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Hadopi : « une loi folle », un projet « mort-né », « la destruction du Net » 01net le 25/05/11 à 18h05 L’e-G8 aura eu son petit « contre-sommet ». En marge du forum, la Quadrature du Net organisait ce mercredi matin une conférence de presse pour faire entendre la voix de ceux qui s’opposent à la régulation d’Internet, telle que Nicolas Sarkozy la souhaite. Selon l’association qui milite pour la liberté d’expression sur la Toile, les mesures voulues par le président de la République pour « civiliser » le Net déboucheront sur la censure et la surveillance des citoyens. Le modèle de Nicolas Sarkozy est d’ailleurs loin de faire l’unanimité, y compris parmi les invités officiels de l’e-G8. John Perry Barlow à l'e-G8. John Perry Barlow, cofondateur de l’Electronic Frontier Foundation, ancien parolier du groupe Grateful Dead.Cet activiste, fervent défenseur des libertés individuelles, a abordé le thème de la propriété intellectuelle, sur le même plateau que Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture et Pascal Nègre, patron d’Universal Music France.

Ridha Dhib: « La propriété intellectue... John Perry Barlow. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. John Perry Barlow Il est l'un des cofondateurs de l'Electronic Frontier Foundation et est connu pour sa Déclaration d'indépendance du cyberespace, publiée en 1996. En août 2013, John Barlow est admis au temple de la renommée d'Internet, dans la catégorie des innovateurs. Bibliographie[modifier | modifier le code] Richard Barbrook, La liberté de l'hypermédia - Une réponse à John Perry Barlow, in Libres enfants du savoir numérique, éditions de l'Éclat, 2000, pp.55-76, texte intégral.Ahmed Dahmani, José Do-Nascimento, Jean-Michel Ledjou, Jean-Jacques Gabas, La démocratie à l'épreuve de la société numérique, Karthala, 2007, page 67.NSA : "despotique mais incompétente" ?

Article connexe[modifier | modifier le code] Anarchisme aux États-Unis Liens externes[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Electronic Frontier Foundation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Electronic Frontier Foundation (EFF) est une organisation non gouvernementale internationale à but non lucratif, fondée en 1990 aux États-Unis par Mitch Kapor, John Gilmore, et John Perry Barlow, connu pour être l'auteur de la Déclaration d'indépendance du cyberespace. Liberté d'expression[modifier | modifier le code] L'objectif essentiel de l'EFF est de défendre la liberté d'expression sur Internet. En effet, le développement de celui-ci ne peut se faire sans la prise en compte des sujets politiques, économiques et légaux. Calcul distribué[modifier | modifier le code] L'Electronic Frontier Foundation offre des prix de calcul coopératif[1] afin d'encourager les internautes à contribuer à la résolution de problèmes scientifiques par le calcul distribué : Position vis-à-vis des brevets[modifier | modifier le code] Voici une liste de brevets[réf. souhaitée] que l'EFF estime nuisible au développement et à l'usage public.

(en) Site officiel. Quand les internautes financent l'art - Arts & Spectacles. Série sur le financement de l'art - Temps n°5 En France, le financement collectif se fait connaitre avec le succès de la chanson "Toi + Moi" de Grégoire. Les internautes plébiscitent ce titre et investissent de l'argent pour réaliser le rêve de ce jeune inconnu.

Au final, ils produisent un album qui se vendra à plus d'un million d'exemplaires. Depuis, ce mode de financement par la communauté s'est étendu à d'autres domaines artistiques. Le crowdfunding a le vent en poupe. Les premiers à surfer sur la vague sont les fondateurs de My Major Company (MMC), label de musique communautaire. Sevan Barsikian Florence Pacaud © Radio France Retour sur le label musical My Major Company doit beaucoup à la crise financière. Des modifications ont été prises afin d'éviter un site dormant. Les revenus issus des ventes d'un album, déduction faite de la marge du distributeur, sont ainsi répartis : 50% pour MMC, 30% pour les producteurs et 20% pour les artistes. Sophie PouliquenFlorence Pacaud © Radio France.