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Généralités

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5 things to consider before firing back at online critics. (Editor’s note: Curtis Smolar is a partner at Ropers Majeski Kohn & Bentley. He submitted this column to VentureBeat.) A reader asks: My business has been hit with several negative reviews online that I believe are unfair. Can I stop them? Answer: In general, you cannot stop someone from saying something negative about your company unless they are violating a law, such as libel. Defamation and/or libel are generally untrue statements that damage your reputation. It might be tempting to file suit or defend yourself aggressively, but before you react, here are five things to consider: Avoid sending a nasty demand letter – This is really a practical issue. Creative speech limitations can backfire – Recently, in an attempt to reduce the medical malpractice risk for doctor, one company came up with an ingenious plan: Have patients assign all their rights in any future Internet posts to the physician.

Have a sense of humor – Do you have rights? A quoi servent les réseaux sociaux ? - APCE, agence pour la création d'entreprises, création d'entreprise, créer sa société,l'auto-entrepreneur, autoentrepreneur, auto-entrepreneur, auto entrepreneur, lautoentrepreneur, reprendre une entreprise, aides à  Réseaux sociaux : le spectre du consensus mou » Article » OWNI, Digital Journalism. Les réseaux sociaux, Facebook et Twitter, accentuent tous deux la valeur de socialisation. Laquelle conduit à une forme d’auto-contrôle de ses membres, notamment via le conformisme qui traduit l’évitement du risque. Readwriteweb avait commenté l’étude (2009) de Cameron Marlow, sociologue travaillant pour Facebook, qui montre le décalage entre le nombre d’amis Facebook et le nombre réel d’amis, ceux avec qui on a de vrais échanges. Les internautes ont en moyenne 130 amis sur Facebook (chiffre 2010) mais ne dialoguent qu’avec quatre d’entre eux (pour les hommes) ou six (pour les femmes).

Même les collectionneurs ayant 500 amis ou plus, ne font guère mieux : 10 pour les hommes et 16 pour les femmes. (Peut-être parce qu’elles y passent plus de temps, mais cela ne répond pas à la question de leurs motivations, à creuser…) Voilà qui remet en cause l’idée d’une sur-sollicitation sociale qui conduirait à l’appauvrissement des échanges en raison du nombre. Initialement publié sur Mediaculture. La troisième frontière du Web « Cratyle.net. Chacun sent que le Web entre aujourd’hui dans une nouvelle phase de son développement. Les tentatives de synthèse fleurissent, mais ne semblent pas suffire à rendre compte des évolutions en cours. Peut-être sont-elles encore trop vagues? Ou déjà trop précises? Le concept de « Web Squared » s’ajuste assez bien au « Web 2.0″ passé, mais il ne permet pas vraiment de saisir la nature des changements, moins encore d’en déduire les effets concrets.

Le « Web en temps réel », l’une des principales expressions du moment, ne nous renseigne pas beaucoup plus sur la portée de ces changements. Peut-être trouvera-t-on d’ailleurs inutile de vouloir décrire les évolutions d’ensemble du Web? Il y aurait de très bonnes raisons pour celà. Je crois pourtant que la nature décentralisée du Web offre un moyen de comprendre son orientation. C’est cette piste que je voudrais explorer ici. Les principes fondateurs du Web 1- Permettre à chacun d’accéder à tout type de document Les deux premières phases d’expansion. La puce et le neurone : deux mots sur la « curation »

Ah le vilain mot que celui de « curation » ! Il y a décidément des anglicismes qui passent mal. Je ne sais pas pourquoi on ne lui préfère pas le terme d’édition, fût-il imparfait. Quoi qu’il en soit, c’est depuis quelques mois un des mots à la mode sur le Web et il recouvre quelque chose d’important : essayons donc de remonter du son (bruyant) au sens. Mais tout d’abord, qu’est-ce que la curation ? J’ai rencontré plusieurs définitions et, plutôt que de trancher, je vais y aller de la mienne, qui vaudra du moins pour cet article. Maintenant, si l’on considère le Web, on comprend aisément pourquoi c’est une notion importante. Pour ne parler que du Web moderne, celui qui dans mon esprit commence au milieu des années 1990, deux méthodes de curation se dégagent : l’humaine et l’algorithmique.

La curation humaine, c’est « David and Jerry’s Guide to the World Wide Web« , à savoir Yahoo! Il est assez aisé de tracer les principaux avantages et inconvénients de ces deux approches. Article original. The Real Life Social Network v2. Nouveaux médias: une nouvelle classe de dominants » Article » OWNI, Digital Journalism. Pour Cyrille Frank, Internet et les nouveaux médias ne facilitent en fait pas le partage du pouvoir. Ces nouvelles technologies comme beaucoup avant elles, permettent surtout l’avènement d’une nouvelle classe dirigeante. Avec les nouvelles technologies de l’information se répand l’idéologie du peuple au pouvoir : simplification des techniques, baisse des coûts d’entrée… Les nouveaux produits démocratisent la culture et permettent à tous de s’élever socialement, de “reprendre la main”.

