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De quoi le bouton “like” de Facebook est-il le nom ? - L'actu Médias / Net. C'est un petit clic anodin en apparence, mais qui revêt pourtant de multiples significations.

De quoi le bouton “like” de Facebook est-il le nom ? - L'actu Médias / Net

Pourquoi a-t-on besoin de signifier à son ami Facebook qu'on “like” son statut ou l'article qu'il a posté ? A l'occasion des 11 ans du réseau social, nous republions cet article. A l'ère du partage tous azimuts, le bouton « like » (ou « j'aime », en français) de Facebook n'est plus seulement cet incontournable thermomètre de popularité qu'il fut naguère, quand Mark Zuckerberg avait encore de l'acné. Aujourd'hui, le « like » est une denrée qui s'échange et recouvre mille significations. Tel un écureuil caché dans les cheveux du prince Harry, derrière chaque « like » se dissimule une arrière-pensée plus ou moins consciente, une stratégie, un sourire, un rictus, une grimace, un clin d'œil.

Education: Facebook doit entrer à l'école. Dans une école de la banlieue de Washington, D.C., l'enseignant préféré des élèves est aussi une star locale sur YouTube.

Education: Facebook doit entrer à l'école

A son insu, des étudiants l'ont filmé avec leurs téléphones portables en train de danser sur l'air de «Soulja Boy Tell 'Em» et sur d'autres chansons que les étudiants lui ont apprises. Une enseignante de la même école a trouvé quelque chose de moins attendrissant en tapant sur Google le nom de l'école: des vidéos d'étudiants en train de se battre. Ils ont posté les vidéos sur MySpace et ont lancé un débat pour savoir qui utilisait les meilleures techniques de combat.

L'enseignante a aussi trouvé le court métrage d'un groupe de filles qui s'étaient filmées en train de danser de façon provocante dans la cage d'escalier de l'école. Facebook et le «temps de cerveau disponible» Si Internet était à vendre, y aurait-il un prince du Qatar ou une multinationale pour en faire l’acquisition ?

Facebook et le «temps de cerveau disponible»

Cette question incongrue est-elle déjà obsolète ? L’Internet qu’on croit connaître, neutre et ouvert, ne nous appartient peut-être plus. Comment les médias sociaux stimulent ma mémoire  ( Jean Guitton ) La mémoire, malheureusement, ne se commande pas. Il faut reconnaître notre faible empire sur cette contrée de l’intelligence.

Au mieux réussit-on à cultiver aléatoirement certains souvenirs. On ne passe pas son temps, après tout, à déterminer ce que nous retenons, sauf peut-être l’école dans son déterminisme. La nature ne nous accorde pas ce pouvoir de décision. En amont de la pensée, le cerveau réagit principalement à des stimuli. Il aura fallu une requête de Gael Plantin , toujours pénétrant, pour susciter la réflexion sur ma méthode : D’emblée, je lui ai répondu : Poursuivant la réflexion, je constate que ces nombreuses itérations donnent lieu à une sorte de répétition espacée ([ 1 ], [ 2 ]) régulée mémétiquement par les médias sociaux. À cet apport Twitter s’ajoutent mon épluchage des quotidiens et mon agrégation de flux RSS. Non aux réseaux sociaux, oui aux ENT. Peuvent mieux faire.

Non aux réseaux sociaux, oui aux ENT

Sans être obtus, les enseignants dans les collèges et lycées n’ont pas encore complètement adopté les technologies de l'information et de la communication pour l'éducation (TICE). Ils utilisent ce qu’ils connaissent et ce qui est à leur disposition au quotidien (Internet, vidéoprojecteur, plateforme numérique de travail) mais rejettent massivement l’usage des réseaux sociaux (Twitter, Facebook) et des jeux sérieux (un logiciel aux vertus pédagogiques et ludiques).

C’est ce qui ressort de l’enquête, publiée le 7 juillet et menée par Ipsos, Microsoft et le Café Pédagogique, un site d’information sur l’éducation dirigé par François Jarraud, enseignant en géographie et des professeurs, chercheurs et cadres éducatifs. Les 670 professeurs, qui ont répondu au questionnaire sur le site du Café Pédagogique, reconnaissent une utilisation importante et justifiée des TICE dans leur travail de préparation de leurs cours, une de leur activité favorite. Méconnaissance des outils. Réseaux sociaux et éducation: Quand ce sont les élèves qui en parlent ! Twitter. L’usage des réseaux sociaux en classe: quelle plus value pédagogique ? 10 impacts des médias sociaux pour l’enseignement et l’apprentissage. Réseaux sociaux : Veille et usages pédagogiques. Réseaux sociaux en classe : une révolution pédagogique ? Professeur d’histoire-géographie et d’éducation civique dans un lycée professionnel de La Rochelle, Laurence Juin est l’une de ces aventurières du web 2.0 en classe. « Facebook est bloqué au lycée depuis un an car il y a eu des dérives.

Réseaux sociaux en classe : une révolution pédagogique ?

Je suis partie de là pour commencer à utiliser Twitter et en tirer quelque chose de positif. Les élèves signent une charte d’utilisation qu’ils ont élaborée, ils doivent écrire leurs messages de 140 signes en français correct, en utilisant des mots-clé. Cela leur apprend par exemple à prendre des notes rapidement, à les éduquer aux médias (quelles photos publier ou non sur Internet), à échanger entre élèves en réseau ou avec des étudiants indiens.

Bref, cela permet d’impliquer plus les élèves dans l’enseignement. Réseaux sociaux et éducation.