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Rémi antonin

Fiche pomme de terre FR. Du champ à l'usine, production et transformation d'une denrée agricole : la pomme de terre et le "système" McCain. La pomme de terre, quatrième denrée alimentaire dans le monde La pomme de terre est un tubercule produit par une plante herbacée, tubéreuse à feuilles caduques de l'espèce Solanum tuberosum (famille des Solanacées). Originaire des Andes sa culture s'est ensuite largement mondialisée, en Europe du XVIe au XVIIIe siècle, puis de nos jours en Asie et en Afrique.

Si la pomme de terre est un féculent, elle se rapproche des légumes par sa teneur élevée en eau, d'environ 80% contre seulement 12% pour les autres féculents, céréales et légumes secs. Riche en glucides (index glycémique de 57 à 86), pauvre en lipides et en protides, c'est un aliment modérément énergétique (environ 80 à 85 kcal/100 g) lorsqu'elle est cuisinée sans apport de matières grasses. La pomme de terre est, à l'échelle mondiale, la principale denrée alimentaire non céréalière et la quatrième denrée agricole produite après le maïs, le riz et le blé. Les usages non alimentaires de la pomme de terre : la féculerie. « Un seul marché de la consommation de pommes de terre sous toutes ses formes » [1/2] Pour Arnaud Delacour, les producteurs devront cette année « privilégier les marchés porteurs ». © DR [2/2] « Les producteurs de pommes de terre souffrent d'un déficit d'image, souligne Arnaud Delacour.

Nous devons faire preuve de davantage de pédagogie ». © V. Marmuse, CAIA Ce 13e congrès sera placé sous le signe de la responsabilité sociale et environnementale (RSE). L’UNPT entend ainsi mettre l’accent sur la contribution des producteurs de pomme terre au développement durable, en réaffirmant qu’ils sont des « acteurs économiques responsables en région ». Pourquoi avoir choisi cette thématique ?

Tous les mots de l’intitulé sont importants. « Acteurs », car engagés dans les interprofessions pour la performance des filières ; « économiques », car pas de durabilité des exploitations sans compétitivité. Globalement, quel bilan tirez-vous de la dernière campagne pour la pomme de terre française ? Quelles sont les perspectives pour 2016 ? Quid de l’interprofession ? Propos recueillis par MDS. Exemple de lettre de motivation formation. Objet : candidature à la formation « intitulé de la formation ».

Madame, Monsieur, Après avoir obtenu mon "diplôme de baccalauréat" "Licence de ... " indiquez ici votre dernier diplôme obtenu. Je souhaiterais approfondir mes études au sein de votre établissement en intégrant votre formation... indiquez ici le nom du diplôme que vous souhaitez intégrer. Ma formation et mes expériences professionnelles m'ont donné envie d'aller plus loin dans l'acquisition de connaissance dans le secteur... détaillez ici les expériences ou les compétences que vous avez déjà présentées dans votre CV... Mais ne détaillez ici que une ou deux expériences / ou enseignement précédemment suivi en relation directe avec le domaine de la formation visée et qui intéresseront donc le recruteur.

Vous pouvez expliquer votre goût pour le secteur dans lequel vous souhaitez vous spécialiser par des arguments construits (sans raconter votre vie). Prénom NOM. Lettre de motivation pour une formation : modèle et conseils. Hantise des candidats, la lettre de motivation qui accompagne le CV est néanmoins un passage obligé pour toute personne qui souhaite postuler à une formation professionnelle. Il est donc indispensable de consacrer un soin tout particulier à la rédaction de ce document dont peut dépendre votre sélection dans l'établissement ou la formation sur laquelle vous lorgnez. S'il n'existe pas de mode d'emploi pour rédiger une lettre de motivation pour une formation, il faut cependant obéir à quelques règles. Tout d'abord, il va sans dire que la forme compte : l'orthographe et la langue doivent être irréprochables. De même, votre texte doit être structuré afin d'être le plus compréhensible et argumenté possible.

