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Trente Glorieuses. Période historique comprise entre 1946 et 1975 pendant laquelle la France et la plupart des économies occidentales connurent une croissance exceptionnelle et régulière et à l’issue de laquelle elles sont entrées dans l’ère de la société de consommation. 1. L'origine de l'expression « Trente Glorieuses » Titre de l’étude publiée en 1979 par l’économiste Jean Fourastié, l’expression fut choisie en référence aux « Trois Glorieuses » de la révolution de 1830 et à la « révolution invisible », sous-titre de l’ouvrage, dont la France fut le théâtre au cours de ces années. La plupart des pays occidentaux, ainsi qu’en Asie, le Japon, ont également été marqués par cette phase d’expansion connue – en Allemagne et en Italie notamment – sous le nom de « miracle économique » ou, plus généralement, d’« âge d’or » de la croissance. 1.1. En prélude à son étude, J.

Il s’agit en fait du même village, deux états en miniature de la France que trente ans de développement séparent. 2. 2.1. 2.2. 2.3. 2.4. 2.5. Bonheur : Définition philosophique. Bonheur (nom commun) État satisfaction complète, stable et durable. Qu’est ce que le bonheur ? Le bonheur est un état de satisfaction complète caractérisé par sa stabilité et sa durabilité. Il ne suffit pas de ressentir un bref contentement pour être heureux. Une joie intense n’est pas le bonheur. Un plaisir éphémère non plus. En tant qu’optimum de la vie humaine, le bonheur est universellement recherché. Être heureux est une expérience individuelle et humaine. La notion de bonheur est intimement liée au désir. La conception du bonheur de l’un ne sera pas celle de l’autre. Un contenu indéterminé Le « contenu » du bonheur est indéterminé. Lorsqu’il y a un accord sur ce qui rend heureux, il ne porte que sur des éléments vagues, des principes généraux.

On ignore souvent ce qui peut nous conduire à notre bonheur. Au-delà d’une aspiration commune à être heureux, ce qui produit le bonheur est donc indéterminé. La recherche du bonheur Dans cette perspective, sa recherche semble inévitable. Histoire du bonheur en France depuis 1945. Envoyé spécial. Bien-être au travail : "Ma fonction est d’être chef du bonheur". Il fait bon travailler dans cette start-up parisienne qui vend notamment en ligne des articles de mode et de décoration "faits main".

Pour sa cinquantaine de salariés, les réunions se font assis sur un canapé ou dans la salle de jeux… Et la journée commence par un petit-déjeuner offert par l’entreprise. C’est Sophie qui gère le café et les croissants : "L’idée est de créer un instant de convivialité entre les collègues. C’est un peu plus sympathique que d’être juste planté à côté de la machine à café où on se parle pendant trente secondes…" Sophie ne rend pas juste service à ses collègues… Elle fait son travail, qui est de créer une bonne ambiance au bureau.

Après le petit-déjeuner, sa journée se poursuit à la supérette du coin où elle fait les courses pour préparer un barbecue que l’équipe va déguster. Organiser des déjeuners ou des soirées est un travail à plein temps payé entre 2 000 et 2 500 euros par mois. Extrait de "Travail : tous bienveillants ? " Bonheur : mesdames, il y a un âge pour être heureuse... Une récente étude de Damartex, Market Audit et Seniosphère Conseil a prouvé qu’à partir d’un certain âge, les femmes atteignaient le summum de leur bonheur. Et ce n’est pas à vingt ans qu’elles sont les plus heureuses, au contraire… Il faut que jeunesse se passe... A croire une enquête menée sur des femmes en France, Belgique et au Royaume-Uni, le plus haut niveau du bonheur est atteint dès 55 ans.

Chaque sondée a attribué une note à son épanouissement sur une échelle de 0 à 10. Si la moyenne globale flirte avec les 7,8, les Anglaises sont les plus comblées avec 8,1 contre 7,5 pour les Françaises. Ces chiffres, plus qu'honorables, s'expliquent. À 55 ans et plus, la stabilité est installée : un bon travail, un entourage solide et de confiance, un équilibre dans le couple et une situation financière respectable. Le bonheur, un travail de chaque instant. Entreprises. Les outils de management censés favoriser le bonheur en entreprise expriment une nouvelle extension de la biopolitique au champ de l’entreprise, qui montre sa volonté de prendre en charge les conditions du bonheur privé.

LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Pierre-Yves Gomez (Professeur à l'EM Lyon) Contrairement à ce que pensait Saint-Just en 1794, le bonheur n’est pas une idée neuve en Europe. Pour Platon comme pour Aristote, le rôle de la politique était déjà d’assurer ou de rendre possible le bonheur des citoyens. Le lien entre l’art de gouverner et le bien-être individuel a été établi très tôt, et il est resté un souci constant de la pensée politique occidentale. Il faut le rappeler au moment où on observe une prolifération rhétorique sur le bonheur dans l’entreprise. Esprit de start-up On peut sourire de cette confusion des rôles qui prête au management une responsabilité étendue même au bonheur des gens.

