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Fablab

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Un abri lunaire construit avec une imprimante 3D en test à l'Esa. En image, le chantier de fabrication du bloc expérimental.

Un abri lunaire construit avec une imprimante 3D en test à l'Esa

Le portique surplombe un tas de sable et une poutre porte le système d'injection du liant. Apprendre à réaliser une telle opération sur la Lune, même si elle peut être largement automatisée, prendra de nombreuses années... © Monolite UK Un abri lunaire construit avec une imprimante 3D en test à l'Esa - 3 Photos Pour réaliser des installations dans l’espace, sur la Lune ou sur d’autres planètes, le problème numéro un est le transport de matériaux depuis la Terre. On a compris depuis longtemps (cf. le physicien Gerard O’Neill et sa description de planètes creuses artificielles) qu’arracher péniblement des tonnes de matières premières à notre planète serait une méthode absurde. C’est l’idée suivie par l’Esa (et aussi par la Nasa) pour des constructions lunaires réalisées avec le régolite du sol sélène (le matériau granulaire formant le sol de la Lune).

Vue d'artiste d'une possible base lunaire. Première brique de la base lunaire. Fab lab. Un fab lab (contraction de l'anglais fabrication laboratory, litt. « laboratoire de fabrication ») est un tiers-lieu de type makerspace[1] cadré par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) et la FabFoundation[2] en proposant un inventaire minimal[3] permettant la création des principaux projets fab labs, un ensemble de logiciels et solutions libres et open-sources, les Fab Modules[4], et une charte de gouvernance, la Fab Charter[5].

Fab lab

Pour être identifié en tant que fab lab par la FabFoundation, il faut passer par plusieurs étapes[6] et il est possible de suivre une formation à la Fab Academy[7]. Les fab labs sont réunis en un réseau mondial très actif, d'après son initiateur Neil Gershenfeld[8]. Historique[modifier | modifier le code] Neil Gershenfeld a commencé en explorant comment le contenu de l'information renvoie à sa représentation physique, et comment une communauté peut être rendue plus créative et productive si elle a - au niveau local - accès à une technologie.

Full Printed. Ils tenteront de nous pourrir l'impression 3D avec leurs DRM. Nous sommes en 2023.

Ils tenteront de nous pourrir l'impression 3D avec leurs DRM

Vous cassez malencontreusement une assiette. Vous allez tout naturellement chercher son fichier numérique sur le Net pour en créer une nouvelle sur votre imprimante 3D, en la modifiant éventuellement au passage pour l’adapter à vos besoins. Mais deux minutes plus tard la Police du Copyright sonne à votre porte et vous embarque en flagrant délit d’effraction de propriété intellectuelle et contournement de mesure de protection… En mai 2011 nous publiions une longue et riche traduction : L’impression 3D, ce sera formidable… s’ils ne foutent pas tout en l’air !. Nous y sommes désormais. Sauf qu’ici nous avons déjà nos propres imprimantes, logiciels et formats libres et ouverts.

Comment les DRM vont infester la révolution de l’impression 3D How DRM will infest the 3D printing revolution Ryan Whitwam - 16 octobre 2012 - ExtremeTech.com(Traduction : Kurze, Dryt, Gatitac, goofy, Sylvain, Kiwileaks) Crédit photo : FdeComite (Creative Commons By)