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Dictature Numérique

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La sociabilité numérique, histoire et influence. Pourquoi le numérique est-il une culture ? Invité du CIGREF en tant que Grand Témoin, Milad Doueihi interpelle les acteurs de l’Entreprise Numérique !

Pourquoi le numérique est-il une culture ?

Ses questions permettent de planter le nouveau décor qui s’impose aux dirigeants d’entreprises aujourd’hui, comme à la société en général. En effet, si le numérique est à la fois une science et une culture qui introduit de nouvelles valeurs, de nouveaux critères sur nos héritages culturels, l’entreprise peut-elle garder ses modèles d’affaires, ses options de création de valeur hérités de la culture précédente ? Milad Doueihi, auteur de « Pour un humanisme numérique », philologue et historien, titulaire de la Chaire des Cultures Numériques à l’Université de Laval au Québec. Merci au CIGREF de me donner l’occasion de partager avec vous quelques réflexions sur le monde numérique. J’aimerais aborder cette première question : pourquoi le numérique est-il une culture ? Synthèse vidéo : La culture numérique – Milad Doueihi from CIGREF on Vimeo. Pour aller plus loin…

Qui surveillera les surveillants ? Panoptique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Panoptique

Schéma représentant le principe du panoptique. « La morale réformée, la santé préservée, l'industrie revigorée, l'instruction diffusée, les charges publiques allégées, l'économie fortifiée — le nœud gordien des lois sur les pauvres non pas tranché, mais dénoué — tout cela par une simple idée architecturale. » — Jeremy Bentham, Le Panoptique, 1780.

(L'ouvrage, de 56 pages, est traduit de l'anglais et imprimé par ordre de l'Assemblée législative en 1791[1].) Le panoptique selon Bentham[modifier | modifier le code] L'idée de Bentham est inspirée par des plans d'usine mis au point pour une surveillance et une coordination efficace des ouvriers. Bentham lui-même souhaitait une mise en abyme de la surveillance, les surveillants eux-mêmes devant être surveillés par des surveillants venus de l'extérieur, afin de limiter la maltraitance des détenus et les abus de pouvoir : Histoire[modifier | modifier le code] Selon Neil Davie, Voir le sujet - [HELP] Les manifestations d'un dictature numérique. La Dictature au Quotidien Outre ses aspects politiques déjà exposés, quels sont les instruments de la dictature des IA ?

Voir le sujet - [HELP] Les manifestations d'un dictature numérique

Fichage de l’ADN Tout homme de Mars a bénéficié du traitement de longévité dans les centres médicaux du gouvernement. Accessoirement, c’est aussi le moyen infaillible de cataloguer l’ensemble du code génétique des habitants de Mars. Seuls les Mystiques et les personnes ayant bénéficié du traitement « au noir » (ce qui est très cher, risqué et totalement illégal) ne sont pas dans les banques de données des IA. Bracelets d’identification Tout citoyen de Mars a le devoir de porter un bracelet d’identification. Toute personne incapable de présenter son bracelet à un agent de sécurité doit être placé en détention le temps que son identité puisse être vérifiée.

Il existe des contrefaçons, mais si elles peuvent faire l’affaire pour un contrôle de routine, aucune ne peut résister à une investigation poussée. Neutralité du réseau. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Neutralité du réseau

Symbole de la neutralité du réseau Tim Wu (en), professeur de droit à l'université Columbia à New York, a popularisé le concept de neutralité du Net dans un article paru en 2003 et intitulé Network Neutrality, Broadband Discrimination[1]. Alors que les équipements techniques qui forment le réseau Internet rendent désormais possible une gestion discriminatoire du trafic, de vifs débats politiques ont lieu actuellement pour déterminer si ce principe doit être garanti par la législation. Principe[modifier | modifier le code] La dictature commence-t-elle par le numérique ? (mise à jour) Commission sur la dictature numérique - La CNIL dénonce Big Brother - CNIL Aout 2010.

Internet, un outil de la démocratie ? Depuis qu’internet commence à se diffuser dans le grand public, une controverse réapparaît régulièrement : ce nouveau dispositif de communication favorise-t-il le débat démocratique ?

Internet, un outil de la démocratie ?

Cette discussion a trouvé une nouvelle actualité avec l’apparition des blogs et plus largement des applications du web 2.0 qui permettent à l’internaute de s’exprimer encore plus facilement que précédemment. Internet, contrairement à la radio ou à la télévision, met en situation d’égalité l’émetteur et le récepteur, c’est donc, à première vue, l’outil idéal pour une démocratie participative où le citoyen pourrait intervenir très régulièrement dans le débat public. Je me propose dans ce papier d’examiner comment cette question a d’abord été abordée au démarrage de cette nouvelle technologie, puis dans la période actuelle.

Internet reproduit-il la concentration des médias traditionnels ou permet-il à de nouveaux acteurs de prendre la parole ? Agora électronique ou confusion.