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France

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N° 2983 - Proposition de résolution de M. Jean-Jacques Candelier tendant à la création d'une commission d'enquête chargée d'examiner la dette publique et les choix à opérer pour libérer la France de la pression des marchés financiers. (Renvoyée à la commission des finances, de l’économie générale et du contrôle budgétaire, à défaut de constitution d’une commission spéciale dans les délais prévus par les articles 30 et 31 du Règlement.) présentée par M. Jean-Jacques CANDELIER, député. Mesdames, Messieurs, Avec le Pacte de stabilité 2014-2017, le Gouvernement mène une politique d’austérité jamais vue en France. À ces coupes budgétaires s’ajoutent les contraintes découlant du semestre européen, à savoir, la planification pluriannuelle de la baisse du pouvoir d’achat des ménages par la précarisation du monde du travail, via l’adoption de réformes structurelles comme l’assouplissement des procédures de licenciement. Les institutions de démocratie de proximité, les collectivités territoriales, pourtant faiblement responsables de la dette publique, sont visées.

Les effets de cette saignée sont explosifs et lourds de conséquences sur les conditions de vie de nos concitoyens. Mais d’où vient la dette ? Article unique. Le FMI met en garde la France sur son déficit et sa compétitivité. WASHINGTON (AFP) - Le FMI n'a pas fait de cadeau de fin d'année à la France: le Fonds a martelé vendredi que le pays n'atteindrait pas son objectif d'un déficit public à 3% du PIB en 2013 et a mis en garde contre des "risques de dégradation" liés à son problème de "compétitivité". "Les perspectives de croissance sont assombries par une reprise chancelante en Europe et un problème de compétitivité vis-à-vis des partenaires commerciaux", écrit le Fonds monétaire international dans son rapport annuel sur la France, publié à la surprise générale à la veille du week-end de Noël. Le tableau hexagonal n'incitait déjà pas à l'enthousiasme. Jeudi, l'Insee a assuré que la France entamerait l'année prochaine "sans élan" de croissance alors que le gouvernement s'accroche toujours à son ambitieux objectif d'une progression de 0,8% de son produit intérieur brut.

Mi-octobre, le président français l'avait encore répété. Mais, selon le FMI, la France n'a pas totalement son destin entre ses mains. HTC News. Conjoncture : La France emprunte à un taux négatif, une première. En cette période de crise de la zone euro, où les dettes des pays du Sud sont devenues des repoussoirs, les investisseurs sont désespérément à la recherche de placements sûrs. La France rejoint le club très fermé des pays qui, comme l'Allemagne, le Danemark et les Pays-Bas, ont réussi, au moins une fois cette année, à emprunter à taux négatif. L'Agence France Trésor a placé ce lundi des bons du Trésor à trois mois à -0,005% et des bons à six mois à -0,006%. Cela signifie que les investisseurs acceptent de recevoir, dans trois ou six mois, un peu moins que leurs fonds immobilisés au départ.

En général, c'est évidemment l'inverse qui se produit: celui qui prête de l'argent ne le fait qu'à condition de retrouver sa mise augmentée d'un intérêt. Mais en cette période de crise de la zone euro, où les dettes des pays du Sud sont devenues des repoussoirs, les investisseurs sont désespérément à la recherche de placements sûrs.

Une bonne nouvelle pour les caisses de l'État. Sociétés : L'Etat vole au secours du Crédit immobilier de France. Le gouvernement est contraint de voler au secours du petit prêteur immobilier sous la menace d'une crise de liquidité. Son PDG a quitté ses fonctions après un conseil d'administration de crise. Encore une crise dont le nouveau gouvernement se serait bien passé. Bercy, comme l'a révélé lefigaro.fr, a dû accepter en urgence ce week-end d'accorder la garantie de l'État au Crédit immobilier de France. Il n'y avait pas de temps à perdre. Ne pouvant faire appel au marché depuis le premier coup de semonce de l'agence de notation en février et faute d'avoir trouvé un repreneur cet été, la banque n'avait d'autre choix que de demander l'intervention de l'État.

Les pouvoirs publics, toutefois, ont posé leurs conditions. Pas de nationalisation Comme pour Dexia, en effet, le gouvernement aura besoin de l'aval du Parlement et du feu vert de la Commission européenne dans le cadre de la procédure des aides d'État. » Dexia, CIF: les deux urgences bancaires de Pierre Moscovici. Marc Fiorentino : le 7 mai, la France sera attaquée !

Le pays est attaqué ! Euh en fait non... AMFAutorité des Marchés Financiers. C'est l'autorité française de régulation des marchés financiers. Son équivalent pourrait être la SEC américaine.Equivalent de la SEC (Security Exchange Commission) américaine. N’a pas plus d’Autorité que sa consœur n’est gage de Sécurité (cf. Madoff) Appel de MargeDemande de reconstitution du compte de marge.Le pognon que tu dois envoyer quand tu es collé sur ta position. Arbitrage Stratégie de trading profitant d'incohérences momentanées entre les prix de plusieurs actifs ou contrats. Back-TestingTest de la validité d'un modèle ayant pour appui des données historiques.Excuse universelle: Je ne comprends pas, le fonds a perdu 5% et pourtant, quand on fait le back testing, il aurait dû en gagner 2% ! Bâle IIProcédures rénovées de calcul des capitaux propres que se doivent de posséder les banques. BaseDifférence entre le prix spot (à l'instant T) et le prix futur (T+1).Différence entre le prix spot et le prix futur.

