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Ancien Régime

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Pour en finir avec Utrecht. Le 11 avril 2013, célébrera-t-on les 300 ans du traité d’Utrecht ? Conclu pour mettre fin à la guerre de succession d’Espagne et comportant, comme garantie multilatérale, la renonciation de Philippe V et de toute sa descendance à la couronne de France, il fut toujours ressenti par les royalistes comme une épine dans le pied de la légitimité. On crut pouvoir s’en débarrasser en affirmant que la renonciation n’était pas valide, car contraire aux lois fondamentales du royaume, ou en arguant que les guerres intervenues depuis lors entre les signataires du traité effaçaient automatiquement les engagements antérieurs des belligérants.

Rien de cela n’est exact. Utrecht ne fait nullement obstacle à la succession de France par le chef de la maison de Bourbon, aujourd’hui le prince Louis. La légitimité aurait donc le plus grand intérêt à assumer Utrecht et à l’intégrer dans son argumentation plutôt que de se réfugier dans des arguties sans valeur juridique. I. II. III. Révolte du papier timbré. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Un exemple d'un des premiers actes produits sur papier timbré à Quimperlé (9 avril 1674, inventaire après décès rédigé par la juridiction de l'abbaye Sainte-Croix de Quimperlé) La Révolte du papier timbré est une révolte antifiscale d’Ancien Régime, qui s’est produite dans l’Ouest de la France, sous le règne de Louis XIV (d’avril à septembre 1675). Elle est déclenchée par une hausse des taxes, dont celle sur le papier timbré, nécessaire pour les actes authentiques. La révolte eut plus d’ampleur en Basse-Bretagne, notamment en prenant un tour antiseigneurial sous le nom spécifique de révolte des Bonnets rouges, car certains insurgés portaient des bonnets bleus ou rouges selon la région : ainsi dans le centre-ouest de la Bretagne et notamment dans le Poher où la révolte fut plus violente, le bonnet porté par les insurgés était de couleur rouge, tandis qu'il était bleu dans le Pays Bigouden[1].

Contexte[modifier | modifier le code] Marguerite de France (1553-1615) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Marguerite de France ou Marguerite de Valois, est une princesse française de la branche dite de Valois-Angoulême de la dynastie capétienne, née le et morte le . Par son mariage avec Henri de Navarre (futur roi de France Henri IV), elle devint reine de Navarre et reine de France lors de l'accession au trône de son mari dont elle fut démariée en 1599. Elle était la fille du roi Henri II et la sœur des rois François II, Charles IX et Henri III. Son mariage qui devait célébrer la réconciliation des catholiques et des protestants fut terni par le massacre de la Saint-Barthélemy et la reprise des troubles religieux qui s'ensuivirent.

Femme de lettres reconnue, esprit éclairé, mécène extrêmement généreuse, elle joua un rôle considérable dans la vie culturelle de la cour, en particulier après son retour d'exil en 1605. Marguerite (vers 1560). Henri et Marguerite, roi et reine de Navarre (vers 1572). L’entente entre catholiques et réformés dure peu. Massacre de la Saint-Barthélemy. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pendant longtemps, la tradition historiographique a fait du roi Charles IX et de sa mère, Catherine de Médicis, les principaux responsables du massacre.

Faute de sources, les historiens sont restés longtemps partagés sur le rôle exact de la couronne. Ils retiennent aujourd'hui que seuls les chefs militaires du clan protestant étaient visés par l'ordre royal. Dès le matin du 24 août, Charles IX avait ordonné l'arrêt immédiat des tueries mais, dépassé par le zèle et la fureur du peuple, il n'avait pu les empêcher.

Contexte[modifier | modifier le code] Le massacre de la Saint-Barthélemy, le , est la conséquence d'une série d'événements : Une paix et un mariage impopulaires[modifier | modifier le code] Une ville sous tension[modifier | modifier le code] La tentative d'assassinat de Coligny[modifier | modifier le code] Gravure allemande représentant l'attentat perpétré contre Coligny. Les Guise : ce sont les suspects les plus probables. Guerre de la Quadruple-Alliance. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Prélude[modifier | modifier le code] Les pays affaiblis par une guerre de treize ans doivent se renforcer. Le cardinal Giulio Alberoni (1664 – 1752) se distingue par son action, il a déjà préparé en 1714 le mariage entre Philippe V et Élisabeth Farnèse (1692 – 1766) au cours des années suivantes, il devient le conseiller personnel de la reine d'Espagne et premier ministre en 1715. Sous son administration, l'économie espagnole se stabilise et les finances sont réformées.

