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Ivan Illich. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ivan Illich Biographie[modifier | modifier le code] Son père, Piero, vient d'une famille possédant des terres (vignes et oliviers) en Dalmatie, près de la ville de Split en Croatie. Sa mère, Ellen, descend d'une famille juive allemande convertie. Pendant les années 1930, la xénophobie et l'antisémitisme montent en Yougoslavie. Le gouvernement poursuit Fritz Regenstrief à la Cour permanente internationale de justice de la Haye[2]. Venant d'une famille aristocratique ayant d'anciens liens avec l'Église catholique, il était destiné à devenir un prince de l'Église[2]. Mais en 1951, il part aux États-Unis avec l'idée d'étudier les travaux d'alchimie d'Albertus Magnus à Princeton. En 1956, il est nommé vice-recteur de l'université catholique de Porto Rico.

En 1961, il fonde le Centre pour la formation interculturelle à Cuernavaca qui deviendra le fameux Centro Intercultural de Documentación (CIDOC). Théories[modifier | modifier le code] Bourdieu, Debord, Eco et Marx à l’enterrement de Steve Jobs. Déjà lors de l’annonce de son départ d’Apple le 24 août dernier, les commentaires et les réactions m’avaient entraîné du côté de la marchandise et de son fétichisme (Marx). Plus fort encore avec Steve Jobs, celui-ci dépassait l’expression du fétichisme de la marchandise pour l’agréger autour du fétichisme de l’homme.

On touchait ainsi aux questions de la dévotion et mysticisme. Jamais probablement une entreprise et ses produits n’ont été aussi indissociables de son dirigeant aux yeux de ses contempteurs comme de ses détracteurs. Et réciproquement. Dans les réactions qui n’ont pas manqué tout au long de la journée d’hier, Jean-Marc Proust dans Slate exprime1 au mieux mon sentiment. Fort judicieusement, Jean-Marc Proust cite Guy Debord et sa Société du spectacle : «Le spectacle, compris dans sa totalité, est à la fois le résultat et le projet du mode de production existant. «Le 24 janvier 1984, Apple Computer va introduire Macintosh. [VOSTFR] Steve Jobs Stanford Commencement… par Cladouros. A propos de Butler, Foucault et Laqueur. Rendre la vie possible. « L’assiduité avec laquelle j’entreprends de « dénaturaliser » le genre dans ce livre vient, je crois, du désir profond de contrer la violence des normes qui gouvernent le genre – une violence implicite au niveau des morphologies idéales du sexe – et aussi de déterrer les présupposés les plus tenaces concernant le caractère naturel ou évident de l’hétérosexualité, des présupposés pétris par les discours ordinaires ou académiques sur la sexualité.

Je n’ai pas écrit sur ce processus de dénaturalisation pour le simple plaisir de jouer avec la langue ou pour nous obliger à jouer aux marionnettes au lieu d’affronter la « vraie » politique (…) Je l’ai fait par désir de vivre, de rendre la vie possible et de repenser le possible en tant que tel. » (p.43) Nos vies sont traversées de textes qui nous allègent, nous libèrent, nous aident, en somme.

Leur lecture peut être un moment de découverte d’une vérité insoupçonnable au premier abord. To Fall in Love With Anyone, Do This. Pour mes élèves de Seine Saint-Denis. Lorsque j’ai appris l’attaque de Charlie Hebdo, je rentrais de l’école. Un message, puis deux, sur mon téléphone. Puis je suis restée bloquée sur les chaînes d’information pendant un long moment sans pouvoir rien faire d’autre.

Je me suis mise au travail, car c’était un mercredi après-midi et que j’avais des copies à corriger. Des copies de brevet blanc, un sujet d’argumentation : « Pensez-vous que tous les élèves de France ont les mêmes chances de réussir à l’école ? ». J’ai lu, j’ai corrigé, sans être jamais loin de mon écran d’ordinateur. J’ai bu beaucoup de café. Dans la salle des professeurs, l’une de mes collègues musulmanes réprime un sanglot en nous disant que sa religion est encore salie. Je veux vous parler de ce qui s’est passé hier. Alors ils m’ont dit ce qu’ils pensaient. Je leur ai expliqué. Et moi non plus, enseignante, je ne suis pas idiote. Gender Fluid Generation: Evolving Gender Norms At School. By Nanette Thompson, Youth Radio The first time I learned that gender could be fluid was in sex ed in the 9th grade.

I remember the teacher mumbling under her breath that some people don’t identify their gender with the biological sex they were born with. At the time it didn’t phase me because I’d never known anyone who’d talked about it or felt that way. But now, three years later, I have a 16-year-old classmate who’s trans.