Le Familistère Prise en charge des conditions du bonheur privé. Des Français à la fois heureux et inquiets dans une société en profonde mutation - Les Echos. La société de consommation mène t'elle au bonheur ? Fatal error: Uncaught Error: Call to undefined function mysql_connect() in /homepages/2/d300783928/htdocs/TLL/include/database.php:24 Stack trace: #0 /homepages/2/d300783928/htdocs/TLL/include/database.php(1296): MySQLDB->MySQLDB() #1 /homepages/2/d300783928/htdocs/TLL/wp-content/themes/Avenue/header.php(5): require('/homepages/2/d3...') #2 /homepages/2/d300783928/htdocs/TLL/wp-includes/template.php(501): require_once('/homepages/2/d3...') #3 /homepages/2/d300783928/htdocs/TLL/wp-includes/template.php(477): load_template('/homepages/2/d3... Consommer rend-il heureux ?

Dans le prolongement de l'émission Service Public (France Inter) de ce matin (podcaster), quelques éléments pour aller plus loin. "Cette question semble avant tout relever du domaine individuel, ne serait-ce que parce que chacun à sa manière à soi de définir le bonheur. Nous devrions être capables d’évaluer le plaisir ou l’utilité que nous retirons de notre consommation. Si nous nous comportons comme l’homo oeconimicus rationnel des économistes, nous devons cesser de consommer toujours plus à mesure que l’utilité que nous en tirons ne suffit plus à compenser la peine que nous nous donnons à gagner l’argent nécessaire pour acheter. Et pourtant… La question du lien entre la consommation et le « bonheur », depuis une quinzaine d’années, est l’objet de travaux scientifiques, de la part de psychologues mais aussi d’économistes, qui parviennent à des résultats étonnants… Le constat Ces constats empiriques sont, bien sûr, sujets à discussion.

Les explications L’effet d’adaptation Selon A. Dossier: quand la France était heureuse. Nostalgie. Au point culminant de son dynamisme, la France ne se doute pas qu’elle vit ses derniers mois d’insouciance. Pour ceux qui, depuis quarante ans, n’entendent parler que de crise, les années Pompidou font un peu figure de paradis perdu… Photo © DILTZ A lire aussi:> 1973: l'année des orages> Pompidou: la sérénité au pouvoir> Denis Tillinac: le temps du bonheur En ce temps-là, il y en avait pour tout le monde.

Du coup, nul ne s’inquiétait exagérément de l’avenir de ses enfants, puisqu’il était acquis qu’aujourd’hui était mieux qu’hier et moins bien que demain. C’était en 1973. Étonnante année 1973, qui commence dans l’euphorie de la croissance et s’achève dans l’angoisse de ne plus pouvoir mettre d’essence dans sa voiture, témoin soudain fragile des années d’expansion… La guerre du Kippour (du 6 au 24 octobre, entre Israël et les pays arabes) est passée par là. Laisser entrer le soleil ? Pour lire la suite... @Valeurs. Mesure du bien-être : 1978 fut l'année la plus heureuse selon une étude de chercheurs australiens. BIEN-ETRE - Entre l'arrêt de la production de la Coccinelle et la mort de Claude François, 1978 est une année pleine de nostalgie.

C'est aussi celle où le bien-être mondial a commencé à se dégrader irrémédiablement. Voilà en tout cas la conclusion de chercheurs de l'Australian National University de Canberra, comme le rapporte le Daily Mail. Selon leur étude publiée dans la revue Ecological Economics, l'Indice de progrès véritable (GPI en anglais) dans le monde n'a fait que baisser depuis 1978, alors que le Produit Intérieur Brut (GDP en anglais) continuait à augmenter: Pour en arriver à ce résultat, les chercheurs se sont basés sur des données collectées entre 1950 et 2003, dans 17 pays regroupant la moitié de la population mondiale.

Un peu comme le Bonheur national brut, l'Indice de progrès véritable (IPV) qu'ils ont retenu fait partie des indicateurs alternatifs au Produit Intérieur Brut (PIB). En contrepartie de ces richesses produites, l'IPV soustrait la valeur des richesses perdues: Le bonheur, concept en vogue observé à la loupe. Alors que Coca-Cola lance son Observatoire du bonheur, la mesure du bien-être séduit de plus en plus les sociologues mais aussi les économistes. En plein mouvement de mobilisation sur les retraites naît aujourd'hui un observatoire d'un genre particulier. Initié par Coca-Cola, l'Observatoire du bonheur se positionne comme «une plate-forme de recherche et de réflexion pour étudier les représentations du bonheur».

Présidée par Michel Blay, directeur de recherche au CNRS, elle vise «tout autant à traverser les savoirs qu'à comprendre les goûts, les émotions et les passions qui font notre époque pour nourrir une réflexion de fond sur le bonheur». Depuis deux ans, la marque a développé un baromètre, qu'elle a élargi l'an dernier niveau européen. Ses conclusions : 86 % des personnes interrogées seraient heureuses.

