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#13novembre2015

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13 Novembre : et revoilà les traqueurs de "mystérieuses coïncidences" Revoilà les théories du complot ! Une semaine seulement après les attentats, le site français Wikistrike balance une autre bombe : l'Etat français aurait coordonné, avec les services secrets, les attaques de Paris. Rien que ça. Comment, s'appuyant sur des faits en partie vrais, constuire une théorie du complot ? Cas d'école. "Tous ces faits démontrent sans équivoque que l’Etat français a tout coordonné avec les services secrets, manipulant des islamistes comme des marionnettes, et ce dans leur propre intérêt : changer la constitution, pour faire et imposer un Patriot Act à la française, comme les américains après les attentats du World trade Center.

" fermeture des frontières le jour des attentats ? Pas si bizarre, en réalité La veille des attaques de Paris, le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a, en effet, détaillé le dispositif mis en place à l’approche de la conférence sur le climat, la COP21, devant les sénateurs. Attentats du 13 novembre : comment l'AFP a travaillé pour redonner un visage aux victimes.

Comme de nombreux organes de presse, l'AFP a tenu à récolter et publier des éléments biographiques sur chacune des victimes des attentats du 13 novembre. L'un des journalistes mobilisés dans la cellule chargée de ce travail raconte. Derrière les chiffres, des hommes et des femmes, jeunes pour la plupart. Depuis le début de la semaine, 24 ou 48h après les attentats de Paris qui ont fait à ce jour fait 130 victimes et d’innombrables blessés, nombreux sont les médias qui ont entrepris de donner des visages à tous les disparus du Bataclan, de la Casa Nostra, du Carillon et du Petit Cambodge, de la Belle Equipe et du Stade de France. Sous forme de portfolios ou de « dataviz », Libération, FranceTV Info, Le Parisien, Le Monde, l’AFP, les journaux régionaux et même des médias étrangers, ont cherché à rappeler qui ils étaient, pourquoi ils étaient là. Quand et comment avez-vous décidé de récolter des éléments biographiques sur les victimes ? Quel était le but, derrière tout ça ?

Fusillade à l’hôtel Pullman : naissance, vie et mort d’une rumeur. Samedi 14 – 21h10. Le journaliste Thomas tweet avec le compte de son agence de presse : 8 minutes plus tard la journaliste chilienne Ivanna Lopez et son confrère français Gaspard Augendre évoquent une intervention de la police avenue de Suffren. Ces trois journalistes sont les premiers à évoquer ce qui, par le bouche oreille, deviendra l’une des plus importantes rumeurs de ce week-end : une nouvelle fusillade à deux pas du Champ-de-Mars.

StreetPress a remonté les 15.458 tweets mentionnant l’« Hôtel Pullman » et les 1970 qui évoquent le « Champ-de-Mars ». Retour sur les événements, minute par minute. Une très mauvaise blague Quand il s’empare de son téléphone, Gaspard est en caisse dans le 15e. . « Personne n’en parlait à la radio. Lorsqu’il arrive du côté du Champ-de-Mars, rien de rassurant. A l’origine de ce déploiement policier, un canular. . « Aux alentours de 20h30, quelqu’un est entré dans l’hôtel Pullman en criant “Alerte à la bombe” puis est immédiatement ressorti. » « Fusillade 15e »

10 rumeurs et intox qui circulent après les attentats du 13 novembre. Dans le sillage des fusillades à Paris et en région parisienne, de nombreuses réactions de soutien ont émergé sur les réseaux sociaux, mais aussi des rumeurs et de fausses informations. Le gouvernement a mis en garde contre la propagation de ces rumeurs et édité un guide de bonne conduite, les #MSGU, ou pratique des Médias sociaux en gestion d’urgence. Voici les principales, ainsi que l’explication de leur caractère erroné. 1. Non, quatre policiers n’ont pas été tués Des chaînes d’information et quelques sites ont diffusé durant la nuit une information erronée évoquant quatre policiers tués en neutralisant les assaillants au Bataclan, qui s’est répandue très rapidement. En revanche, un policier en civil, qui n’était pas en service, a été tué rue de Charonne. 2. D’autres médias ont pu donner des informations non avérées, comme dans ce tweet, très relayé.