Lettre de motivation Montrez que vous ne postulez pas par hasard Vous pouvez commencer par évoquer votre cursus scolaire ainsi que vos éventuelles expériences professionnelles passées afin de construire votre argumentation. Soyez clair et concis En somme, le mot d'ordre c'est la clarté. RicqO-Defis_evaluation_BAC.pdf. Patrimoine numérique, patrimoine en péril. Micro Hebdo le 10/03/11 à 00h00 Quelle quantité d'informations numériques les hommes peuvent-ils produire chaque année ? La question introduit de nouvelles échelles de grandeurs, vite inimaginables. 1,4 milliard de gigaoctets, soit 1,4 exaoctet en 1999, puis 5 milliards de gigaoctets en 2002, répondirent, à trois ans d'intervalle, des chercheurs de l'université californienne de Berkeley.

Par la suite, avec l'explosion du numérique, il apparut plus judicieux d'estimer la capacité mondiale disponible de stockage numérique, qu'il s'agisse de disques durs, de CD, de DVD, de bandes magnétiques, de mémoires flash et vive. Une charte mondiale C'est pourquoi l'Unesco a adopté, dès 2003, une charte sur la conservation de ces 0 et 1 qui constituent désormais “ notre héritage du passé, ce avec quoi nous vivons aujourd'hui, et ce que nous transmettons aux générations futures ”. Dans un tel contexte, quelles sont les mesures envisageables pour préserver notre patrimoine numérique et le transmettre ?

DONNÉES PERSONNELLES • Internet doit-il se souvenir de tout. Les moteurs de recherche gardent la trace de nos moindres faits et gestes en ligne. Plusieurs penseurs pointent les dangers de cette mémoire numérique totale. Pas d’inquiétude, rétorque un journaliste : le web oublie de lui-même. Internet n’oublie rien. Les exemples terrifiants de la capacité de mémorisation infinie de la Toile sont légion. Il y a l’histoire de cet écolier canadien qui s’était filmé en 2002 imitant un personnage de Star Wars à l’aide d’un ramasse-balles de golf et qui est vite devenu la risée du web sous le surnom de “Star Wars Kid”. Sa famille a poursuivi en dommages et intérêts ses camarades de classe qui avaient diffusé la vidéo sur le Net, car il en aurait gardé des séquelles psychologiques. Archiver le web, un devoir de mémoire GIGAntesque. ENQUÊTE | Aux Etats-Unis, la bibliothèque du congrès américain s'est lancée dans l'archivage de tous les tweets du monde.

En France, depuis 2011, la BnF et l'Ina se chargent d'archiver le web, au titre du dépôt légal numérique. Environ 10 milliards de pages web sont d'ores et déjà stockées. Mais à quoi cela sert-il ? Peut-on (et faut-il) tout archiver ? Comment stocker ces milliards de données ? 400 millions de tweets par jour, voilà ce que la bibliothèque du Congrès américain tente d'avaler depuis trois ans. La bibliothèque du congrès américain conserve par exemple le tout premier tweet de Barack Obama après son élection en 2008 ("Nous venons d'écrire l'histoire. Le dépôt légal numérique En France, depuis 2011, la Bibliothèque nationale de France (BnF) et l'Institut national de l'audiovisuel (Ina) se chargent d'archiver le web.

Premiers tests avec les élections de 2002 A la BnF, les premières expérimentations d'archivage ont été lancées au début des années 2000. Mais à quoi ça sert ? Devoir de mémoire, droit à l'oubli ? Sous le titre Devoir de mémoire, droit à l’oubli ? , sont publiées les interventions prononcées lors du treizième Forum Le Monde (Le Mans, octobre 2001). Ce genre de publication comporte, on le sait, des risques intrinsèques, génétiques : celui de l’oralité, celui d’une juxtaposition non signifiante de textes, celui d’une mosaïque qui s’éparpille en tous sens (si cette image est recevable…).