His name is Jace McDonald. “That is the name I have chosen,” said Jace. “It’s what my parents would have named me if I was born biologically male.” Jace McDonald was born female. “Never ask someone who’s trans what their real name is,” he said. Jace has thick glasses and short brown hair, and he’s outspoken at school. In many ways, it seems like gender non-conformity awareness is at all-time high. Last month, Jace and I walked down the hall of the high school that we both attend.

It seems rough, but Jace says this is way better than he used to have it. Les gens sont débordés. Depuis dix jours, plus personne ne répond à nos mails. On s’est dit qu’encore une fois, Tim Kreider avait raison : les gens sont débordés. Voilà ce qu’il en pense, et on n’est pas loin d’être d’accord. Who is Tim Kreider ? Tim Kreider écrit pour le New York Times et d’autres journaux. Son recueil, We Learn Nothing est paru en 2011 chez Simon & Schuster.

. « Les gens sont débordés. . « Débordé ! Évidemment, il s’agit moins de se plaindre que de se faire mousser. . « Vaut toujours mieux ça que l’inverse. » Ou : « Ça, c’est la rançon de la gloire. » Notez bien qu’en général ces gens débordés n’enchaînent pas les gardes dans une unité de soins intensifs. Ils ont voulu le travail et les obligations qu’ils se sont imposés, les cours et les activités auxquels ils ont encouragé leurs enfants à participer. Presque tous les gens que je connais sont débordés Presque tous les gens que je connais sont débordés. Il n’y a pas longtemps, j’ai proposé à un copain qu’on se voie un jour dans la semaine. Climat : le « moment oh merde ! » Par Marlowe HOOD Une statue de Godzilla installée dans un parc à Tokyo pour promouvoir le film du même nom, en juillet 2014 (AFP / Yoshikazu Tsuno) PARIS, 22 septembre 2014 - Il m'a fallu plus de deux ans pour tirer la substantifique moelle d'une demi-décennie passée à suivre les pandémies mondiales de grippe, les insaisissables particules élémentaires et les océans moribonds.

Et cet instant d'illumination soudaine, celui où toutes les pièces du puzzle se mettent en place dans un claquement de doigts, c'est à Godzilla que je le dois. Le temps de gestation peut paraître long. Et pourtant, avant même de quitter une rubrique composée d'un tiers de science, d'un tiers de santé et… de 100% de changement climatique, je commençais déjà à capter les premières notes du chant du cygne. C'est du moins ce que j'ai ressenti après avoir fait l'expérience de ce que le philosophe australien Clive Hamilton - auteur, entre autres, du livre "Requiem pour l'espèce humaine" - appelle le "Oh shit! Our Use Of Little Words Can, Uh, Reveal Hidden Interests. Katherine Streeter for NPR One Friday night, 30 men and 30 women gathered at a hotel restaurant in Washington, D.C.

Their goal was love, or maybe sex, or maybe some combination of the two. They were there for speed dating. The women sat at separate numbered tables while the men moved down the line, and for two solid hours they did a rotation, making small talk with people they did not know, one after another, in three-minute increments. I had gone to record the night, which was put on by a company called Professionals in the City, and what struck me was the noise in the room.

The sound of words, of people talking over people talking over people talking. What were these people saying? And what can we learn from what they are saying? That is why I called James Pennebaker, a psychologist interested in the secret life of pronouns. About 20 years ago Pennebaker, who's at the University of Texas, Austin, got interested in looking more closely at the words that we use. The. Dear Dr. This Inspiring NYC Stylist Spends Every Sunday Giving Haircuts To The Homeless. Liquid authenticity. Frédéric Lordon’s Willing Slaves of Capital helps clarify how two of the fantasies that feed neoliberal ideology — liquidity and authenticity — interrelate. The two concepts represent two opposing faces of the same hyperindividualism around which neoliberalism is organized. (Liquidity: I want to do whatever whenever; authenticity: who I am is inviolate and is all that really matters.)

As we become the atomized, entrepreneurially fixated personal-enterprise selves that neoliberalism prompts us to be, we are supposed to be so flexible as to be molded into suiting whatever profitable opportunity comes along, yet we are also expected to be entirely invested in our activity and derive pleasure from the presumed autonomy we have in “choosing” to be molded or to mold ourselves. Under neoliberalism, workers must be authentically liquid; their “real selves” must also be infinitely malleable. In other words, neoliberalism hinges on making people work for love rather than money.