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Comment les médias sociaux stimulent ma mémoire 

Comment les médias sociaux stimulent ma mémoire 
( Jean Guitton ) La mémoire, malheureusement, ne se commande pas. Il faut reconnaître notre faible empire sur cette contrée de l’intelligence. Au mieux réussit-on à cultiver aléatoirement certains souvenirs. On ne passe pas son temps, après tout, à déterminer ce que nous retenons, sauf peut-être l’école dans son déterminisme. La nature ne nous accorde pas ce pouvoir de décision. En amont de la pensée, le cerveau réagit principalement à des stimuli. Il aura fallu une requête de Gael Plantin , toujours pénétrant, pour susciter la réflexion sur ma méthode : D’emblée, je lui ai répondu : Poursuivant la réflexion, je constate que ces nombreuses itérations donnent lieu à une sorte de répétition espacée ([ 1 ], [ 2 ]) régulée mémétiquement par les médias sociaux. À cet apport Twitter s’ajoutent mon épluchage des quotidiens et mon agrégation de flux RSS. L’information passe donc par plusieurs cribles, dans un crescendo d’objectivation. Fondamentalement, je n’agis plus seul. Par ricochet :

“L’Internet, c’est fini” : la technologie est devenue le soubassement de nos vies La lecture de la semaine, il s’agit d’un article paru cette semaine dans le quotidien britannique The Guardian, article qui donne une interprétation tout à fait personnelle d’un événement qui a eu lieu aussi cette semaine à Austin, au Texas, la South By SouthWest Interactive Conference. On doit ce papier à Oliver Burkeman et il s’intitule : « The internet is over » – « L’Internet, c’est fini ». « Si mes petits enfants me demandent un jour où j’ai compris que l’Internet, c’était terminé, écrit Oliver Burkeman, je serai en mesure de leur apporter une réponse assez précise : c’était dans un restaurant mexicain, en face du cimetière d’Austin, au Texas, alors que j’avais déjà avalé la moitié d’un Tacos. Cela faisait deux jours que j’assistais à la South By Southwest Interactive, avec comme ligne de conduite de demander à chaque personne que je rencontrais, de manière peut-être un peu trop agressive, ce qu’elle faisait exactement. Qu’est-ce que « l’expérience utilisateur », vraiment ?

Typologie des réseaux sociaux et usages pédagogiques des réseaux sociaux Comment utiliser les réseaux sociaux en pédagogie ? Le carrefour technopédagogique du CEGEP régional de Lanaudière à l’Assomption (Québec) a publié en novembre 2011 une double typologie des réseaux sociaux (dits aussi « médias sociaux ») au format pdf. Le premier document généraliste dresse un panorama des réseaux sociaux par types (réseaux sociaux de masse, agrégateur social, marque-page social, médias sociaux et partage de contenus) avec un descriptif, des exemples de services et les principales caractéristiques de ces outils). Ces 2 tableaux délivrent des clés de compréhension et d’action pour des projets pédagogiques menés en utilisant des services en ligne. Licence : Creative Commons by-nc-saGéographie : International Tags: pédagogie, reseau social, tableau, web 2.0

Si rien ne bouge en France dans les cinq ans je demande ma mutat Ce billet souhaite avant tout saluer l’action du SEM qui, dans le cadre des MITIC, favorise les SOLL au sein du DIP. Gageons cependant que si vous n’êtes pas familier avec le système éducatif genevois, cette introduction risque de vous apparaitre bien énigmatique ! Le DIP, c’est le Département de l’Instruction Publique du Canton de Génève et le SEM, le Service Écoles-Médias chargé de la mise en œuvre de la politique du Département dans le domaine des Médias, de l’Image et des Technologies de l’Information et de la Communication, autrement dit les MITIC. Mais l’acronyme le plus intéressant est sans conteste les SOLL puisqu’il s’agit rien moins que des Standards Ouverts et des Logiciels Libres. En mars dernier en effet le SEM a élaboré un plan de déploiement 2009-2013 sur cinq ans des postes de travail pédagogiques (autrement dit les ordinateurs des élèves[1] ) qui présente la particularité d’être peu ou prou… exactement ce qu’il nous faudrait à nous aussi en France ! Impressionnant non !

Dossier : Twitteratures Un dossier conçu et réalisé par Jean-Michel Le Baut La twitterature et l’enseignement du français Le mot-valise « twittérature » n’est pas encore, contrairement au mot « tweet », entré dans le dictionnaire Robert ! Il désigne en effet un phénomène récent : des formes variées d’écriture artistique réalisées via le réseau Twitter. L’obligation de brièveté (140 caractères maximum pour un « gazouillis ») s’avère une contrainte particulièrement stimulante, elle donne lieu à des expériences originales de nanoprose ou de nanopoésie, dans la continuité de certaines formes brèves traditionnelles (haïkus, maximes, microrécits ...). Prolongements : Le site de l’Institut de Twittérature Comparée : Les passionnantes analyses et propositions de Monique Le Pailleur : Le réseau des Twittclasses francophones :

