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Venezuela

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Le Venezuela donne soixante-douze heures à l’ambassadrice de l’Union européenne pour quitter le pays. La réponse à la nouvelle salve de sanctions de l’Union européenne (UE) n’a pas tardé.

Le Venezuela donne soixante-douze heures à l’ambassadrice de l’Union européenne pour quitter le pays

Mercredi 24 février, le Venezuela a décidé l’expulsion de l’ambassadrice de l’UE à Caracas, a annoncé le ministre des affaires étrangères, Jorge Arreaza. « Aujourd’hui, sur décision du président Nicolas Maduro nous avons remis en mains propres à Mme Isabel Brilhante (…) une déclaration de persona non grata », a déclaré M. Arreaza à la presse, après une réunion avec la diplomate. « Il lui a été donné un délai de soixante-douze heures pour quitter le territoire vénézuélien », a-t-il ajouté.

M. Arreaza a dénoncé des sanctions « illégales ». « Espérons que l’Union européenne réfléchisse, espérons que nous puissions reconstruire des ponts d’entente, de dialogue, espérons qu’ils apprennent à [nous] respecter », a-t-il ajouté. Bataille judiciaire entre Caracas et la Banque d’Angleterre autour d’un pactole en or. Publié le : 25/05/2020 - 19:24Modifié le : 25/05/2020 - 19:24 Le Venezuela poursuit la Banque d’Angleterre en justice pour récupérer ses réserves en or, qui valent près d’un milliard d’euros afin, officiellement, de lutter contre le Covid-19.

Bataille judiciaire entre Caracas et la Banque d’Angleterre autour d’un pactole en or

Depuis plus d’un an, ce pactole est une épine politique dans le pied de la banque centrale britannique. Le Venezuela veut récupérer son or qui dort au Royaume-Uni pour lutter contre le Covid-19. Dans ce qui constitue le dernier acte d'une bataille de longue haleine entre le président vénézuélien Nicolas Maduro et la Banque d'Angleterre, Caracas a décidé de traîner la vénérable institution britannique en justice afin de pouvoir rapatrier 930 millions d'euros en lingots d'or stockés à Londres depuis 2008, a rapporté le Financial Times, jeudi 21 mai. Venezuela : la malédiction du pétrole. Le Venezuela sous l’emprise des guérillas. Untitled. La Russie investira six milliards de dollars au Venezuela. Après la rencontre entre Nicolas Maduro et Vladimir Poutine, Moscou et Caracas ont signé un contrat d'investissement de 5 milliards de dollars en vue d'augmenter la production de pétrole et d'un milliard supplémentaire pour la production minière.

La Russie investira six milliards de dollars au Venezuela

Nicolas Maduro peut être satisfait de son voyage officiel à Moscou, durant lequel il a rencontré son homologue russe Vladimir Poutine. Caracas et Moscou ont en effet signé pour 5 milliards de dollars de contrats liés à la production de pétrole lors de la visite de Nicolas Maduro en Russie. C'est le président du Venezuela qui a lui-même annoncé l'accord dans une vidéo publiée sur son compte Twitter, au lendemain de sa rencontre avec le président Vladimir Poutine.

«Des contrats ont été signés afin de garantir des investissements de 5 milliards de dollars visant à augmenter la production de pétrole avec des partenaires russes dans des entreprises mixtes», a déclaré Nicolas Maduro dans une vidéo tournée à Moscou. Le secrétaire général de l’OEA n’exclut pas une « intervention militaire » au Venezuela.

Luis Almagro, le dirigeant de l’Organisation des Etats d’Amérique, a dit ne pas écarter une « action » pour « renverser le régime de Nicolas Maduro ».

Le secrétaire général de l’OEA n’exclut pas une « intervention militaire » au Venezuela

Le secrétaire général de l’Organisation des Etats d’Amérique (OEA), Luis Almagro, a déclaré, vendredi 14 septembre, qu’il ne fallait pas exclure « une intervention militaire » au Venezuela pour « renverser » le gouvernement de Nicolas Maduro, responsable de la grave crise économique, humanitaire et migratoire que traverse le pays. Lors d’une conférence de presse dans la ville colombienne de Cúcuta, principal point d’entrée des Vénézuéliens en Colombie, près de la frontière avec le Venezuela, M. Almagro a déclaré : « En ce qui concerne une intervention militaire visant à renverser le régime de Nicolas Maduro, je pense que nous ne devons exclure aucune option. » Lire aussi : L’interminable descente aux enfers du Venezuela « Inadmissible » M. Maduro multiplie le salaire minimum par 35 pour tenter de sortir le Venezuela de la crise. Obama rate son coup d'État au Venezuela, par Thierry Meyssan. Le président Obama avec son conseiller pour l’Amérique latine, Ricardo Zuñiga, et la conseillère nationale de sécurité, Susan Rice. © Maison-Blanche Le président Obama avait prévenu.

Obama rate son coup d'État au Venezuela, par Thierry Meyssan

Dans sa nouvelle doctrine de Défense (National Security Strategy), il écrivait : « Nous nous tenons aux côtés des citoyens dont le plein exercice de la démocratie est en danger, tel que les Vénézuéliens ». Or, le Venezuela étant, depuis l’adoption de la constitution de 1999, l’un des États les plus démocratiques au monde, cette phrase laissait présager du pire pour l’empêcher de poursuivre dans sa voie d’indépendance et de redistribution des richesses. C’était le 6 février 2015. L’« Opération Jéricho » était supervisée par le Conseil national de sécurité (NSC), sous l’autorité de Ricardo Zuñiga.

Comme toujours dans ce type d’opération, Washington veille à ne pas paraître impliqué dans les événements qu’il dirige. Ancien numéro 2 de l’Isaf en Afghanistan, le général Thomas W.

Barrage de Guri (Venezuela)