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Humanités, littérature et philosophie

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Spe255 annexe 1158920. Programme HLP Terminale. Bibliographie indicative : en gras les oeuvres littéraires La recherche de soi 1) Éducation, transmission, émancipation Rousseau, Émile ou De l’éducation (1762).

Programme HLP Terminale

Kant, Qu’est-ce que les Lumières ? (1784). 2) Les expressions de la sensibilité. Présentation HLP terminale par sabtaill sur Genially. Passage des arts - Romain Gary, le roman du double en streaming - Replay France 5. "Le cas Jekyll" de Christine Montalbetti. Cours sur histoire et violence : humanités littérature philo. Présentation du parcours « l’Humanité en question »

Cours sur histoire et violence : humanités littérature philo

Grandir avec la guerre – série de podcasts à écouter – France Culture. La guerre brouille les relations entre les adultes et les enfants.

Grandir avec la guerre – série de podcasts à écouter – France Culture

Les enfants deviennent responsables d’actes qu’ils n’auraient jamais commis en temps de paix, ils ne considèrent plus les adultes comme protecteurs, se mettent à douter des valeurs jusque là communément partagées. Les repères chamboulés, on ne sait plus à qui se fier, l’autorité des parents et l’innocence des enfants sont remises en question. "Incendies" de Wajdi Mouawad - Théâtre ENSAPLV (spectacle complet) Conférence magique de Wajdi Mouawad. Wajdi Mouawad : “Incendies” (2006 - Théâtre 71 - Malakoff / France Culture) Cours l’humain et ses limites : humanités littérature philo. En cours de terminale le semestre 2 de la spécialité « Humanités, littératures et philosophie » a pour thème « L’Humanité en question ».

Cours l’humain et ses limites : humanités littérature philo

Ce thème est divisé en trois sous-thèmes : 1er sous-thème : Création, continuités et ruptures,2e sous-thème : Histoire et violence (un autre article traite de ce sous-thème),3e sous-thème : L’humain et ses limites. Le sous-thème « L’humain et ses limites » pose tout d’abord la question de « l’extension des capacités humaines liée à la technique » : il s’agit de revenir sur le perfectionnement des « machines et systèmes de toutes sortes », sur le développement d’une civilisation de la technologie et de l’innovation, jusqu’à la « conquête de l’atome et de l’espace », en passant par les promesses offertes par la « génétique et l’Intelligence Artificielle ». Le programme invite à réfléchir sur deux grandes transformations : celle de l’environnement, et celle de l’humain sur lui-même (à travers les progrès de la médecine, et aujourd’hui du transhumanisme…).

La science-fiction, espace d’émancipation ? Contributeur d’un Eloge des mauvaises herbes (Les Liens qui libèrent, 2018) et du recueil Au bal des actifs : Demain le travail, une anthologie parue en 2017 à La Volte, maison d’édition indépendante qu’il a co-créée, Alain Damasio est surtout connu pour son roman fondateur, La Zone du Dehors (1999, réédité par La Volte en 2007).

La science-fiction, espace d’émancipation ?

Cette œuvre présentée comme la suite de 1984 (1949) de George Orwell est riche d'un univers propre, dépeignant une société de contrôle où les catégories sociales sont organisées en un système de notation qui transparaît jusque dans le nom des individus. Comment prendre la mesure de ce qui nous arrive ? Que nous apprend la science-fiction ? A l'occasion du numéro spécial science-fiction de notre partenaire Le Nouveau Magazine Littéraire, nous recevons aujourd'hui un journaliste radio, un critique littéraire et un auteur de science-fiction pour parler de ce genre en plein essor.

Que nous apprend la science-fiction ?

François Angelier, qui se définit comme un "agitateur de spectres sonores et montreur d'ombres radiophoniques depuis 1988", est journaliste et producteur radio. Vous le connaissez sans doute pour la sulfureuse émission "Mauvais genres" sur France Culture, qui chronique chaque samedi soir l'actualité de "tous les genres les plus douteux" entre polar, fantastique, science-fiction, western italien, romans érotiques et bandes-dessinées. Alexis Brocas est quant à lui critique littéraire au Nouveau Magazine Littéraire et au Figaro, ainsi que romancier, "se parant d’excroissances bizarres et incandescentes afin de ressembler à Smaug, le dragon du Bilbo de son enfance" (dixit sa description Babelio). Avant la science-fiction : le merveilleux-scientifique. « Produit fatal d’une époque où la science prédomine sans que s’éteigne pourtant notre éternel besoin de fantaisie, c’est bien un genre nouveau qui vient de s’épanouir ».

Avant la science-fiction : le merveilleux-scientifique

Ce sont les mots de Maurice Renard qui va être le porte étendard, et l’initiateur du Merveilleux Scientifique, un genre littéraire qui se construit à la transition entre deux mondes : celui d’un présent scientiste, à la veille de la Première Guerre mondiale, mais qui a encore un pied dans un passé fantastique, merveilleux, où l’imaginaire du conte pénètre le présent à travers la science. "Frankenstein", déjà 200 ans de science-fiction ? Ironiquement, rarement créature aura autant échappé à son créateur, tant le mythe n'a eu de cesse d'être réadapté.

"Frankenstein", déjà 200 ans de science-fiction ?

Depuis sa première publication, il y a 200 ans, Frankenstein est devenu un classique du genre. Tout part pourtant d'un simple jeu. En 1816, Mary Shelley séjourne sur la rive du Lac Léman, dans la villa Diodati, près de Genève, en compagnie de son futur mari, Percy Bysshe Shelley et du célèbre écrivain anglais Lord Byron.