Le Blog mathématique d'ABC Maths Splog Non, Splog n’est pas le petit frère de Spock dans Star Trek et ne relève pas de la science fiction mais c’est un mal bien réel ! Splog est une combinaison de 2 mots "Spam" et "Blog". Le Splog est au blog ce que le spam est au mail. Il désigne tout blog qui a pour seule vocation d’augmenter la popularité des sites-blogs sur lesquels il pointe. Le terme a été popularisé par le serial entrepreneur Mark Cuban en 2005 qui a dénoncé l’ampleur du problème et demandé à ce que chacun se mobilise pour neutraliser cette nouvelle forme de spam qui déstabilise voire décrédibilise la blogosphère. Certains préfèrent le terme Clog à Splog mais il est nettement moins usité et lorsque vous êtes victime d’une avalanche de splogs, on appelle cela le Spamalanche…

Utiliser un réseau social en classe: les bonnes questions à se poser avant de se lancer Quelles questions se poser avant de lancer sa classe sur un réseau social? Je reprends dans ce prezi le billet que j’avais écrit ici il y a un an. Prezi qui servira de base à la formation des nouveaux enseignants que j’assurerai pour l’académie de Poitiers en mars. " Vous voulez introduire les réseaux sociaux dans votre pédagogie? Voici quelques conseils et pistes de réflexion avant de se lancer: Je prends en exemple dans cette fiche pratique le réseau social Twitter mais c’est adaptable à d’autres comme Facebook. Avant de commencer : je recommande de l’utiliser personnellement pour bien le maîtriser. Tweeter en classe mais pour quoi faire ? On n’entre pas avec sa classe en réseau social comme on entrerait n’importe où. B. L’usage peut se restreindre uniquement sur le temps de classe proprement dit. Mais il est évident que l’utilisation du web 2.0 décloisonne la classe: l’enseignant entre facilement en communication et interaction avec ses élèves en dehors du temps de classe. C. D. En classe:

10 Ways Universities Share Information Using Social Media Vadim Lavrusik is a new media student at the Columbia University Graduate School of Journalism. He is @lavrusik on Twitter and blogs at Lavrusik.com. Instead of focusing their attention on promoting information to mainstream media, some university public affairs offices are using the power of social media to engage the community directly. In many cases, social media tools like Facebook Pages have given universities an opportunity to speak to audiences on their own, reaching thousands of people interested in keeping up with news at the school and connecting with others on the social network. Universities are constantly exploring new ways to use social media to fulfill their missions of engaging and sharing knowledge with their constituents. 1. Perhaps the most common way, and the way in which most of us use social media, is sharing information about ourselves or things we find interesting. 2. 3. 4. Emergencies and tragedies do happen. 5. 6. 7. 8. 9. 10.

Au plaisir des mots : lire, écrire et publier avec Twitter Présentation (rapide) du réseau social Twitter est bien moins utilisé que Facebook et est nettement différent dans son fonctionnement. Il s’agit surtout d’un instrument de veille qui permet de s’abonner à des comptes, publics ou privés (avec accord du gestionnaire du compte) de personnes issues non d’un réseau préexistant mais qu’il faut construire. Ainsi, il s’agit non de (re)trouver des « amis » mais de trouver des comptes qui publient (en 140 caractères) des informations de tous ordres : des liens (le plus souvent enrichis de commentaires), des informations, des commentaires, des notes prises à tel ou tel colloque, etc. Proposer à des élèves de « tweeter », c’est leur proposer de s’astreindre à l’essence même de ce qui fait l’intérêt du Web2.0 : Le projet J’ai commencé par créer des comptes de classe : @littlyc pour la TL et @jevousecris pour la classe de 2nde. Démarche et activités Classe de Terminale Littéraire (@littlyc comme « littérature au lycée ») Bilan pédagogique et didactique

E-formation Savoirs en réseau Vive les sites web à page unique ! Si je m’en tiens à la définition de Wikipedia : “Un site Web est un ensemble de pages Web hyperliées entre elles“. OK, mais qui a dit qu’un site web devait nécessairement être composé de plusieurs pages ? C’est sur cette réflexion que le blog Six Revision nous propose un article très intéressant : The Science Behind a Single Page Website. Les arguments en faveur d’un site web à page unique sont les suivants : Tout le contenu est chargé en une seule fois ;Scroller est moins compliqué et risqué que de cliquer ;La maintenance est plus simple ;La densité d’information favorise un meilleur référencement. Les arguments en défaveur des sites web à page unique sont les suivants : Le site est plus long à charger ;Le site est généralement truffé de javascript pour proposer une navigation locale (au sein de la page) ;Les utilisateurs peuvent être désorientés. Même chose pour Coda qui propose par contre un système d’onglets intérieurs pour réduire la hauteur de la page : Je suis fan, pas vous ?

Ciuen2012 elise chomienne-anne-lehmans Le Danemark autorise l'accès à internet lors d'examens C'est un fait, les natifs numériques (digital natives en anglais) sont en passe de révolutionner en profondeur le rapport de la société à la technologie. Ayant grandi dans un environnement fait d'ordinateur, d'Internet, de jeux vidéo ou encore de baladeurs MP3, cette "génération Y" bouscule de nombreux domaines, à commencer par l'industrie du divertissement, transformant peu à peu l'ordre établi à travers de nouvelles pratiques, de nouveaux comportements. Preuve en est avec cette information qui nous vient tout droit du Danemark. C'est une petite révolution dans le monde de l'éducation, mais une révolution visiblement nécessaire aux yeux de Sanne Yde Schmidt, la responsable du projet au lycée Greve, à Copenhague : "si nous voulons être une école moderne et enseigner aux élèves des choses qui ont un sens dans nos sociétés contemporaines, nous devons leur apprendre à utiliser correctement Internet". Car le corollaire de cette mesure est évidemment la triche.

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