Les Médecins - Fables de La Fontaine - Document lyclic. Lecture analytique de l'incipit de "Madame Bovary" Plan: Introduction I- Un incipit déroutant A- Une focalisation ambiguë B- Une ouverture qui ne remplit pas les conditions de l'incipit B- Un personnage entaché de ridicule III- L'ironie flaubertienne A- La mise à distance de ce qui est présenté B- La tendre ironie envers le personnage Conclusion Introduction Madame Bovary décrit les désillusions successives d'une jeune provinciale qui a trop lu de romans d'amour et qui ne cesse d'être déçue par l'existence qu'elle mène aux côtés de son époux, Charles Bovary, petit médecin de province.
I- Un incipit déroutant A- Une focalisation ambiguë La scène semble apparemment décrite selon une focalisation externe, depuis le regard d'un camarade de classe, ou peut-être même depuis le regard collectif de la classe, qui décrirait l'arrrivée de Charles. B- Une ouverture qui ne remplit pas les conditions de l'incipit En effet, l'incipit a plusieurs fonctions: présenter les personnages principaux, présenter le décor et les thèmes du roman. Méthodologie : Le développement de la dissertation. Composition d’une partie Les exemples Encore une fois, le but du développement est de donner au devoir l’apparence d’une réflexion suivie qui se déploie logiquement.
Pour cela il faut soigner : Méthodologie : L'introduction de dissertation 2/2. PiègesProposition de problématique et de planRédiger l'introduction Pièges - Difficulté à articuler les différents éléments de la citation : la question des règles, de la mimésis, du profondément humain ; ne rien oublier. - Faire une copie sur la tragédie en comparant les mérites des deux genres. - Beaucoup d’explicitations à faire : pourquoi choisit-il la tragédie ?
Parce que c'est un genre plein de règles qui l’empêchent d’être naturelle. Proposition de problématique et de plan Comment articuler la liberté, l'imitation du réel et la capacité à dire la vérité ? Comment articuler la question de la liberté ou de la contrainte dans l’écriture littéraire, celle de la reproduction du réel et celle des moyens de dire la vérité ?
I- Liberté et mimésis, le paradoxe du roman La liberté totale du roman, loin de lui permettre d’exprimer n’importe quoi et loin de le faire profiter de cette liberté, le conduit à être frileux et à se cramponner à la représentation de la réalité. II- Mimésis et vérité 4 temps. Méthodologie : L'introduction de dissertation 1/2. Lecture du sujetAnalyse du sujetReformulation L’introduction est un moment-clé de la copie puisqu’elle donne le ton d’une part, disposant plus ou moins bien le correcteur et aussi parce qu’elle contient en réalité tout le devoir : elle analyse la citation, en tire les présupposés et annonce les problèmes qui y sont liés ; elle annonce aussi la problématique et le plan.
C’est donc un moment à soigner tout particulièrement. Bcp d’étudiants la rédigent intégralement au brouillon ; beaucoup aussi terminent par elle, pour lui donner l’ampleur que permet le fait d’avoir fini son devoir. André Gide, dans Les faux-monnayeurs, fait dire à son personnage Edouard : Vous expliquerez et commenterez ce jugement sur le roman. Lecture du sujet Domaine de définition : Le roman, venant d’un écrivain de roman. Point de vue du locuteur : Très impliqué puisque romancier ; implication notable avec questions, exagérations : toujours / jamais.
Contexte culturel : Mode de fonctionnement de la citation : Lnj2s28sf21qm00hqo1_500. Memento orthographique - Document lyclic. Orthographe ● Les adverbes en –ment : - Quand le son final est –ement, cela s’écrit toujours –ement. - Quand le son final est –ément, cela s’écrit toujours –ément - Quand le son final est –ament, il faut se demander d’où dérive l’adverbe ; s’il dérive d’un adjectif en –ant à amment ; s’il dérive d’un adjectif en –ent à emment : constant à constamment ; fréquent à fréquemment.
Dans tous les cas, si le son est [a], il y a automatiquement deux « m ». ● L’accord du participe passé : - Employé sans auxiliaire : fonctionne comme un adjectif qualificatif à accord avec le nom (« Des fleurs fanées ») - Avec « être » : accord en genre et en nombre avec le sujet (« Elle est partie ») - Avec « avoir » : accord avec le COD s’il est placé avant le verbe (« J’ai acheté des fleurs » ; « les fleurs que j’ai achetées ») . - Avec un verbe pronominal : NB : jamais d’accord avec « fait » suivi d’un infinitif : « les robes qu’elles se sont fait faire », « elle s’est fait attaquer ». ● Récurrent ; occurrence. ● Inhérent. Je lis avec Léon. Gramm-O-L'eau.
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