En réalité, il n’y a eu aucune confirmation sur des fusillades ou des victimes aux Halles, à Belleville, au Trocadéro ou à République. 3. Attaques à Paris : les réseaux sociaux entre effroi, solidarité et paranoïa. A nouveau, les réseaux sociaux ont joué un rôle essentiel dans l'information tout au long de la dramatique soirée du vendredi 13 novembre à Paris et Saint-Denis.

Les premiers tweets sont tombés aux alentours de 21h30, vendredi. Des hashtags inquiets, apeurés : #fusillade dans le Xe arrondissement, #explosion au Stade de France pendant le match France-Allemagne. Le début d'un long cauchemar, vécu en direct par des centaines de milliers de connectés dans le monde. Le compte-gouttes des réseaux sociaux va s'emballer, pour devenir un torrent, puis un fleuve. Sur Twitter, tout au long de la soirée, journalistes, citoyens, témoins, familles, amis et autorités se sont relayés pour diffuser des précieuses informations, des conseils, et inévitablement dans ce genre de situation, quelques rumeurs, le plus souvent vite rectifées. Au milieu de ce chaos, dominé par la compassion, le hashtag #porteouverte reste l'un des symboles de cette soirée. La belle mécanique du numérique s'organise alors. Tweetping - Porte Ouverte. Attentats à Paris : les dispositifs spéciaux des géants du web pour aider, rassurer et informer.

Ce matin, on n’avait pas encore la tête à publier des articles sur les thématiques habituelles. Alors j’ai voulu souligner le rôle hyper important des réseaux sociaux vendredi dernier. Alors que Paris était attaqué, comme beaucoup je suis allé directement sur les réseaux sociaux pour suivre les événements en direct. Devant l’horreur des faits, les internautes se sont montrés forts et solidaires pour venir en aide en direct aux victimes de ces tragiques événements. Twitter a eu un rôle plus qu’important en mettant en place des hashtags comme #porteouverte ou #rechercheParis, Facebook aussi en plaçant des fonctionnalités pour indiquer être en sécurité… Petit tour d’horizon de ces fonctionnalités mis en place par les géants du web. Twitter #PorteOuverte Pendant les attaques à Paris, les internautes ont fait preuve de solidarité spontanée avec le hashtag #PorteOuverte.

Selon Topsy, un peu moins de 600.000 tweets auraient été partagés, avec des pics à 7.000 tweets par secondes. #RechercheParis.

Géolocalisation & tweeter

Les #MSGU : en cas de crise, sur les réseaux sociaux, adoptez le réflexe citoyen ! Si les médias sociaux constituent un nouveau canal de communication pour la puissance publique, leur utilité ne saurait se limiter à cette fonction. Ils présentent aussi pour elle l’opportunité d’associer les citoyens dans une démarche moins descendante et plus participative, notamment en situation de crise. C’est tout l’objet des #MSGU, ou pratique des Médias Sociaux en Gestion d’Urgence. Il s’agit pour l’Etat de s’appuyer, en cas par exemple de catastrophe naturelle, sur des internautes volontaires et mobilisés, à la fois pour diffuser l’information officielle fiable sur la crise, et remonter de l’information de terrain, via tous les moyens offerts par le web social : tweets, photos géolocalisées, cartes interactives, outils contributifs ...

Cette collaboration avec les internautes permet à l’Etat de démultiplier sa surface de diffusion et de captation d’information, et d’être d’autant plus efficace pour sa gestion de crise. Avoir le réflexe #MSGU Vous êtes au cœur de l’événement. Attaques à Paris : les rumeurs et les intox qui circulent.