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Articles 2017-2018

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Nouveau plan de retour à l'équilibre à l'hôpital d'Orléans : au moins 75 postes supprimés en 2018. 15 millions d'euros Tel était le montant du déficit de l'hôpital d'Orléans-La Source au début de l'année 2017, au moment où la direction a instauré un premier plan de retour à l'équilibre (PRE). « Cinquante postes ont déjà été supprimés en 2017 », précise Olivier Boyer, directeur général de l’hôpital. Il rappelle aussi que « 200 postes avaient été créés à l'ouverture du CHRO ». Financièrement, « ce premier PRE a permis d’économiser un million d’euros », ajoute Nelly Wedajo, de Sud-Santé. Le souci c'est qu'il aurait fallu économiser 7,5 millions d'euros... 19 millions d'euros Résultat, « le déficit a continué de se creuser cette année. Il est aujourd’hui de 19 millions d’euros », explique le syndicat, qui a dénoncé cette situation ce mardi sur sa page Facebook. « Je regrette cette communication prématurée, alors que certains cadres de l'établissement n’ont pas encore été avisés et que tout n'a pas été arrêté », note Olivier Boyer, tout en confirmant le chiffre.

Luc Barre. Sécurité sociale : indemniser les salariés cyclistes pourrait faire économise... Indemniser les salariés cyclistes pourrait faire économiser à la Sécurité sociale jusqu'à 21 millions d'euros, selon un rapport consulté par franceinfo, qui sera remis mercredi 20 décembre à la ministre des Transports Élisabeth Borne. Les salariés qui viennent au travail à vélo posent 15% d'arrêts maladies de moins que leurs collègues et voient leur risque de cancer divisé par deux, selon les experts en mobilité d'associations et de collectivités. Près de 37 millions d'euros seraient également économisés par l'État en matière de gestion des impacts de la voiture, comme la construction de murs anti-bruit.

Du côté des entreprises, la mesure leur coûterait entre 7 et 23 euros par an et par salarié. Pour l'instant, seules 85 entreprises (notamment RTE, Décathlon ou le Crédit coopératif) proposent cette possibilité de remboursement à leurs salariés en France. Sida : l’autotest, un moyen de dépistage « pratique » mais encore mal connu. Lancé fin 2015, l’autotest VIH, disponible en pharmacie, ciblait les séropositifs qui s’ignorent. Mais il est encore trop tôt pour savoir s’il a atteint son objectif. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Faustine Vincent En France, 30 000 personnes sont séropositives sans le savoir, soit 20 % des porteurs du virus du sida. Lancé en septembre 2015, l’autotest VIH a été conçu pour atteindre ces malades qui s’ignorent, parmi lesquels 40 % d’homosexuels, 40 % de migrants d’Afrique subsaharienne et 20 % d’hétérosexuels ayant des pratiques à risque.

A l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida, vendredi 1er décembre, l’agence sanitaire Santé publique France rappelle qu’identifier ces personnes est un « objectif majeur de santé publique », car elles « ne bénéficient pas des traitements efficaces, et peuvent être à l’origine de nouvelles contaminations sans le savoir ». Lire aussi : « Aujourd’hui, si je n’étais pas sous PrEP, je serais déjà séropositif » Un tarif « rédhibitoire » Bientôt un service sanitaire pour les étudiants en santé - Actualités du mini... Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé et Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation ont mis en place ce vendredi 22 décembre 2017, le comité de pilotage de la mission « Service sanitaire ».

Prévu pour tous les étudiants en santé, le service sanitaire a pour but de les familiariser avec les enjeux de prévention en santé. Annoncé par le Président de la République, le Service sanitaire prendra la forme d’un stage de 3 mois durant les études : des actions de prévention et de promotion de la santé seront confiées à tous les étudiants en santé. lls iront, par exemple : dans les écoles pour sensibiliser aux dangers du tabac dans les universités, alerter les étudiants pour sensibiliser sur les enjeux sanitaires autours de la sexualité, ou encore sur les dangers de l’abus d’alcool. Ce service sanitaire sera intégré dans les maquettes pédagogiques et, à terme, il pourra concerner plus de 40.000 étudiants chaque année. Une infirmière dénonce le manque criant de moyens humains en Ehpad.

Une fois encore, une infirmière dépeint son quotidien critique dans une maison de retraite. N’hésitez pas à partager cet article et à nous faire part de vos expériences si vous rencontrez des situations aussi préoccupantes, afin que la maltraitance dans les Ehpad soit enfin prise au sérieux. Le sujet a déjà été maintes fois souligné, dénoncé, a donné lieu à des mouvements de grève. Au point qu’on a parfois l’impression que les professionnels se répètent. Qu’ils ressassent incessamment la même chose. Et pourtant, rien ne change. La maltraitance persiste dans les Ehpad, triste conséquence d’un manque criant de moyens humains qu’il faut bien, de fait, continuer à dénoncer. Dans les Ehpad comme à l’usine. Il va falloir choisir celui qui va manger chaud, celui qui va manger froid, parce qu'on ne pourra pas s'occuper de tout le monde en même temps Regardez l’interview de Christine Rinato : Je revendique le droit de pouvoir discuter et de m’occuper de la personne.

