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Colonisation

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Bombardement de Zanzibar. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'ultimatum expira à 9 h EAT le 27 août alors que les Britanniques avaient rassemblé trois croiseurs, deux canonnières, 150 fusiliers marins et 900 Zanzibarites dans le port. L'escadre de la Royal Navy était commandée par le contre-amiral Harry Rawson alors que les soldats zanzibarites étaient menés par le brigadier-général Lloyd Mathews (en). Environ 2 800 soldats zanzibarites défendaient le palais ; la majorité avait été recrutée parmi la population civile mais il y avait également les gardes du palais et plusieurs centaines de serviteurs et d'esclaves. Les défenseurs possédaient plusieurs pièces d'artillerie pointées sur les navires britanniques. Le bombardement qui commença à 9 h 2 incendia le palais et détruisit les canons zanzibarites. Il y eut 500 victimes du côté des forces du sultan alors qu'un seul marin fut blessé du côté britannique.

Contexte[modifier | modifier le code] L'archipel de Zanzibar au large de l'Afrique de l'Est. Culte du cargo. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une croix de cérémonie de John Frum sur l'île de Tanna, Nouvelles Hébrides (maintenant Vanuatu), 1967. Naissance dans les îles d'Océanie[modifier | modifier le code] Débarquement de provisions et de matériel sur l'île de Guadalcanal, 7 août 1942. Peter Lawrence a écrit, en 1974, dans son livre intitulé Le Culte du cargo (p. 297-298, éditions Fayard) : « Les indigènes ne pouvaient pas imaginer le système économique qui se cachait derrière la routine bureaucratique et les étalages des magasins, rien ne laissait croire que les Blancs fabriquaient eux-mêmes leurs marchandises.

On ne les voyait pas travailler le métal ni faire les vêtements et les indigènes ne pouvaient pas deviner les procédés industriels permettant de fabriquer ces produits. Tout ce qu’ils voyaient, c’était l’arrivée des navires et des avions. » Éléments du culte[modifier | modifier le code] Le culte du cargo, métaphore et thème[modifier | modifier le code] Dans son livre Raga. Carte rose. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La carte rose. Le gouvernement portugais est obligé de céder en signant le traité de Londres de 1890, provoquant une vague d'indignation contre l'Angleterre et contre la monarchie. Des émeutes éclatent face à cette humiliation nationale. Une première révolte républicaine échoue début 1891. C'est à cette occasion qu'est composé l'hymne national portugais[1]. On appelle au boycott des produits anglais. Une souscription publique est même organisée pour doter le pays d'un croiseur. Cet espace sera une dizaine d'années plus tard occupé par la Rhodésie de la BSCA britannique. ↑ Histoire du Portugal de Jean François Labourdette, Paris: Fayard, 2000, p. 535. Terra nullius. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Terra nullius est une locution latine signifiant « territoire sans maître ». C'est un espace qui peut être habité, mais qui ne relève pas d'un État. Selon ce principe, les terres ne sont possédées par personne. C'est un mode juridique reconnu d'acquisition de la souveraineté sur un territoire par un État, que la Cour internationale de justice a au XXIe siècle compétence pour valider. Sa définition évolua avec le temps. Terra nullius et colonisation[modifier | modifier le code] Le principe de terra nullius fut invoqué pour justifier la colonisation de l'Australie par les Britanniques, et l'expropriation des terres aborigènes.

Terra nullius et Sahara occidental[modifier | modifier le code] Terra nullius et l'« affaire de l'île de Clipperton »[modifier | modifier le code] Îlot du Pacifique inhabité et difficile à aborder, l'île de Clipperton fut un temps terra nullius. Terra nullius et Antarctique[modifier | modifier le code] (en) Mabo & Others v. Décolonisation de l'Afrique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La décolonisation de l'Afrique correspond au retrait des puissances coloniales de l'Afrique après la Seconde Guerre mondiale. État des lieux[modifier | modifier le code] Possessions européennes en Afrique, 1930. Allemagne Belgique Espagne France Grande-Bretagne Italie Portugal États indépendants Durant le partage de l'Afrique à la fin du XIXe siècle, les puissances européennes ont divisé l'Afrique et ses ressources en zones politiques à la Conférence de Berlin de 1884-85. En 1905 le territoire africain est complètement approprié par les nations européennes, à l'exception du Liberia et de l'Abyssinie.

Causes[modifier | modifier le code] Sur le plan africain, la Seconde Guerre mondiale a vu les colonies venir en aide à leurs colonisateurs dans le processus de guerre, mais sans mention de l'indépendance pour les nations africaines. En 1941, Roosevelt et Churchill se rencontrent pour discuter du monde de l'après guerre. Confédération de Sénégambie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Confédération de Sénégambie Senegambia Confederation (en) Sénégal Gambie La Confédération de Sénégambie est l'union qui associa entre 1982 et 1989 deux pays d'Afrique de l'Ouest, le Sénégal et la Gambie, afin de promouvoir la coopération entre les deux nations, surtout dans le domaine des affaires étrangères et des communications internes.

Il s'agissait notamment, pour le Sénégal, de désenclaver la Casamance, région du Sénégal méridional, partiellement isolée du reste du pays par le territoire gambien. Histoire[modifier | modifier le code] Le principe de l'union était posé depuis l'indépendance. Annoncé officiellement le lors d'une cérémonie à Banjul – capitale de la Gambie –, signé le par le président du Sénégal Abdou Diouf et son homologue gambien Dawda Jawara, le pacte entre en vigueur le . Fonctionnement[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] 1er janvier 1982.

Asie

Amériques. Colonisation, décolonisation, postcolonialisme.