background preloader

Palaces

Facebook Twitter

A Paris, les Palaces en pleine mutation pour rester compétitifs [carte interactive & vidéo] Dans un contexte de concurrence de plus en plus forte sur le marché des palaces parisiens, l’état qualitatif des produits est devenu éminemment stratégique. Mais dans ce domaine, les écarts se sont creusés entre les grands noms de l’hôtellerie parisienne. Où en est-on ? Tour d’horizon des dernières rénovations, créations et projets, en carte interactive et vidéos. Alors que les palaces de la capitale se livrent une concurrence sans cesse croissante, l’exigence perpétuelle de nouveauté de la part de leurs clientèles stimule les projets architecturaux ambitieux et les travaux de longue haleine. Pour faire face à l’arrivée de nouveaux rivaux, les rénovations d’envergure se sont imposées comme des prérequis indispensables à la survie des palaces existants.

(Naviguez sur les points pour afficher les informations et lancer les vidéos de présentation des hôtels ou des projets) En 2001, le Four Seasons George V avait ouvert la voie en lançant un programme de rénovation de 80 millions d’euros. Les palaces parisiens Paris. L’acteur George Clooney appelle au boycott des hôtels liés au sultan de Brunei. Hôtel de Crillon : la renaissance d'un palace mythique. La grande bataille des palaces parisiens. Pour le Lutetia, palace iconique de la rive gauche de la capitale, c'est le grand jour. Fin prêt au bout de quatre ans de fermeture pour travaux, le grand hôtel fête ce 10 juillet sa réouverture.

Malgré une chaleur caniculaire, les invités, triés sur le volet, se pressent autour du buffet, le champagne coule à flots, et les brioches au caviar s'entassent sur des plateaux d'argent. Tous admirent le renouveau de ce palais construit en 1910 à l'initiative de Mme Boucicaut, la propriétaire du Bon Marché, désireuse d'offrir à ses clients de province un hôtel de qualité proche du magasin. Le bar Joséphine, qui affiche ses fresques Art déco, longtemps masquées sous des couches de peinture blanche, baigne dans un décor contemporain imaginé par l'architecte Jean-Michel Wilmotte. Pour l'occasion, la salle vibre au rythme d'un petit orchestre de jazz - clarinette, guitare et contrebasse. Cette douce euphorie cache pourtant une certaine inquiétude. La course au luxe La floraison des boutiques-hôtels. Le château de Versailles choisit Alain Ducasse et Stéphane Courbit pour créer un hôtel de luxe. Le groupement LOV Hotel Collection, appartenant à l'homme d'affaires Stéphane Courbit et Alain Ducasse entreprise, a été retenu par l'établissement public du château de Versailles pour transformer en hôtel un ensemble de trois bâtiments longeant le Parterre de l'Orangerie, selon un communiqué publié lundi.

L'appel d'offres, clos en septembre, avait reçu une vingtaine de candidatures françaises et étrangères. Situés en prolongement de l'aile du Midi, le Grand Contrôle, le Petit Contrôle et le Pavillon des premières cent marches, représentant une superficie totale de 2.800 m2, sont inoccupés depuis 2008. Selon l'appel d'offres, la rénovation de la toiture et des murs représente un investissement évalué entre 4 et 7 millions d'euros, auquel viendraient s'ajouter 4 millions d'euros pour l'aménagement intérieur. La concession est accordée pour 60 ans. Ce "projet exceptionnel proposera un hôtel de prestige d'une vingtaine de chambres, et un restaurant de haute cuisine française.