L'ibuprofène, pris trop fréquemment et à dose élevée, peut être dangereux pou... L'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) a publié, lundi, une étude révélant que l'ibuprofène peut être pour le système reproducteur des hommes en cas de prise régulière et à dose assez élevée. Au terme d'une étude, publiée lundi 8 janvier, portant sur 31 hommes sportifs volontaires âgés de 18 à 35 ans, l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) a conclu que l'ibuprofène, pris régulièrement et à dose assez élevée, peut être dangereux pour le système reproducteur des hommes. La moitié de cet échantillon a pris de l’ibuprofène. L'étude montre qu'une prise prolongée d'ibuprofène à des doses importantes perturbe la production de plusieurs hormones, dont la testostérone.

Chez de jeunes hommes sportifs, cette prise soutenue d’ibuprofène (1 200 mg/jour pendant six semaines) induit un déséquilibre hormonal habituellement rencontré chez environ 10% des hommes âgés. Elle est appelée hypogonadisme compensé. Le travail de nuit favorise le cancer chez les femmes. Selon une analyse de 61 études sur 3,9 millions de personnes et plus de 100 000 patients, les infirmières de nuit sont particulièrement touchées, avec davantage de cancers de la peau, du sein et du système gastro-intestinal.

Le travail de nuit est lié à un risque accru de cancers du sein, gastro-intestinal et de la peau chez les femmes, selon l’analyse de plusieurs études publiée lundi 8 décembre dans Cancer Epidemiology, Biomarkers and Prevention, la revue de l’American Association for Cancer Research. Cette étude consiste en une analyse de 61 études couvrant 114 628 cas de cancer et 3,9 millions de participants en Amérique du Nord, en Europe, en Australie et en Asie. Ces chercheurs, dont le cancérologue Xuelei Ma, de l’Université chinoise Sichuan à Chengdu, ont cherché à déterminer si le fait de travailler de nuit pendant de longues années pouvait accroître le risque de onze types de cancer chez les femmes.

Niveau d’hormones sexuelles trop élevées. Contraception masculine : quelles sont les méthodes disponibles en France ? Slip chauffant, injections de testostérone… plusieurs contraceptions masculines sont difficilement accessibles en France et surtout très méconnues. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Florian Reynaud Cinquante ans après la loi Neuwirth, légalisant en France la fabrication et la mise à disposition de contraceptifs, en dépit d’un modèle en évolution, le poids du contrôle des naissances repose encore majoritairement sur les épaules des femmes. Depuis le 1er janvier 2017, le Planning familial propose, à Paris, des journées de consultation groupées adressées aux hommes.

Mais celles-ci n’attirent pas les foules. « Les premiers mois, il y avait une personne par consultation, ces derniers temps, on est entre trois et quatre », estime Caroline Rémy, coprésidente du Planning familial. Lors des consultations, les hommes recherchent avant tout « une méthode un peu plus fiable que le préservatif, qui peut craquer de temps en temps », poursuit Caroline Rémy : Toujours pas de pilule pour les hommes. Hôpital en crise : le cri d'alarme de mille médecins et cadres de santé. Un collectif de mille médecins hospitaliers et cadres de santé s'alarme de la "nouvelle cure de rigueur budgétaire" imposée aux hôpitaux et dénoncent une "baisse de la qualité des soins", dans une tribune publiée par Libération.

Par la rédaction d'Allodocteurs.fr, avec AFP Rédigé le Avec 1,6 milliard d'euros d'économies à réaliser en 2018, le budget des hôpitaux n'augmentera que de 2%, soit moitié moins que leurs charges, rappellent les signataires de la tribune lancée par les professeurs André Grimaldi, Jean-Paul Vernant et le docteur Anne Gervais. Depuis 2005, le financement public des établissements de santé dépend du nombre de séjours enregistrés et des actes pratiqués par les médecins.

Ainsi, à chaque acte médical correspond un prix bien spécifique. C’est la tarification à l’activité, ou T2A. Ce système a engendré une course à l'activité, amenant certains établissements à réaliser des actes médicaux inutiles, tout en gardant les patients le moins longtemps possibles sur site. avec AFP. Financer ses études pendant la formation en soins infirmiers.