CDOCollateralized Debt Obligation. Pourquoi l'austérité ne mobilise pas en France. ‘Buy French’ Becomes Battle Cry for Politicians in France. (Adds new Bayrou comment in third paragraph.) Dec. 7 (Bloomberg) -- With France’s economy slowing and joblessness at its highest in 12 years, politicians are turning to a well-worn credo: “Buy French.” France is entering the height of its holiday spending season with politicians egging consumers on to buy “Made in France” products to keep jobs at home.

Consumer spending, which accounts for 56 percent of the $2.56 trillion economy, may create jobs if the French buy local goods, says Francois Bayrou, a centrist candidate in the presidential elections next year. “My proposal is to rectify our country’s brand image, to encourage consumers to buy French and to support very small-and medium-sized companies,” Bayrou said in a posting on his website today, ahead of the official announcement of his candidacy this afternoon. As the European debt crisis rips through France, President Nicolas Sarkozy, who faces an election in April and May next year, is struggling to cap unemployment.

Notation des Marchés

L'Etat empruntera un peu moins auprès des investisseurs en 2012, Actualités. Pourquoi Sarkozy est si fasciné par l'Allemagne. La croissance française revue à la baisse pour 2011. La plupart des conjoncturistes, ainsi que le gouvernement fin août, avaient déjà revu à la baisse leurs perspectives de croissance pour 2011. L'Insee vient de faire de même. Dans sa note de conjoncture publiée ce jeudi, l'Institut national de la statistique ne table plus que sur 1,7% de hausse du PIB cette année, contre 2,1% en juin dernier. Il faut dire qu'après la panne enregistrée au deuxième trimestre, l'horizon de la croissance tricolore s'est considérablement assombri. L'année avait pourtant bien commencé, avec un PIB en hausse de 0,9% au premier trimestre.

Le caractère temporaire de ces chocs (la production industrielle japonaise a quasiment retrouvé son niveau d'avant le séisme et le choc d'inflation s'estompe, les prix du pétrole se stabilisant sous les 100 dollars) laissait toutefois espérer des perspectives de rebond au second semestre. Dégradation du climat des affaires Il ne faudra pas non plus compter sur le commerce extérieur pour tirer la croissance. Marchés : La pression monte sur les emprunts d'Etat français. EXPERTISE BOURSE - L'écart de taux d'intérêt entre les emprunts français et allemands à dix ans a atteint un record. Les agences de notation pourraient trouver là un argument pour remettre en question la note «AAA» de la dette française.

Rien à voir avec ce qui se passe en Italie, mais les inquiétudes des opérateurs sur les marchés financiers se déplacent de plus en plus vers la France. Le taux des emprunts d'État français à dix ans dépasse désormais les 3,40%, ce qui porte l'écart par rapport aux emprunts allemands de même durée à 1,6 point de pourcentage (160 points de base).

Un record qui n 'a jamais été atteint depuis la mise en place de l'euro. Les tensions sur les taux français s'expliquent bien sûr par la dégradation des finances publiques françaises par rapport à l'Allemagne et par une défiance croissante à l'égard des pays les plus endettés de la zone euro, dont nous faisons partie. Les mauvais résultats des banques pèsent » La dette italienne fait vaciller les marchés. Conjoncture : La France contaminée par la crise italienne. Les taux français se sont envolés, jeudi, à 3,46% pour l'OAT à dix ans, soit presque le double des taux allemands. S&P a annoncé «par erreur» une dégradation de la note de la République française. «Alerte pays souverains - République française - Dégradée - Notation non sollicitée.»

C'est le message lapidaire qui s'est affiché, jeudi, à 15h57 sur les écrans des traders clients de l'agence de notation Standard &Poor's. Le groupe américain a mis quelques minutes avant de rectifier le tir, invoquant «une erreur technique» ayant conduit à la diffusion de ce message. L'erreur de S&P n'explique pas tout. Cinquième économie du globe Cette situation doit être relativisée. Au-delà du cas français, l'urgence reste toujours de sauver l'Italie. «Si l'Italie ne peut plus faire appel a u marché pendant trois ans, il faudra lui prêter environ 650 milliards d'euros, voire davantage en intégrant une éventuelle recapitalisation des banques», estime John Higgins, économiste chez Capital Economics.

Crise : pourquoi la France est menacée ? La Commission européenne a estimé jeudi que la croissance s’est interrompue dans l’Union européenne et que cette dernière n’est pas à l’abri d’une nouvelle récession. La Commission a en particulier appelé la France à envisager de nouveaux efforts d’austérité pour tenir ses engagements. Elle a ainsi révisé ses prévisions pour la croissance du pays en 2012 (0,6%) ainsi que pour le déficit (5,1% en 2013).

Tour d’horizon des principaux points faibles de la France. Lorsque la croissance baisse, les recettes fiscales de l’Etat diminuent et les déficits se creusent. La croissance de l’Hexagone est donc au cœur de notre politique budgétaire. Or, cette croissance a été largement revue à la baisse. Pour 2011, le gouvernement avait prévu une croissance de 2,1% du PIB avant de la réviser à 1,75%. En 2012, la croissance devrait dégringoler. Mais la dette souveraine, ce n’est pas tout. Le gouvernement s’est engagé à ramener ce déficit à 3% du PIB en 2013, après 5,7% en 2011 et 4,5% en 2012.