"(...) Des Qataris s'offrent quatre grand hôtels français. Un investisseur qatari vient de s'offrir quatre grands hôtels français, dont le célèbre Martinez cannois et le Concorde Lafayette de la Porte Maillot à Paris, renforçant encore la présence de l'émirat dans l'hôtellerie de luxe de l'Hexagone. Les autres établissements repris sont l'Hôtel du Louvre, à Paris, et le Palais de la Méditerranée, à Nice, ont indiqué vendredi des sources proches du dossier. Ces hôtels appartiennent au fonds américain Starwood Capital. Interrogée à Paris, la société n'a pas souhaité commenter ces informations. Selon le quotidien "Le Figaro" de samedi, l'investisseur qatari aurait déboursé entre 700 et 750 millions d'euros. Un comité central d'entreprise du Groupe du Louvre, que contrôle Starwood Capital, avec pour ordre du jour la vente des quatre hôtels, est prévu jeudi 28 juin, a confirmé à l'AFP Claude Levy, du syndicat CGT des hôtels de prestige et économiques.

Le Qatar un investisseur boulimique en France L'exploitation des hôtels serait confiée à Hyatt. LVMH dévoile enfin son projet pour la Samaritaine. L'opération séduction continue pour LVMH. Après les politiques, le grand public aura droit dès cette semaine à une présentation détaillée de son projet pour la Samaritaine dans un espace baptisé "La maison du projet", situé au 83 rue de Rivoli. Les quatre bâtiments de l'ancien grand magasin, acheté en 2001 par LVMH puis fermé en 2005 pour un coût total de fermeture de 160 millions d'euros, vont renaître de leurs cendres.

Après enquête publique, les permis de construire devraient arriver début 2012 et les travaux s'achever mi-2014. Pour l'inauguration de cet espace didactique, avec maquettes et vidéo, le président du projet et accessoirement directeur financier de LVMH, Jean-Jacques Guioni, s'est entouré ce mercredi matin de politiques de tous bords, dont Anne Hidalgo, première adjointe du maire de Paris, et Jean-François Legaret, maire UMP du 1er arrondissement. 2.400 emplois seront créés Le p.

Un magasin Vuitton y sera implanté. Un nouveau palace parisien racheté par des capitaux étrangers. Le Crillon, ce prestigieux palace de la place de la Concorde à Paris a finalement trouvé acquéreur. Le groupe le Louvre, filiale française d'un fonds américain qui en était propriétaire l'a vendu contre 250 millions d'euros à un membre éminent de la famille royale d'Arabie Saoudite dont le nom n'est pas encore connu. La liste de palaces parisiens aux mains de capitaux étrangers ne cessent de s'allonger.

Le Ritz est égyptien, le Bristol allemand... Sur les sept palaces historiques de Paris, seul le Fouquet's Barrière est contrôlé par des capitaux français. Cette situation n'est pas pour autant négative comme nous l'explique Mark Watkins, directeur de cabinet d'études Catch Omnium spécialiste de l'hôtellerie. « Ces hôtels restent en France. Sont rénovés pour la plupart d’entre eux ou arrivent tout neuf, les emplois sont en France, les investisseurs sont en France donc ça pose aucun problème. Et les hôtels de luxe à Paris continuent d'intéresser les capitaux étrangers. Un nouveau palace parisien, le Lutetia, racheté par des étrangers. Le groupe du Louvre, détenu par l'américain Starwood (qui pssède plusieurs hôtels de luxe à Paris : le Crillon, le Condorde Lafayette ou le Martinez à Cannes), annonce que le célèbre palace parisien le Lutetia, s a été vendu au groupe israélien Alrov.

Le montant de la transaction n'a pas été précisé. En mai dernier, Le Figaro qui évoquait déjà l'information citait un montant de 150 millions d'euros. Louvre Hôtels qui porte une dette de 1,6 milliard d'euros, veut se désengager de l'hôtellerie de luxe pour ne garder que l'hôtellerie économique avec ses marques Kyriad, Campanile, Première Classe. Le groupe Alrov (185,6 millions d'euros de chiffre d'affaires, 94 millions de bénéfices, deux hôtels de luxe à Jerusalem, le David Citadel et le Mamilla) a déjà versé 10 millions d'euros en vue de l'acquisition de hôtel, qui fête cette année son centenaire et avait joué un rôle important pendant la seconde guerre mondial.