emploie même plus ce nom pour parler des obus thermonucléaires ou pas ! Ce n'est plus rien. Et pourtant, évoquer la Roquette dans le Paris de 1900 n'était pas agréable... Il faut revenir en 1836. Il y a, dans la proche banlieue, un lieu aussi terrible : Bicêtre. L'architecte Gau est designé pour établir les plans de la nouvelle prison, et soumet son projet. A cette époque, Mr Sanson le cinquième exerce ses talents à la barrière d'Arcueil, depuis l'arrêté préfectoral du 29 janvier 1832. La vie de la prison n'est pas la plus gaie, on s'en doute. Et puis les années passent. Que faire des condamnés à mort?

Passants, vous qui allez rue de la Roquette, cherchez les restes de cette histoire. >Ban Public - Le portail d'information sur les prisons. II - Les prisons de Lyon 1. Organigramme des prisons de Lyon Voir en pièce jointe 2. Prisons de Lyon : l’état des lieux En 1999, 2201 hommes et 131 femmes sont entrés à la maison d’arrêt de Lyon. Sources : Observatoire International des Prisons, section française - “ Prisons : un état des lieux ” L’Esprit Frappeur, n° 72, Paris 2000 A Lyon, le service général (entretien de l’établissement, restauration, blanchisserie) assure du travail à 117 détenus pour les trois quartiers. Les parloirs sont inexistants les lundi (famille de commerçants) et les dimanche (familles éloignées de Lyon). 9575 consultations médicales ont été prodiguées en 1999. La prison de notre ville, la dignité des personnes qui y séjournent, sont notre affaire à tous. 3. Si, depuis novembre 1998, une équipe pluridisciplinaire s’est mise en place pour améliorer le suivi des mineurs et développer les activités, les locaux empêchent de réelles améliorations.

Le directeur, M. 4. Les condamnations se répartissent comme suit : Prisons de Lyon-Perrache : entrez dans la "marmite du diable" Trois ans après avoir été vidées de leurs détenus et de leur personnel, les prisons de Perrache seront exceptionnellement ouvertes au public ce week-end. L’occasion de revenir, en témoignages, sur la mémoire d’un lieu chargé d’histoires. Crédit : Leïla Piazza Construites respectivement en 1831 et 1865, les prisons Saint-Joseph et Saint-Paul ont surtout fait parler d’elles durant des décennies pour leurs conditions d’incarcération déplorables. A tel point qu’on les a surnommées « la marmite du diable ». En 2000, un documentaire d’Envoyé spécial, diffusé sur France 2, faisait la lumière sur ce lieu sombre : Première partie du documentaire « La marmite du diable », diffusé sur France 2 en 2000. A ce moment, le terme « marmite du diable » n’était encore pas très répandu, comme le raconte Djammel Touhami, détenu dans les prisons de Perrache à différentes reprises entre 1974 et 2003 : « A ma connaissance ça a commencé à se dire après le reportage.

Une prison humaniste et hygiéniste… à l’origine. Les anciennes prisons de Perrache. Avec la Révolution, la prison change de fonction. Conçue jusqu’alors pour être un poste de sûreté où l’on enferme les individus en attente d’un châtiment, elle s’impose comme un lieu où les condamnés purgent une peine : la privation de liberté. Dans ce contexte, le nombre de détenus augmente et la Ville de Lyon n’est pas équipée pour les recevoir. Au début du 19e siècle, il existe seulement deux prisons à Lyon. Les prisonniers en attente de jugement sont écroués dans celle de Roanne, dans le quartier Saint-Jean ; la prison Saint-Joseph, au sud de la place Bellecour, reçoit quant à elle les condamnés à une peine inférieure à un an. D’autres lieux de détention provisoire, tels les caves de l’Hôtel de ville, sont répartis dans la commune. Les longues peines sont du ressort de Riom, dans le Puy-de-Dôme. Dès 1816, la construction d’une prison est envisagée dans la presqu’île Perrache.

En 1860, Antoine Louvier est chargé de la construction du nouvel établissement Saint-Paul. Architecture néo-classique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'origine du style[modifier | modifier le code] L'architecture néo-classique est l'héritière de l'architecture classique, théorisée par l'architecte antique Vitruve dans son traité qui définit la théorie des trois ordres (ionique, dorique, corinthien). Vitruve sera la grande référence des architectes pour qualifier le renouveau du recours à des formes antiques, à partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle, jusqu'en 1850 environ. L'architecture néo-classique prétend avoir recours à des formes grecques, plus qu'italiennes, ainsi elle est appelée goût grec à ses débuts en France vers 1760. C'est un mouvement international dont on trouve différentes manifestations, de l'Amérique du Nord à la Russie.