Alberoni réussit à construire une nouvelle flotte (à peu près 50 navires en 1718) et à améliorer l'armée. Déroulement de la guerre[modifier | modifier le code] Les hostilités jusqu'à la conclusion de la quadruple-alliance[modifier | modifier le code] Le cardinal Alberoni Les batailles de 1718[modifier | modifier le code] Philippe V d'Espagne Les batailles de 1719 jusqu'à la paix[modifier | modifier le code] Florimond Claude, comte de Mercy (1666-1734) Élisabeth Farnèse.

Quadruple-Alliance. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Quadruple-Alliance de 1673[modifier | modifier le code] Le 30 août, les Provinces-Unies, l'Archiduché d'Autriche, la Monarchie catholique espagnole et le Duché de Lorraine forment la Grande alliance de La Haye contre le royaume de France.

Quadruple-Alliance de 1718[modifier | modifier le code] Par ce traité, l'empereur consentit à reconnaître le roi d'Espagne, à condition qu'on lui remettrait la Sicile, et que la Sardaigne serait donnée au duc de Savoie. L'Espagne accepta ces conditions et à l'issue de la guerre de la Quadruple-Alliance, rejoignit finalement l'Alliance en 1720 en renonçant à ses possessions en Italie. Quadruple-Alliance de 1815[modifier | modifier le code] Pacte conclu le entre l'empire d'Autriche, le royaume de Prusse, l'empire de Russie et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande.

Voir aussi[modifier | modifier le code] Guerre de Succession de Pologne. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La guerre de Succession de Pologne eut lieu de 1733 à 1738. À la mort d’Auguste II en 1733, son fils, Auguste III, et Stanislas Ier, ancien roi de Pologne déchu en 1709, beau-père de Louis XV, se disputent le trône. Contexte[modifier | modifier le code] La Pologne est un pays de plaines qui n’a pas de frontières naturelles. La bourgeoisie demeure assez peu nombreuse et limitée aux quelques grandes villes, le commerce étant entre autres en grande partie aux mains des juifs.il n’y a pas d’unité de langue. Le roi est élu par la diète, formée du Sénat et de la Chambre des Nobles, ce qui affaiblit son autorité.

Cette situation fait de la Pologne une proie facile pour les États limitrophes. Ceux-ci tentent donc d’imposer un souverain qui les avantage. Alors que les querelles des partisans d'Auguste II et ceux de Stanislas divisent le pays, la mort d’Auguste II en 1733 vient déchainer les passions. Les belligérants[modifier | modifier le code] Marie Anne Victoire d'Espagne.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Marie Anne Victoire d'Espagne Marie Anne Victoire reine du Portugal Marie Anne Victoire, infante d'Espagne (ou de Bourbon, Mariana Victoria de Borbón), née à Madrid le , morte à Lisbonne le , fille de Philippe V d'Espagne et d'Élisabeth Farnèse, surnommée l'Infante-reine en raison de ses fiançailles avec le roi Louis XV de France, épousa le roi Joseph Ier de Portugal et fut reine et régente du Portugal. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] L'ambition de la reine soutenue par son ministre Alberoni ayant dressé contre l'Espagne les puissances européennes, formant la Quadruple Alliance, une guerre s'ensuivit (1719-1720). La paix qui la conclut servit aussi à réconcilier le récent roi Bourbon d'Espagne avec leur famille française : il fut décidé de fiancer le jeune roi de France Louis XV âgé de 11 ans à sa cousine germaine qui en avait 3.

Ascendants[modifier | modifier le code] De cette union naîtront : Marie Leszczyńska. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Marie Leszczynska ou Marie Leczinska[1] (prononcé [lɛɡzɛ̃ska]), en polonais Maria Leszczyńska ([lɛʃ't͡ʃɨɲska]), née le à Trzebnica et morte le à Versailles, est une aristocrate[2] polonaise, fille du roi de Pologne (1704-1709) Stanislas Leszczynski, reine de France par son mariage avec Louis XV en 1725. Elle est la dernière reine de France à mourir avec sa couronne et la dernière à être pleurée par les Français qui l'avaient surnommée « notre bonne Reine ». Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Anne Leszczyńska La marquise de Prie Seconde fille (l'aînée, Anne Leszczynska, était née en 1701 et morte d’une pneumonie en 1718) de Catherine Opalińska et de Stanislas Ier Leszczyński, éphémère roi de Pologne grâce à Charles XII de Suède puis duc de Lorraine et de Bar (à titre viager) grâce à Louis XV de France, Marie-Catherine-Sophie-Félicité Leszczyńska naquit à Trzebnica, en Silésie, le .

Louis XIV

Louis XVI & Marie-Antoinette.