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Femmes dans des métiers d'hommes: le sexisme n'est pas mort! Techniciennes, ingénieures, cadres: les femmes se heurtent toujours à des difficultés dans les entreprises, qui prennent des formes différentes selon leur place dans la hiérarchie.

Femmes dans des métiers d'hommes: le sexisme n'est pas mort!

Ayant mené une centaine d'entretiens semi-directifs avec des salariées d'une grande entreprise, les chercheurs du Cereq délivrent un constat sans appel: la féminisation de certains métiers techniques ne va pas sans résistance dans des bastions historiquement masculins. L'hostilité ou, paradoxalement, la bienveillance, sont les deux avatars d'un sexisme qui s'exprime de façon agressive ("t'as voulu venir là, maintenant tu te débrouilles! " comme l'exprime une technicienne) ou sous couvert de protection due à la femme, "j'ai travaillé avec un collègue (...) qui ne voulait pas que je me salisse les mains" témoigne une autre, (...) en étant trop protecteur, il ne me faisait pas travailler! ". Femmes au bord du burn-out Comment résistent-elles? 11 % des travailleurs se sont sentis discriminés en 2013 - Politique Economique - Trends-Tendances.be.

Ce faisant, la législation relative à la santé au travail entre définitivement dans le domaine des soins de santé psychologiques et abandonne le caractère répressif.

11 % des travailleurs se sont sentis discriminés en 2013 - Politique Economique - Trends-Tendances.be

Le législateur admet donc qu'il y a un problème. Un sujet de moins en moins tabou Notre étude montre que 11 % des travailleurs belges se sont sentis discriminés en 2013 : 10 % se sont sentis victimes de harcèlement moral, 1,4 % de harcèlement sexuel, et pas moins de 16 % d'agressions au travail, soit plus du double comparativement à 2012 et ce, essentiellement dans le secteur tertiaire. Il n'y a pas si longtemps, les personnes qui souffraient de stress et de burn-out étaient considérées comme faibles. Le problème était également passé sous silence dans la plupart des cas. Le rôle de l'employeur dans la prévention A cette nouvelles législation, les employeurs pourraient argumenter en affirmant que la charge psychosociale n'est pas uniquement liée au travail car il y a un lien entre la vie familiale et professionnelle.

Les agressions sur le lieu de travail ont doublé en un. Le prestataire de services RH vient d’établir un état des lieux de la situation.

Les agressions sur le lieu de travail ont doublé en un

En 2013, d’après son enquête menée auprès de 2088 travailleurs, 24% des travailleurs belges ont été confrontés à un ou plusieurs types de comportement inapproprié au travail. 11% de tous les travailleurs belges se sont sentis discriminés en 2013, sur la base de leur expérience lors des 12 mois précédant l’enquête; 10% se sont plaints de harcèlement moral, 1,4% se sont sentis victimes de harcèlement sexuel, et pas moins de 16% des répondants ont subi une agression au travail.

Ces chiffres resteraient stables par rapport à l’année dernière en ce qui concerne les discriminations, le harcèlement moral et le harcèlement sexuel sur le lieu de travail, mais en matière d’agressions, ils auraient doublé. Plus de déclarations «Il est difficile de donner une explication précise à cette augmentation», explique Heidi Verlinden, experte en ressources humaines. Stress et burn-out concernés. Accident du travail et maladie professionnelle : définitions. Témoignages d'infirmières sur leurs conditions de travail difficiles à l'hôpital. Plus que jamais nos conditions de travail se dégradent, nous sommes sans arrêt en train de courir dans les services d’un patient à l’autre de sorte qu’ils ne sont plus considérés comme des êtres humains mais comme un maillon sur notre chaîne de travail.

Témoignages d'infirmières sur leurs conditions de travail difficiles à l'hôpital

Il faut rajouter à cela une pression insupportable maintenant que l’hôpital public est devenu avec la T2A une entreprise à but lucratif. Il faut que cela cesse, il faut crier haut et fort notre souffrance, il faut agir et communiquer pour que nos conditions de travail change et que nos salaires soient revalorisés avec enfin une reconnaissance universitaire de notre formation. Sylvie, IDE depuis 1998 dans le Sud-Ouest Dix ans de DE et toujours la même galère pour les prescriptions. En dix ans, j’ai changé deux fois, d’hosto et cinq fois de service (réa, urgences, cardiologie, chirurgie, pool), j’ai fait du jour de la nuit parfois les deux… J’ai quitté un service de réa au top pour suivre mon mari… Quelle galère !