Elle se décline en plusieurs courants et l'on peut distinguer : la phase du palladianisme, la plus ancienne, qui se développe dans les campagnes de la Grande-Bretagne sous l'impulsion d'Inigo Jones et de Christopher Wren. Le mouvement des Lumières - Réviser le cours - Français - Première ES. Combat. Un des trois grands mouvements de résistance de la zone Sud, né en novembre 1941 de la fusion du réseau Liberté de François de Menthon avec le Mouvement de libération nationale, fondé par Henri Frenay.

Dirigé par Henri Frenay, que seconde Berty Albrecht, et par un comité comprenant notamment Georges Bidault, Claude Bourdet, François de Menthon, Pierre Henri Teitgen, Combat s'organisa autour de structures très diversifiées corespondant à ses multiples activités et qui servirent de modèle aux autres mouvements : les services généraux (logement, faux papiers, service social), les affaires politiques (propagande, recrutement, organisation, noyautage des administrations publiques [NAP]), les affaires militaires (Armée secrète [sixaines mobilisables le jour J] ou action immédiate [groupes francs de J.

Renouvin], sabotage, Résistance-fer). L'édition du journal Combat occupe une place centrale dans cet ensemble. Pour en savoir plus, voir l'article la Résistance. La Résistance. Ensemble des actions menées, durant la Seconde Guerre mondiale, contre les occupants et leurs auxiliaires ; ensemble de ceux qui ont participé à ces actions. Introduction De 1940 à 1944, l'Allemagne hitlérienne domine le continent européen. L'ambition de Hitler est de modeler autour du grand Reich germanique (Grossdeutschland) une Europe inféodée, contrainte de mettre ses richesses humaines et économiques à sa disposition.

Mais la nazification de l'Europe se heurte dans tous les pays à des actes de résistance, qui vont aller en s'amplifiant au fur et à mesure du durcissement des conditions d'occupation et de l'amélioration de l'organisation des réseaux de résistants. Les objectifs de la Résistance sont militaires et visent à aider l'effort de guerre par le sabotage, le renseignement, le rapatriement des combattants (aviateurs par exemple) puis la formation de maquis. Perçue comme une force occasionnelle, la Résistance n'est pas incluse dans une stratégie élaborée par les Alliés. 1. 1.1. Saint-Joseph et Saint-Paul de Lyon : une architecture carcérale à forte valeur patrimoniale. Plus de deux ans après le transfert des détenus depuis les prisons Saint-Joseph et Saint-Paul de Lyon vers la maison d’arrêt de Corbas et l’établissement pour mineurs de Meyzieu, les hauts murs d’enceinte cachent encore aux yeux des passants l’intérêt patrimonial de ces édifices.

Après une menace de démolition totale, le choix a été finalement fait de privilégier un appel à idées puis à projets pour la réutilisation de ces bâtiments dont l’image était ternie par les conditions de détention des détenus. Les changements de fonction de ces prisons interviennent alors que le quartier d’abord appelé Presqu’île Perrache, puis Derrière les voûtes, et aujourd’hui Lyon Confluence, est à nouveau en pleine mutation. Or l’implantation de la prison Saint-Joseph est liée dès les premières études (1823-1829) à des projets d’urbanisme. La prison Saint-Joseph depuis l’avenue Leclerc, Baltard, 1831. Prison Saint-Joseph. Vue générale de Saint-Paul depuis l’escalier mécanique du cours Charlemagne - Phot.

Kaële Magazine. Lyon 39 - 45 D'ombres et de lumières Le Centre d’histoire de la résistance et de la déportation a fêté ses vingt ans en novembre dernier, doté d’une nouvelle scénographie, c’est « une ville dans la guerre » que les collections du musée tentent de cerner en 2013. Une ville à la fois piège et refuge, érigée d’ombres et de lumières. Comment raconter l’histoire soixante-dix ans après les faits ? Le mercredi 14 novembre était inauguré vingt ans après son ouverture la nouvelle exposition permanente du Centre d’histoire de la résistance et de la déportation de Lyon. Conçu « au plus près des murs du bâtiment historique », le nouveau parcours tente de transmettre ce patrimoine commun qu’est l’histoire, à la fois proche et lointain, intime et collectif. L’approche naguère immersive voire oppressante a laissé place à une scénographie plus apaisée, claire et lumineuse, avec des structures à claire-voie. Retrouver l'intégralité de l'article dans le magazine de janvier 2013.

