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Terre

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La Terre est arrivée à bout de ressources en 8 mois. Photo : iStockphoto En ce 19 août, la Terre a épuisé son « budget écologique » annuel : l'ONG américaine Global Footprint Network souligne le « jour du dépassement », soit la date approximative à laquelle notre consommation de ressources naturelles excède la capacité annuelle de la planète à les renouveler. Un texte de Johanne Lapierre Pour aboutir à cette conclusion, l'ONG mesure la demande en ressources naturelles des humains sur la planète. Elle évalue en parallèle la biocapacité de la nature, soit à la capacité de la planète à reconstituer ses ressources et à absorber les déchets, dont le CO2.

En croisant ces données, Global Footprint Network en arrive à une date dans l'année où, en quelque sorte, la demande excède l'offre. Cette année, la planète aura donc atteint ses limites en huit mois. Pour regarder cette infographie sur votre appareil mobile, cliquez ici. Le Canada : plus de biocapacité que d'empreinte écologique Une date qui arrive de plus en plus tôt.

Lapse: Landsat Satellite Images of Climate Change, via Google Earth Engine. TIME and Space | By Jeffrey Kluger Editors note:On Nov. 29, 2016, Google released a major update expanding the data from 2012 to 2016. Read about the update here. Spacecraft and telescopes are not built by people interested in what’s going on at home.

Rockets fly in one direction: up. Telescopes point in one direction: out. Of all the cosmic bodies studied in the long history of astronomy and space travel, the one that got the least attention was the one that ought to matter most to us—Earth. That changed when NASA created the Landsat program, a series of satellites that would perpetually orbit our planet, looking not out but down. Over here is Dubai, growing from sparse desert metropolis to modern, sprawling megalopolis. It took the folks at Google to upgrade these choppy visual sequences from crude flip-book quality to true video footage. Chapter 1: Satellite Story | By Jeffrey Kluger It’s a safe bet that few people who have grown up in the Google era have ever heard of Stewart Udall. Timelapse : 30 ans sur Terre en accéléré  Earth Impact Database. | Africa | Asia & Russia | Australia | Europe | North America | South America | World Map | Earth Impact Database Sorted by : | Age | Diameter | Name | Do you think you've discovered an impact crater?

Do you think you've discovered a meteorite? Introduction to Impact Craters Would you like to see a map of all terrestrial craters? Would you like to request an image (Note: a fee might be applicable)? Are you a scientist that would like to report data or publications? Click here if you are interested in a Structural Geology Post-doctoral project at the Manicouagan Impact Structure! The Earth Impact Database (EID) comprises a list of confirmed impact structures from around the world. This was achieved via the study of over 200,000 aerial photographs of the Canadian Shield.

In 2001, following termination of impact studies at the GSC, the database was transferred to the Planetary and Space Science Centre at the University of New Brunswick, Canada. Acknowledgements. Home. La Terre, boule de magma | Science. Représentation artistique de la Terre au temps où le magma commençait à se refroidir Photo : NASA L'analyse chimique de roches du Groenland vieilles de 3,4 milliards d'années tend à confirmer l'hypothèse selon laquelle la Terre était, à l'origine, constituée d'un océan de magma en fusion.

Des chercheurs français et danois ont découvert un déficit en néodyme 142 dans des roches issues de la chaîne montagneuse d'Isua. Cet élément chimique est jugé critique dans l'étude de la formation terrestre. L'isotope 142 du néodyme est issu de la décomposition d'un isotope radioactif aujourd'hui disparu, le samarium 146. Son abondance est presque identique dans toutes les roches du globe. Selon la théorie, la Terre se serait formée par agglomération de matériaux du système solaire il y a 4,58 milliards d'années. Entre 100 et 200 millions d'années après sa formation, notre planète aurait été constituée d'un océan de magma en fusion au centre duquel se serait concentré un noyau métallique. Le saviez-vous? Nouvelle-Zélande : éruption d'un volcan dormant | International. Un Néo-Zélandais balaie les cendres sur son véhicule après l'éruption d'un volcan situé sur le mont Tongariro, sur l'île du Nord, le 7 août 2012.