Ici, ces risques ne sont pas évités, les vingt-deux interventions (suivies d’une fiction d’André Versaille, absolument superfétatoire) étant hétérogènes dans leurs approches, sans que cette diversité se mue en complexité – par contre, formellement, les textes sont de bonne tenue et sont plus proches d’une version écrite que d’une version orale. Deux grands thèmes organisent ces multiples participations : la mémoire et les archives, deux thèmes évidemment peu dissociables. Les pathologies de la mémoire Mémoire et archives. Le "droit à l'oubli numérique" inquiète les historiens.

L'Union européenne prépare un nouveau texte sur la protection des données personnelles. Mais en cherchant à protéger la vie privée, le législateur risque de compromettre le travail des futurs historiens. LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Par Fabienne Dumontet Eté 2013, clic : l'entreprise Kodak sort péniblement de sa mise en faillite, annoncée un an et demi plus tôt.

Eté 2013, clac : éclosion du scandale Prism. Des millions d'internautes se découvrent espionnés par la National Security Agency (NSA) américaine, leurs données personnelles siphonnées chez les géants du numérique, Yahoo et Google en tête. "Clic clac, merci Kodak" : quel rapport entre la NSA et l'entreprise américaine de photographie ?

Car c'est Kodak qui avait déclenché une première et formidable bagarre sur ce sujet aux Etats-Unis. Alarmés, deux juristes américains, Samuel D. > Lire aussi : Le droit à être oublié, genèse d'une idée neuve A cela s'ajoutent d'autres dispositions, certaines déjà en vigueur. Après Google, Microsoft offre aux internautes européens le « droit à l’oubli » LE MONDE | • Mis à jour le | Par Audrey Fournier Les autorités européennes de protection des données rencontreront les représentants des moteurs de recherche sur Internet, jeudi 24 juillet, autour du très controversé « droit à l'oubli ». Premier à s'être vu contraint par la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) d'appliquer ce droit à l'oubli sur les portails européens de son moteur, Google devra défendre sa position à l'occasion de cette session de réflexion.

L'objectif est de finaliser les modalités d'application de cette disposition réservée aux internautes de l'Union. La CJUE a estimé, le 13 mai, dans un arrêt, que les particuliers avaient le droit de demander à Google la suppression des liens vers des pages comportant des informations personnelles périmées ou inexactes les concernant. Le « déréférencement » des liens litigieux n'interviendra pas dans l'immédiat, peut-être afin de laisser le temps à Microsoft d'anticiper et de s'épargner les « ratés » que connaît ... Quelle « data-éthique » pour notre civilisation numérique ?

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Pierre Paperon (Directeur de la stratégie de la société spécialisée dans l’informatique dématérialisée Cloudwatt) Le mot « donnée » est utilisé tous les jours. Mais son sens s’est perdu. Pourtant, il est magnifique quand on le regarde avec une attention tout étymologique : « donnée » vient du registre du don. On n’en est plus là. La donnée est devenue une denrée, un bien monnayable, un nouvel or noir pour les nouveaux self-made-men. Et le comble est que la donnée ne nous appartient plus totalement dès qu’elle est produite tout au long de la journée et de la vie : le « post » sur Facebook, la recherche sur Google, le déplacement avec l’application Foursquare… Le droit de la propriété intellectuelle et le droit à l’image n’offrent qu’un contrôle tout relatif sur ces données produites et dispersées sur de multiples sites.

Cela pose la question de la propriété même des données, et de ce que l’on peut en faire. « L'air du monde » : Google n’est pas près d’oublier l’Europe. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Sylvie Kauffmann « L'air du monde ». Chronique. Soudain, ceux qui veulent se faire oublier se réveillent. Depuis que la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) a décidé que Google et les autres moteurs de recherche pouvaient être contraints à supprimer, dans certains cas, des liens vers des informations concernant des personnes privées, ouvrant ainsi la voie à un « droit à l'oubli » sur Internet, les requêtes affluent.

