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Métaphysique

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Panthéisme. Le panthéisme est une doctrine philosophique selon laquelle « Dieu est tout ». Elle se distingue du monothéisme en considérant que Dieu n'est pas un être personnel distinct du monde, mais qu'il est l'intégralité du monde ; cette conception est appelée l'immanence par opposition au principe de transcendance du Dieu créateur monothéiste. Le panthéisme est distinct du panenthéisme nommé « acosmique » par Hegel (tout est en Dieu[6]), qui est quant à lui une doctrine issue du panthéisme. Le panthéisme entretient en revanche certains rapports avec les courants monistes. Typologie des panthéismes[modifier | modifier le code] L'histoire de la philosophie distingue communément plusieurs types de panthéisme.

De façon courante on oppose naturalisme et formalisme[7]. a) Le panthéisme matériel ou panthéisme naturaliste identifie Dieu au monde. On peut aussi opposer l'avant et l'après Kant[10]. a) Le panthéisme pré-kantien est réaliste. Philosophie indienne[modifier | modifier le code] On distingue : Immanence. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Perspective de l'immanence[modifier | modifier le code] La pensée de l'immanence ou de la transcendance de Dieu a divisé les philosophes médiévaux, néo-platoniciens d'après Augustin d'Hippone, ou aristotéliciens d'après Albert le Grand et Thomas d'Aquin. Le symbole de Chalcédoine affirme que le Christ est consubstantiel à l'homme selon l'humanité : cette immanence engage le Saint-Esprit et permet la prière. Dans Pascendi, le pape Pie X a critiqué l'abus de cette notion dans la philosophie de Baruch Spinoza et Emmanuel Kant. Pour Spinoza[modifier | modifier le code] Pour Baruch Spinoza, l'immanence détermine ce qui est par la coprésence de Dieu à la nature ; Dieu est alors ce qui constitue toute valeur et toute intelligibilité.

Pour Friedrich Hegel[modifier | modifier le code] Pour Hegel, la négation de l'immanence des choses précise davantage ces « choses » de même que « l'esprit absolu » est précisé par la médiation. Portail de la philosophie. Anthropic principle. Thomas d'Aquin. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Thomas d'Aquin Théologien et philosophe occidental Théologie et philosophie médiévale Thomas d'Aquin (né en 1224/1225 au château de Roccasecca près d'Aquino, en Italie du Sud, mort le à l'abbaye de Fossanova près de Priverno dans le Latium), est un religieux de l'ordre dominicain, célèbre pour son œuvre théologique et philosophique.

Considéré comme l'un des principaux maîtres de la philosophie scolastique et de la théologie catholique, il a été canonisé le [1], puis proclamé docteur de l'Église par Pie V, en 1567 et patron des universités, écoles et académies catholiques, par Léon XIII en 1880. De son nom dérivent les termes : En 1879, le pape Léon XIII, dans son l'encyclique Æterni Patris, a déclaré que les écrits de Thomas d'Aquin exprimaient adéquatement la doctrine de l'Église. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et aspiration à la vie dominicaine (1224/1225-1244)[modifier | modifier le code] Baruch Spinoza.