C’est un peu l’idée inhérente à l’UGC (User Generated Content). Nous serions passés de l’ère du consommateur passif à celui de l’internaute actif et créateur. Les technologies “libèrent la créativité”, comme quelques publicités et autre best-sellers nous l’assurent. D’autres plate-formes libèrent la création du plus grand nombre grâce au financement mutualisé de type My major company… Nouveaux médias : le nouvel eldorado Mais le discours pro-web 2.0 sous-estime bien souvent les risques pour les entreprises. Four More Non-Facebook Social Gaming Platforms Launched Today. Early this morning, we wrote about in-game monetization company Offerpal’s plan to help Facebook game developers move off the platform onto other distribution channels like Yahoo or MySpace. But Offerpal is hardly alone in that ambition. Four other companies launched their own takes on social gaming outside Facebook either yesterday or today: Oberon, Hi5, Sony and WildTangent. Most of these efforts haven’t received much coverage yet, because there’s a logjam of news from the ongoing Casual Connect conference in Seattle.

But that doesn’t mean they’re not significant — if not individually, then as a broad trend that shows just how many parties want a slice of the market that Facebook currently dominates. Each take is fairly different; here they are: Oberon Blaze Oberon Media is a rather large casual gaming company that prides itself on cross-platform work.

Hi5 Developer Portal Hi5 has been extremely vocal about its desire to attract Facebook developers, launching a developer program in March. Quelques sources sur le ROI de l’entreprise 2.0. En début d’année je parlais d’un phénomène de débisounoursisation (abandon de la vision “Bisounours”) et il semblerait que cette tendance se concrétise avec de nombreux débats atour du ROI. Le retour sur investissement de quoi ? Un peu de tout en fait : des médias sociaux, des sites d’achat groupés, des applications iPhone et iPad… mais le sujet qui nous intéresse plus particulièrement est celui du ROI des initiatives d’entreprise 2.0. Comme toujours, ce calcul est loin d’être simple dans la mesure où l’investissement n’est pas forcément quantifiable et où le retour ne se mesure que de façon subjective.

Dans ces conditions, nous sommes en droit de nous interroger sur la pertinence d’un tel calcul… L’issue de ce problème insoluble semble être d’accepter que le ROI ne s’exprime pas à l’aide d’une valeur numérique fiable, mais plutôt d’indicateurs qualitatifs. L’argumentation de l’auteur de l’article repose sur trois leviers et propose une méthode de calcul du ROI pour chacun d’eux : Comprendre facilement les médias sociaux avec Mc Kinsey. The Discovery Economy: Why Sharing Your Identity Is A Good Thing. At last month's Coachella a lot more went down than grooving in the fields of Indio. The hot-ticket festival's organizers tested out smart radio chip-embedded armbands that let music lovers automatically verify their ticket by "checking in" at digital gates.

But those armbands were much more than hard-to-fake entry passes: They were Coachella showing us a near future where we voluntarily share a touch of personal information, your digital DNA if you like, to discover a whole raft of new information and experiences. Apps, gadgets, and ideas for turning exploration into business Previous story: The Tech's The Least Interesting Part Of Nokia's New Augmented Reality About 30,000 people used their radio-chip-embedded armbands to check in (or "Live Click") all around Coachella and automatically update their Facebook status and post updates to their various social media about what they were doing and who they were seeing perform. [Image: Flickr user DeepBluC] Facebook Buys Face.com, Adds Facial-Recognition Software. Facebook Inc. (FB), owner of the world’s largest social-networking website, acquired Face.com, adding technology that enables facial recognition in photos. Terms weren’t disclosed. Face.com helps users tag photos and find images online by distinguishing facial features on social networks and photo-sharing sites.

Menlo Park, California- based Facebook already uses some of Face.com’s applications. “People who use Facebook enjoy sharing photos and memories with their friends, and Face.com’s technology has helped to provide the best photo experience,” said Ashley Zandy, a Facebook spokeswoman, in an e-mailed statement. Facebook, which first sold shares to the public a month ago, has been making acquisitions to bring on talented developers, add features to the site and bolster the company’s mobile offerings.

Face.com, based in San Francisco and Tel Aviv, is backed by Yandex NV (YNDX), Russia’s most-used search engine, and investing firm Rhodium. Close Open Source: Face.com.