Photo : AP/New Zealand Herald, Alan Gibson Un volcan qui dormait depuis plus d'un siècle est entré en éruption en Nouvelle-Zélande, produisant un nuage de cendres s'étirant jusqu'à 6000 mètres d'altitude et clouant des dizaines d'avions au sol. Le mont Tongariro, l'un des trois volcans situés sur l'île du Nord, est entré en éruption peu avant minuit (12 h GMT lundi), marquant une première activité importante depuis 1897, a annoncé l'agence de sismologie néo-zélandaise GSN Science. « C'était comme le tonnerre et la foudre et des feux d'artifice. C'était spectaculaire », a déclaré un habitant du massif du Tongariro, David Bennett, cité par Fairfax Media. Selon la Défense civile, l'éruption n'a pas provoqué de coulées de lave et personne n'a été blessé.

Slooh LZ1 Asteroid Simulation. Un astéroïde gigantesque près de la Terre | Science. Notre Terre, cette boule d’énergie  |  Blogue science. La Terre se déchaîne assez souvent ces dernières années, vous ne trouvez pas? Sachons bien que ce n’est pas d’hier que de telles catastrophes ébranlent notre planète. Il était une fois, il y a environ 4,5 milliards d’années… À cette époque, la Terre est formée depuis quelques millions d’années, mais elle subit toujours de forts bombardements d’objets de l’espace. Ces collisions libèrent une intense énergie, sous forme de chaleur, qui fait fondre une partie de sa matière. Pour bien comprendre, imaginons la surface terrestre comme une mer de magma très chaud (~2000 degrés Celsius) qui rejette dans l’espace différents gaz. Presque mille ans plus tard… Le magma cède sa place à l’eau pour former les océans, mais ne pensez pas y tremper un orteil. Entre 4 et 3 milliards d’années… Des signes d’apaisement se font finalement sentir et les océans atteignent leur volume final.

Malgré ces mouvements d’échange de chaleur, il reste énormément d’énergie emprisonnée quelques kilomètres sous la surface. L’humanité se rapproche de la capacité limite de la Terre. La science indique que « les pressions exercées sur les écosystèmes terrestres poussent ces derniers vers leurs limites biophysiques et que ces limites sont presque déjà atteintes. Dans certains cas, elles sont déjà dépassées ».

Tel est bilan alarmant que dresse « GEO-5 », le cinquième bilan quinquennal de l’état de la planète du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE). « GEO-5 » est publié à deux semaines de l’assemblée générale extraordinaire des Nations unies qui se tiendra à Rio du 20 au 22 juin prochain. Le premier de ces bilans avait été publié avant la conférence de Rio de 1992, qui avait débouché sur les deux conventions internationales sur la protection du climat et de la biodiversité. Peu ou pas de progrès du tout caractérisent 24 autres objectifs que s’est aussi donnés la communauté internationale dans les dossiers touchant notamment le climat, les stocks de poissons, la lutte contre la désertification et les sécheresses.

Bilans sectoriels. Communiqués de presse - Fédération des commissions scolaires du Québec. Origines « cométaires » de l’eau sur Terre ? Une étude publiée dans la revue Nature suggère que les comètes sont en partie à l’origine des océans terrestres. D’où provient l’eau des océans ? A cette grande question les astronomes pensaient avoir trouver la réponse dans les astéroïdes, notamment ceux qui sont rangés entre Mars et Jupiter. Or, l’étude dans le rayonnement infrarouge submilimétrique de la comète Hartley 2 révèle que l’eau qu’elle contient est de la même « nature » que celle présente sur Terre ! De l’eau dite « lourde » ou HDO. L’eau H2O se compose de deux atomes d’hydrogène et d’un atome d’oxygène tandis que la « mi-lourde » est faite d’un atome d’hydrogène, un autre de deutérium, deux fois plus lourd et un atome d’oxygène. Jusqu’à présent, les astronomes soupçonnaient fortement les astéroïdes d’être à l’origine de l’eau terrestre, considérant que les comètes n’y ont contribué qu’à environ 10 %.

La ceinture principale d’astéroïdes ne serait donc pas la source unique, loin s’en faut ! Crédit photo : NASA/JPL-Caltech.

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