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What Liberals Don’t Get About Single Payer. (Corrects reference to foreign health systems similar to Obamacare in paragraph 9.) Documentarian Michael Moore greeted the introduction of Obamacare with an admission many liberals will cheer. “Obamacare is awful,” he wrote. Its awfulness, Moore said, stems from “one fatal flaw: The Affordable Care Act is a pro-insurance-industry plan implemented by a president who knew in his heart that a single-payer, Medicare-for-all model was the true way to go.” Like Moore, I’d prefer a more nationalized health-care system. But his analysis relies on a common mistake that distorts both the benefits of single-payer systems and the deficiencies peculiar to Obamacare. Insurers are the bogeymen of American health care. Yet the problem with the Affordable Care Act isn’t the insurance industry. Insurers aren’t even where the big money goes.

In general, Americans don’t use more health care than citizens of other countries. There are few truly single-payer systems in the developed world. Why? Partenariats publics privés : les hôpitaux britanniques n'arrivent pas à payer la facture. Hôpital Sud Francilien : les collectivités ne peuvent plus se passer des PPP. Lignes ferroviaires, tribunaux, prisons... construits grâce à des sociétés privées, les partenariats public-privé (PPP) représentent plus de 18 milliards de contrats. Une somme qui va peser lourd à l'avenir sur les budgets publics. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Isabelle Rey-Lefebvre avec Laetitia Clavreul Avec huit mois de retard, l'hôpital sud-francilien, en lisière de Corbeil-Essonne et Evry, a accueilli ses premiers patients lundi 23 janvier. Avec 1 017 lits, vingt blocs opératoires, une chaufferie au bois, il devient le plus grand hôpital de France, supplantant Georges-Pompidou, à Paris.

Ce PPP prévoit qu'Eiffage finance et construise l'établissement puis en assure la maintenance pour les trente ans à venir, en contrepartie d'un loyer de 40 millions d'euros, une somme que beaucoup juge exorbitante. L'hôpital sud-francilien est devenu le symbole des ratages des PPP, alors que les collectivités et l'Etat semblent ne plus pouvoir s'en passer. Quel est l'intérêt des PPP ?

NHS reforms criticised by leading healthcare publications | Society. The three publications say proposals by the health secretary, Andrew Lansley, to reform the NHS have 'proved divisive and destructive'. Photograph: Dan Kitwood/PA The coalition's NHS reforms, the biggest shakeup of the health service in 60 years, are a "damaging … unholy mess" that will need overhauling in five years' time, the editors of three leading healthcare publications claim. In an editorial published simultaneously by the British Medical Journal, Health Service Journal and Nursing Times, their editors say the NHS "is far too important to be left at the mercy of ideological and incompetent intervention" and argue ,"we must make sure that nothing like this ever happens again".

The health secretary, Andrew Lansley, will attempt to soothe the anger of critics, particularly in the House of Lords where the health and social care bill will return next month, by proposing 200 amendments to the legislation later this week. Labour seized on the analysis. Hôpital : « Je suis surpris quand un patient ne m'insulte pas » Halte là ! On dirait que vous n’avez pas l’autorisation d’afficher cette page. Ou alors vous avez bien le droit de la voir, mais Pierre Haski a encore cassé un truc en voulant réparer le site avec son gros marteau. Mais maintenant que vous êtes là, profitez-en pour faire un tour sur notre page d’accueil ou bien sur l’un de nos sites thématiques (Rue69, Rue89 Culture, Rue89 Sport). "Développement excessif" des honoraires libres chez les médecins spécialistes.

LE MONDE pour Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Laetitia Clavreul De plus en plus de médecins choisissent d'exercer en honoraires libres, et les taux de dépassement sont de plus en plus élevés. La sonnette d'alarme a beau avoir été tirée à maintes reprises sur les freins à l'accès aux soins que constituent les dépassements d'honoraires, ce mode de rémunération s'ancre profondément dans le système de santé français, démontre une étude présentée mardi 17 mai par l'assurance-maladie, qui s'en inquiète. Désormais, les nouveaux médecins qui s'installent sont bien plus nombreux à décider de pratiquer des dépassements. En 2010, parmi les spécialistes, six sur dix ont fait ce choix, contre "seulement" quatre sur dix pour ceux déjà en exercice. Ce qui laisse présager un renforcement, à l'avenir, du nombre de médecins inscrits en "secteur 2", c'est-à-dire ceux qui pratiquent des honoraires libres et non pas les tarifs de la Sécu.

Depuis 2005, la hausse se tasse, mais elle est continue.