background preloader

Divers

Facebook Twitter

Inside a Google data center. Google Lunar XPRIZE Home Page. Google Partnering With Foxconn to Test Industrial Robots. Perhaps in hindsight we all should have seen Google’s turn to robotics coming when, under Andy Rubin, the company dubbed its mobile operating system Android. With Rubin now in charge of Google’s still mostly secret robotics division, the software engineer's trajectory seems to be the key to what the company is up to in robotics. While details are still scant and Google declined to comment for this article, an executive from the Chinese electronics manufacturer Foxconn spoke out of turn recently to the Wall Street Journal, telling the paper that Foxconn will partner with Google to try out some industrial robots made by the tech giant. After acquiring seven robotics companies, several of which focus on industrial machines, it’s no surprise that Google is preparing to try out a few new toys.

And it makes sense that it would seek to do so away from prying eyes in Silicon Valley. An existing Foxconn robot “Robots, like smartphones, are platforms for products and services. Andy Rubin. HTC News. France 24 Friday, July 04, 2014 12:47 PM GMT Il fallait bien un mastodonte du calibre de Goldman Sachs pour réussir ça. La banque d'affaires américaine a assuré, mercredi 2 juillet, avoir obtenu que Google bloque l'accès à un courriel qu'un de ses collaborateurs avait envoyé par erreur à une adresse Gmail. C'est la première fois que le géant de l'Internet empêche, sur demande d'une société privée, un internaute de lire un message qu'il a reçu, même par erreur. La banque d'affaires a souligné à quel point cette erreur d'aiguillage d'un de ses collaborateurs externes était importante à ses yeux.

La bourde initiale aurait, pourtant, de quoi faire sourire. En l'occurrence, il ne s'agissait pas d'un courriel anodin, et c'est bien ça qui chiffonne le géant de la finance. "Dangereux précédent" Les responsables de Goldman Sachs ont dû être gagnés par quelques montées de sueurs froides à l'idée qu'un tel trésor se retrouve entre de mauvaises mains. Le cœur du business de Google enfreint un vieux brevet de Lycos, selon le juge. WEB Google pourrait être contraint de payer des centaines de millions de dollars à un troll qui a racheté le portefeuille de l'ancien moteur français...

Publié le Mis à jour le Blast from the past, comme disent les Anglo-Saxons. Roi des années 90, le moteur de recherche Lycos vient hanter Google indirectement, par l'intermédiaire de Vringo, une obscure entreprise qui a racheté certains de ses brevets. Google a d'ores et déjà fait appel. Selon le procès verbal rédigé par le juge Raymond Jackson, que le site Ars Technica publie, Google doit verser à Vringo 1,36% des revenus générés par sa régie publicitaire Adwords entre 2012 et 2016 aux Etats-Unis. «Troll» des brevets Vringo est ce que les Américains appellent un «troll» des brevets. Les brevets portent sur le système d'enchères d'Adwords, qui permet à un annonceur de choisir quelle somme il veut dépenser sur un mot-clé pour que son site apparaisse dans la section sponsorisée de Google.

Mots-clés : Aucun mot-clé. HTC News. VIDEO. Google versera 60 millions d'euros à la presse française. «Il s'est produit aujourd'hui un événement mondial, la conclusion d'un accord entre Google et un groupement de presse qui a été capable de se fédérer pour mener cette négociation», s'est félicité François Hollande, qui assistait à la signature à l'Elysée. Le président a fait valoir que «cet accord (était) bon pour la presse française, bon pour les contenus et bon aussi pour Google». «C'est une fierté pour la France d'avoir été capable de réaliser cet accord qui est le premier dans le monde», s'est réjoui François Hollande. Un «partenariat commercial» L'accord signé entre Google et les éditeurs de presse est basé sur un «partenariat commercial» destiné à aider la presse à se développer sur internet et à «accroître ses revenus en ligne», a indiqué un porte-parole du géant américain.

Il ne s'agit pas d'allouer une enveloppe aux éditeurs de presse mais «d'initier de nouveaux projets ensemble». VIDEO. . • Des solutions publicitaires. . • Un fonds de 60 M€. VIDEO. 5 M€ d'impôt sur les sociétés. La presse veut que Google paie pour utiliser ses contenus. Les éditeurs de presse ont demandé au gouvernement un projet de loi pour que les moteurs de recherche les rétribuent pour l'utilisation de leurs contenus, ont annoncé mardi 11 septembre les patrons du "Figaro", des "Echos" et du "Nouvel Observateur".

Dans une interview conjointe publiée par "Le Figaro", Marc Feuillée, Francis Morel et Nathalie Collin défendent la création d'un "droit voisin" dont le montant reviendrait aux journaux en échange du référencement de leurs sites respectifs. "Simple à mettre en oeuvre et équilibré" "Nous travaillons sur ce projet depuis le printemps, après avoir constaté l'échec des discussions entamées depuis trois ans avec Google.

Aujourd'hui, tous les éditeurs de presse quotidienne, magazine ou purement internet sont rassemblés derrière ce projet" qui a été soumis au gouvernement, a indiqué la directrice du "Nouvel Obs". Selon elle, "ce projet de loi est simple à mettre en oeuvre et il est équilibré. Un projet qui cible la recherche de contenus. Google paye 17 millions de dollars pour avoir surveillé des internautes. Google a accepté de payer 17 millions de dollars pour mettre fin à des poursuites pour surveillance des internautes, dans le cadre d'un accord à l'amiable annoncé lundi avec 38 Etats américains. "Les consommateurs devraient pouvoir savoir s'il y a d'autres yeux naviguant sur Internet avec eux. En surveillant des millions de personnes à leur insu, Google a violé non seulement leur vie privée, mais aussi leur confiance", a commenté Eric Schneiderman, ministre de la justice de l'Etat de New York, dans le communiqué annonçant l'accord.

Google était accusé d'avoir placé sans autorisation des petits logiciels espions sur les ordinateurs d'utilisateurs du navigateur Safari d'Apple, en contournant les réglages qui interdisaient ce type de surveillance. Les faits ont eu lieu du 1er juin 2011 au 15 février 2012, et ont été utilisés par Google à des fins publicitaires. Objectif : mieux cibler les annonces en fonction de l'activité des propriétaires des ordinateurs sur Internet. Google rachète VirusTotal, détecteur de malware en ligne. Les plus gros flops de Google. A Google a Day.