Kaële Magazine n° 96. Lyon en 1939-1945. Métropole de la zone libre, la Résistance s’organise très tôt à Lyon. Entre l’automne 1940 et le printemps 1941, apparaissent plusieurs feuilles et petits journaux clandestins. C’est à Lyon que les trois grands journaux clandestins de la zone sud voient le jour et que naissent d’importants mouvements de résistance.

Henri Frenay, officier issu d’une famille lyonnaise, se détache peu à peu du régime de Vichy. Dès la fin 1940, il débute ses activités clandestines et envoie des renseignements à Londres. À la création du premier journal, Les Petites Ailes, s’ajoute le recrutement de sympathisants. Le 1er janvier 1941 a lieu une manifestation publique de la Résistance à l’appel du général de Gaulle. À ses débuts, la Résistance prend la forme d’initiatives isolées qui se fédèrent peu à peu, enrichies par les passages à Lyon d’hommes venus de tous les horizons géographiques. Fin 1941, apparaissent deux autres mouvements et leurs journaux clandestins, Libération et Franc-Tireur. LYON: Prisons Perrache: Les vraies raisons d'une pseudo-reconversion? Prisons Perrache : Les vraies raisons d’une pseudo-reconversion ?

Alors que la première pierre des futurs bâtiments qui investiront l’ancien site des prisons lyonnaises a officiellement été posée vendredi 19 avril, retour sur les véritables enjeux de cette reconversion. Les démolitions de certaines parties des prisons de Perrache ont pris fin cette semaine. Place désormais à la phase de reconversion, avec la première pierre posée vendredi dernier à 10h en présence de Jean-François Carenco, préfet de la Région Rhône-Alpes, Gérard Collomb, sénateur et maire de Lyon, et Norbert Dentressangle, actionnaire majoritaire du promoteur OGIC, maître d’œuvre du chantier. Le groupement formé par l’Université Catholique de Lyon (UCLy), la SOFADE, OGIC, Habitat et Humanisme, en collaboration avec les architectes Garbit et Blondeau, les studios d’architectures ORY, et les Ateliers Thierry Roche et Associés, est propriétaire des prisons Saint-Paul et Saint-Joseph depuis quelques mois.

Un alibi patrimonial. Reconversion des prisons de Lyon - Mairie 2e arrondissement  - Site Officiel de la Ville de Lyon. La démarche est née de la convergence de deux réflexions : celle de l’Etat sur l’ancien site des prisons et celle de l’Université Catholique de Lyon (UCLy) pour répondre à ses besoins de redéploiement. "La vie grande ouverte" est porté par un groupement composé de la holding Dentressangle Initiatives, du promoteur aménageur Ogic, de l’Université Catholique de Lyon, de la fédération Habitat et Humanisme, de l’Opac du Rhône et de la société Pôles Développement.

L’ancienne prison Saint-Joseph L’îlot de l’ancienne prison Saint-Joseph verra s’implanter 107 logements en accession, 66 logements sociaux locatifs, une résidence intergénérationnelle de 110 appartements, des commerces de proximité, des restaurants et 11 300 m2 de bureaux. L’ancienne prison Saint-Paul L’ancienne prison Saint-Paul deviendra, quant à elle, un nouveau campus pour l'Université Catholique de Lyon.

Planning prévisionnel : Fin du 3ème trimestre 2012 : lancement des travaux sur les sites de Saint-Paul et Saint-Joseph. 0006expo080.jpg__1000x600_q85_crop_subsampling-2_upscale.png (PNG Image, 1000 × 600 pixels) La "nouvelle vie" des prisons de Lyon, vers un habitat intergénérationnel. YouTube. Les anciennes prisons de Perrache. Les-prisons-de-Lyon-rasees-ou-pas-rasees_large.jpg (JPEG Image, 300 × 211 pixels) Administration pénitentiaire. La vérité des prisons françaises. Le vrai coût de la prison. La prison : bâtiments/cellules - La prison, et après ? Pourquoi se suicide-t-on plus dans les nouvelles prisons.

En prison : derrière les barreaux des prisons Saint-Paul et Saint-Joseph. Réintegration de la prison dans le nouveau quartier de lyon. L'Atelier numérique de l'Histoire | Episodes. Lyon Smart Community. Reconversion des prisons de Lyon : la mémoire sacrifiée ? Lyon 2e arrondissement, Confluent, Perrache (quai) 12, Prison de Perrache, puis prison Saint-Joseph. Saint-Joseph et Saint-Paul de Lyon : une architecture carcérale à forte valeur patrimoniale. Rhône-Alpes. LYon en France: Urbanisme : Prisons de Lyon, les architectes détaillent leur projet.