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Féminisme

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Les éditions du remue-ménage » femmes de droite, Les. Combattre les clichés. Aujourd’hui, je vous propose de répondre à la bêtise, de tordre le cou aux clichés.

Combattre les clichés

Les chômeurs sont des profiteurs et les Roms des voleurs. Les gays sont efféminés et ne devraient pas avoir d’enfant, de toute façon c’est aux mamans de s’occuper des enfants. En banlieue, il n’y a que des racailles, les juifs c’est l’argent qui les intéresse et les filles sont des chochottes ! Gros coup de cœur pour Riposte, comment répondre à la bêtise ordinaire, un super ouvrage signé Jessie Magana et illustré par Alain Pilon. L’auteure énumère des phrases d’une bêtise crasse qu’on entend pourtant trop régulièrement sur des catégories de personnes et donne des réponses directes, claires et intelligentes.

Qu’est-ce que la domination masculine, le féminisme, un stéréotype ? Les deux ouvrages suivants ne s’adressent pas aux enfants directement, mais sont très utiles pour les parents et les professionnels (et même les autres !). Être une fille ou un garçon, qu’est-ce que ça change ? À part ça ? Gabriel. Agora version auteure. Du côté des garçons : loisirs et construction de l’identité genrée à travers les sociabilités familiales et amicales masculines en milieux populaires. 1 Si les loisirs, pratiques et préférences culturelles sont des marqueurs de classe qui permettent de se reconnaître et de se distinguer (Bourdieu, 1979), ils sont aussi une façon de dire qui l’on est et de se situer dans le monde social (Mercklé, 2010), non seulement par sa classe, mais aussi par son âge, son genre ou encore son lieu de résidence.

Du côté des garçons : loisirs et construction de l’identité genrée à travers les sociabilités familiales et amicales masculines en milieux populaires

Autrement dit : « dis-moi ce que tu aimes faire, ce que tu écoutes et à quoi tu joues, et je te dirai qui tu es » (Octobre et al., 2010). Il est bien sûr abusivement simplificateur de réduire l’étude des préférences culturelles à ce schéma, mais on trouve des ensembles de pratiques pour lesquelles il semble pouvoir être appliqué sans la moindre hésitation : « si tu joues au foot, que tu aimes les jeux vidéo et que tu écoutes de la musique rap… alors tu es un garçon de milieux populaires ». Que nous dit cette apparente évidence sur les pratiques et les individus qu’elle associe ? La culture juvénile dans un champ scientifique en débats.

How to Raise a Feminist Son - The New York Times. La méchante “subjectivité” du féminisme – Buffy Mars. Broche féministe disponible sur Etsy.

La méchante “subjectivité” du féminisme – Buffy Mars

Difficile d’écrire un tel post ! Pourtant, cela fait un long moment que j’y pense… Je crois que les multiples disputes à ce sujet sur Twitter n’ont pas aidé à me donner envie de ne pas y prêter attention… bien au contraire. En réalité, comment rester indifférente face aux arguments qui reviennent encore et encore dans certains débats, comme des vérités toutes faites… alors qu’ils mériteraient réellement d’être remis en question ? Aujourd’hui donc, je vais revenir sur tous ces arguments qui entourent l’idée qu’une opinion féministe, qu’un argument lié au féminisme, sont forcément subjectifs… et par conséquent ne pourraient être valables. Après tout… quelle militante féministe n’a pas déjà entendu cet argument : “oui, mais ce que tu dis n’est pas objectif, tu as un parti pris, tu es féministe“? L’objectivité et la neutralité n’existent pas Oui, le féminisme a sa place dans les sciences (et donc dans la recherche universitaire) Notre vécu est politique.