Suivant Le financement des études infirmières nécessite une réflexion rigoureuse et anticipée. De nombreux étudiants en soins infirmiers arrêtent leur formation faute de pouvoir subvenir à leurs besoins en cours de formation. Tous les candidats au concours infirmier doivent donc anticiper et réfléchir à cette question. Cet article est une publi-information de la Banque française mutualiste Formation gratuite ? Rien n’est jamais gratuit ! Quelques chiffres significatifs.. Le coût de la rentrée 2017 pour un ESI s’élève à 2577 euros, soit + 173 euros par rapport aux autres étudiants. Qui sont les futurs infirmiers ? Étudier et travailler en même temps ? Les études infirmières sont programmées sur 3 ans à raison de 35 heures par semaine. Logement, alimentation ? Les IFSI qui propose un internat sont rares. Déplacement ? Un remboursement des frais de déplacement est envisageable sous certaines conditions.

Livres, accessoires… Vous aurez à rédiger des travaux de groupe et un travail de fin d’études. Rentrée 2018 : les modalités du Service sanitaire pour les Etudiants en Santé. Suivant C'était une promesse du candidat Emmanuel Macron : la mise en place d'un Service sanitaire pour tous les étudiants en santé, une réforme qui s'inscrit dans le cadre de la stratégie nationale de santé.

C'est pour présenter ses modalités qu'Agnès Buzyn, ministre des Solidarité et de la Santé et Frédérique Vidal, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, étaient attendues ce lundi 26 février à l'Université d'Angers. Le service sanitaire permettra de diffuser, partout sur le territoire, des interventions de prévention conduites par des étudiants, précise le ministère qui veut ainsi sensibiliser sur les enjeux de santé publique autour de la sexualité, de l'activité physique, de l'alimentation ou encore des dangers liés à l’abus d’alcool.

Infirmiers.com fait pour vous la synthèse de ce qu'il faut retenir et attend vos réactions. La mise en place d’une politique publique de service sanitaire à l’échelle nationale est inédite, une première en Europe ... Cinq types de diabète, et non deux ? Des scientifiques pensent qu’il n’y aurait pas 2 types de diabètes mais au moins 5. Cette précision pourrait permettre, à termes, une prise en charge plus personnalisée des malades.

Par la rédaction d'Allodocteurs.fr Rédigé le Type 1 ou type 2. Cinq types de diabète distincts, différents risques de complications Un chemin encore très long vers des véritables soins personnalisés Les auteurs de l’étude évoquent une entrée dans une nouvelle ère de la prise en charge du diabète. Par ailleurs, si à l’avenir il devenait aisé d’identifier à quel sous-groupe appartiennent les malades diabétiques, encore faudrait-il pouvoir leur proposer un traitement adapaté. A noter que l'étude, réalisée uniquement sur des scandinaves, n’est pas extrapolable au monde entier. Sponsorisé par Ligatus. Portes closes : un documentaire qui ouvre le champ des possibles. Suivant En désirant soigner, accompagner, parfois on contraint, on enferme… Mais de quel droit finalement ?

Est-ce pour mieux assurer la sécurité de la personne soignée atteinte de graves troubles cognitifs ou pour rassurer sa famille mais aussi les équipes soignantes ? Ces questions éthiques, Christophe Ramage, réalisateur du documentaire « Portes closes », a décidé de les prendre à bras le corps et de les mettre en image. En immersion totale, il nous plonge au coeur d'une unité « fermée », pôle gériatrique du CHU de Reims, à la rencontre de ses résidents, de leurs familles mais aussi de son équipe soignante. Au nom de la sécurité, de la protection, il deviendrait évident qu'une personne désorientée doive être enfermée. De quel droit enfermons-nous les personnes désorientées ? Pourquoi on nous enferme, qu'est-ce qu'on vous a fait ?

Pour le Docteur Frédéric Munsch, psycho-gériatre à la tête de cette unité, enfermer c'est aussi libérer, même si cela paraît paradoxal. Fin de vie : le CESE se prononce en faveur de la sédation profonde explicitem... À l'issue d'un vote, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a préconisé ce 10 avril de légaliser la "sédation profonde explicitement létale" pour les personnes en fin de vie. Par la rédaction d'Allodocteurs.fr, avec AFP Rédigé le Le Conseil économique, social et environnemental (CESE), qui s'était autosaisi de la question de la légalisation de la "sédation profonde explicitement létale", a adopté, ce 10 avril un avis en ce sens à 107 voix pour, 18 contre et 44 abstentions.

Cette prise de position n'est pas sans poids alors que se tiennent les débats des États généraux de la bioéthique, qui doivent déboucher sur un projet de loi à l'automne. Aujourd'hui, quand un patient souffre, n'a pas d'espoir de rémission, et va décéder "à court terme", la loi autorise les médecins à utiliser des sédatifs pour attenuer sa souffrance. Un débat régulièrement ravivé La majorité des Français y semblent favorables, d'après les sondages d'opinion. De nouveaux droits à encadrer avec AFP. Solitude : et si la colocation intergénérationnelle était une solution ?