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Inside a Google data center

Inside a Google data center
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Un data center chauffe l'eau d'une piscine de Paris à 27°C Les deux bassins, intérieur et extérieur, de la piscine de la Butte-aux-Cailles sont chauffés par des serveurs informatiques Les six chaudières installées permettent de réaliser une économie de 45 tonnes de CO2 par an Après les pompes à chaleur et le chauffage urbain, voici le chauffage numérique. La piscine de la Butte-aux-Cailles accueille dans le sous-sol des serveurs qui transfèrent de la chaleur dans les bassins intérieur et extérieur. Un système qui fonctionne 24 heures/24 pour les deux piscines ouvertes toute l’année. >> A lire aussi: A la piscine Aspirant-Dunand, les égouts chauffent le bassin (et les douches) Pour garder l’eau du bassin extérieur de 25 mètres de long à une température de 27 °C, même en hiver, l’utilisation de la chaleur produite par les serveurs informatiques est judicieuse. Stimergy revend la chaleur 15 à 20 % moins cher que la Compagnie parisienne de chauffage urbain (CPCU), fournisseur d’énergie de l’établissement.

Microsoft immerge un data center dans le nord de l'Écosse pour refroidir les serveurs Les data centers demandent souvent un grand espace de vu leur taille. Ces lieux regroupent de nombreux serveurs pour stocker des données et les faire transiter vers les utilisateurs. Microsoft en a plusieurs dans le monde et en a proposé un nouveau près de l’archipel des Orcades dans le nord de l’Écosse. Sa particularité : être sous l’eau. Ce data center consiste en un cylindre blanc de 12,2 mètres de long qui contient 864 serveurs et qui peut rester sous l’eau jusqu’à cinq ans. Il a été construit en France par le groupe de construction navale Naval, puis conduit aux Orcades, un archipel d’environ 70 îles. Mais au fait, pourquoi un data center sous l’eau ? Ici, la mer se charge de refroidir rapidement et facilement les serveurs, ce qui permet de réaliser d’importantes économies. Signaler une erreur dans le texte Merci de nous avoir signalé l'erreur, nous allons corriger cela rapidement. Intéressant ? Restez connectés avec nous :-)

650 térawatt-heures : c'est la consommation prévue des data centers du monde entier en 2020 Yvelines : à Aubergenville, les data centers vont pousser comme des champignons - Le Parisien C’est le premier mais pas le dernier. À Aubergenville, la zone d’activités du Clos-Reine s’apprête à devenir un véritable champ de data centers, ces bâtiments de stockages des données informatiques. L’entreprise Thésée, qui y a inauguré la construction de son premier data center, se penche déjà sur l’agrandissement de son parc. « À terme, on souhaite mettre en place un vrai campus dédié. Il y aura au total six bâtiments et plus de 30 000 mètres carrés de salles informatiques », explique le directeur, Christophe Bouniol. Le premier centre compte déjà 6 000 mètres carrés, avec deux salles pour stocker les données des clients. « Le gage 100 % français est important dans le domaine informatique pour qu’aucune disposition ne vienne entraver la sécurité des données. L’autre enjeu était environnemental. « C’est intéressant à la fois pour la planète mais aussi pour les clients puisqu’ils payent les factures » explique le président de l’entreprise. C’est le premier mais pas le dernier.

Les pays qui hébergent le plus de data centers À l'ère du numérique et avec l'explosion du Big Data, les centres de données sont devenus des infrastructures indispensables et représentent des enjeux stratégiques pour les États. D'après le recensement de la plateforme Cloudscene, sur plus de 8 100 centres de données répertoriés dans le monde au mois d'octobre 2021, environ le tiers sont installés aux Etats-Unis (2 705). Comme le montre notre graphique, le pays domine ainsi très largement le classement mondial des pays les mieux équipés en la matière, devant l'Allemagne (466), le Royaume-Uni (449) et la Chine (415). Avec 247 centres de données recensées sur son territoire, la France se classe quant à elle au 8ème rang mondial, derrière l'Australie (270) et devant le Japon (205). Ensemble, les huit pays de cette liste hébergent environ 63 % des data centers de la planète.

Entre inquiétude et enthousiasme, les villes confrontées à l’arrivée des data centers A moins de six mois d’écart, la scène se répète. Marseille, le 27 mai : le gratin politique local se presse pour une visite du chantier du futur data center (« centre de données ») d’Interxion, son quatrième dans la ville. Même parterre d’élus, le 5 octobre, à Bruges (Gironde), en périphérie de Bordeaux, pour l’inauguration du data center d’Equinix. A 600 kilomètres de distance, les édiles affichent leur satisfaction, voyant dans ces infrastructures un atout pour se positionner aux avant-postes de la révolution numérique. « Ici, les entreprises auront des capacités technologiques qu’elles n’auraient pas ailleurs », se réjouit Alain Anziani, président PS de la Bordeaux Métropole. Pas de hasard à ce que deux villes du littoral soient candidates à devenir les grands pôles régionaux de l’économie de la donnée. Lire aussi Article réservé à nos abonnés L’américain Interxion s’impose en France comme un acteur majeur des centres de données

Les data centers sont de plus en plus problématiques pour la planète Les datas centers sont aujourd'hui l'une des principales raisons de la pollution dans le monde, au même titre que l'aviation. Quand il est question d’écologie, les grands groupes pétroliers, les constructeurs automobiles ou encore l’industrie agroalimentaire sont généralement pointés du doigt comme les plus grands responsables du dérèglement climatique en cours. Mais de plus en plus souvent les géants du numérique sont ajoutés à la liste des condamnés, du moins des condamnables. Si Amazon fait office d’arbre qui cache la forêt, l’entreprise de Jeff Bezos n’est en effet pas la seule à polluer notre planète en expurgeant son activité sur le web. Au total, les plus grandes entreprises du numérique polluent au moins autant que des pays entiers. Il est généralement convenu que 10 % de l’électricité mondiale est dédiée à internet. La neutralité carbone… sur le papier En effet, les géants des technologies payent simplement des REC, pour Renouvelable Energy Certification.

La lourde facture environnementale des data centers Niché dans le flanc d’une montagne norvégienne, DC1 a tout du data center modèle, sur le plan écolo du moins. Ses machines clignotantes s’alignent dans de longs couloirs de béton, donnant une seconde vie à un ancien tunnel de stockage de munitions de l’Otan. Mieux, pour refroidir ces ordinateurs surchauffés, de l’eau à 8 degrés est puisée directement dans le fjord voisin. Bien plus économe en énergie qu’une climatisation classique. Voici, par excellence, le genre d’histoire qu’adorent raconter les constructeurs de data centers. Les fermes de données s’annoncent ainsi «parmi les plus importants postes de consommation électrique du XXIe siècle», affirme un rapport de l’Ademe, l’Agence publique de la transition écologique. Car, loin d’être un nuage dématérialisé et abstrait d’ondes flottant au-dessus de nos têtes, le cloud repose sur des infrastructures concrètes, sans cesse sous tension. A Saint-Ouen-l’Aumône (Val-d’Oise), le centre DC5 utilise massivement l’air extérieur.

Île-de-France : visite au cœur d’un data center géant sous haute sécurité - Le Parisien Pour nous soutenir, acceptez les cookies Cliquez sur "Accepter" pour consentir ou paramétrez vos choix. En cliquant sur "Continuer sans accepter", vous refusez tout dépôt de cookies sur votre terminal. Vous pouvez modifier vos préférences à tout moment sur notre site.

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