Lire : « Droit à l'oubli » : Google débouté par la justice européenne En Grande-Bretagne, selon la BBC, elles émanent d'abord de gens qui veulent faire effacer leur passé délictueux, voire criminel. Ce n'est pas le seul paradoxe de cette décision de la cour de Luxembourg, tombée le 13 mai comme la foudre dans un ciel déjà passablement assombri. Dans les états-majors des géants de l'Internet, tous américains, c'est le branle-bas de combat. Vers un droit à l’oubli mondialisé ? On attendait son avis avec impatience : le groupement des Cnil européennes s’est enfin réuni pour discuter droit à l’oubli et mettre son grain de sel dans la façon dont Google s’en occupe. Ah bon, c’est Google qui s’en occupe ? Par défaut, oui. Depuis une décision de la cour européenne de justice rendue en mai, les internautes peuvent réclamer au moteur de recherche d’«oublier» des informations les concernant.

Devant l’afflux de demandes, Google a monté un comité composé d’experts en données personnelles. Si le comité juge que l’information gênant le plaignant est «non pertinente, obsolète ou inappropriée», il modifie leur indexation. Il devient impossible de retrouver la page web incriminée en cherchant le nom de l’internaute. Qu’en disent les Cnil européennes ? Google ne peut pas indéfiniment rester seul juge dans ces épineuses affaires. Le déréférencement est-il restreint à l’Union européenne ? Camille GÉVAUDAN. AU TRIBUNAL DE L'INTERNET ! Est-ce à Google de définir le périmètre du droit à l'oubli ? Plus de 32 000 demandes de suppression portant sur quelque 97 000 URL ont été adressées à Google par des internautes français depuis la création, en mai 2014, de son formulaire dédié au déréférencement des résultats de recherche. Et plus de 50 % de ces demandes ont été satisfaites. En fonction de quels critères ? Comment Google prend-il ses décisions face à des demandes complexes mettant en concurrence l'atteinte à la vie privée ou à la réputation, la liberté d'expression et d'information, et le devoir de mémoire ?

S'agissant de données personnelles (adresses, photos publiées sans autorisation...) ou lorsque les informations ont un impact dommageable sur la vie privée du requérant, ce qui est le cas, par exemple, d'articles relatant l'agression sexuelle d'une victime, Google a tendance à déréférencer les contenus. Responsabilité SONDAGE. Quel doit être le rôle de Google dans le « droit à l’oubli » ? Protection des données : l’Europe avance… à un pas de sénateur. Les CNIL européennes souhaitent que le droit à l'oubli s'applique sur Google.com. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Le droit à l'oubli ne doit plus seulement concerner les déclinaisons nationales de Google, a estimé le groupe de travail « Article 29 », qui regroupe les différentes autorités européennes chargées de la protection des données, comme la CNIL.

Chargé d'établir un document précisant la façon dont les moteurs de recherche doivent appliquer le droit à l'oubli, le groupe s'est réuni mercredi 26 novembre à Bruxelles. A l'issue de cette réunion, il a adopté une nouvelle ligne directrice, donnant une interprétation plus large à cette règle. Jusqu'ici, elle s'appliquait aux sites « locaux » comme Google.fr, Google.co.uk, Google.de ou Google.it. .

« Article 29 » explique ainsi sa décision : Depuis la mise en place du formulaire de droit à l'oubli en mai, qui permet aux internautes de réclamer le retrait de résultats de recherche les concernant, Google a reçu 174 226 demandes, concernant 602 479 liens. Hostilité grandissante de Bruxelles. Reponse-du-medef-consultation-cnil. J'ai testé mon droit à l'oubli sur Google. Le droit à l’oubli | Internet responsable. Internet : du devoir de mémoire au « droit à l'oubli »