Principal motif de bonheur : la famille, pour 56 % des personnes interrogées. En temps de crise, le thème du bonheur est porteur. Concept subjectif. L’histoire du bonheur en France – Emission France Inter. Réussir et s’épanouir : deux représentations antagonistes du bonheur | Kairos. La valorisation sociale du bonheur, phénomène relativement récent, a encouragé la floraison de riches représentations (Pawin, 2010 et 2013). L'univers du bonheur est notamment dynamisé par des oppositions structurantes et il s'agit ici d'étudier, dans une perspective d'histoire du temps présent, deux modèles concurrents, parmi les principaux : le bonheur-réussite et le bonheur-épanouissement.

Ces deux pôles proposent deux orientations à nos actions, reposent sur des conceptions différentes de ce que peut et doit être le bonheur et s'opposent souvent violemment. C'est cette dialectique entre la réussite et l'épanouissement que nous nous proposons d'interroger : comment sont construits les deux modèles et quelles dimensions recouvrent-ils ? Dans quelle mesure structurent-ils l'univers des représentions du bonheur ? Comment s'opposent-ils ? Pour ce faire, nous utiliserons un large corpus documentaire composé de plusieurs massifs. Réussir, s'épanouir : deux modèles du bonheur. Oui, on peut mesurer le bonheur!

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La crise de 2008 a fait ressurgir, comme après presque chaque choc subi par l’économie mondiale, le débat sur la qualité de la croissance, voire sa finalité. inRead invented by Teads Comment le mesurer? Sonder "les têtes et les coeurs" L'évolution de l'indice du bonheur construit par BFM Business et la société Inbox. Tweeter. Rémy Pawin : «Le sacre du bonheur comme valeur suprême» - La Croix.

Cet historien consacre sa thèse, et un livre, à l’évolution de la notion du bonheur depuis 1945 en France. Entretien avec Rémy Pawin, historien. La Croix : On n’a jamais autant parlé de bonheur , n’est-ce pas ? Rémy Pawin : Le bonheur, surtout, n’a jamais été aussi influent. C’est ce que j’appelle le sacre du bonheur, devenu depuis quelques décennies la valeur suprême. On voit cette conversion au bonheur s’opérer à travers les publications, le cinéma, les journaux intimes, les sondages. Dans le champ économique aussi, le bonheur est légitimé : autrefois, un travailleur heureux était suspect, peut-être de paresse.

D’où les tentatives du « nouveau management » pour choyer les salariés, soigner l’ambiance de travail. Quels sont les chemins du bonheur ? Mais on s’habitue, la satisfaction se dilue avec le temps et il faut toujours un nouvel objet pour la relancer. D’autres, plus nombreux, ont choisi la voie de la « qualité de la vie ». Y a-t-il des ingrédients nécessaires au bonheur ? HISTOIRE DU BONHEUR EN FRANCE - Rémy PAWIN. «Aujourd’hui, le bonheur est à vendre» 3 Mars 1794. Lors d’un discours devant la Convention nationale, Saint-Just prononce une phrase devenue célèbre : «Le bonheur est une idée neuve en Europe». Une définition nouvelle du bonheur est en passe de voir le jour. Michel Faucheux, maître de conférences à l’Institut national des sciences appliquées de Lyon et auteur d’Histoire du bonheur (Oxus, 2007), revient sur les différentes représentations du bonheur qui ont traversé les siècles, du mythe paradisiaque à la possession matérielle de la société contemporaine.

Qu’est-ce que le bonheur au XXIe siècle ? Le bonheur, tel qu’on nous le renvoie depuis les Trente Glorieuses et l’avènement de la société de consommation, est celui de la possession et de la marchandisation. Aujourd’hui, le bonheur est à vendre. Notre civilisation vit une crise majeure : économique, financière, écologique... Le paradis est-il la forme première du bonheur ? Oui, en ce sens que le bonheur est longtemps apparu comme la nostalgie d’une plénitude perdue. Bonheur d'autrefois, bonheur d'aujourd'hui ? - lancien - sortir de la tristesse - Cowblog. Mes articles sur la comparaison entre la vie des jeunes aujourd'hui et il y a 60 ans, me valent toujours beaucoup de mails; je ne peux pas répondre à tous individuellement alors je vais essayer de répondre à certaines de vos questions dans cet article.

Les remarques qui reviennent toujours : “ Comment pouviez vous vivre sans antibiotiques, sans téléphone pour appeler les parents, sans hôpitaux modernes et sans tous les équipements de sécurité et les mesures de prévention ? ”, et “comment faisiez vous pour ne pas vous ennuyer et supporter les rigueur de la vie, sans tous les agréments du monde moderne, notamment multimédia ?

“.Et également cette question : “mais comment pouviez vous être heureux à cette époque ? " C'est vrai que nos vies étaient plus en danger qu'aujourd'hui, mais le risque était il si grand ? D'abord il y a eu la guerre et elle n'épargnait pas forcément les enfants, notamment les enfants juifs. Je pense que chaque époque a ses avantages et ses inconvénients. Luc Ferry: Consommer rend-il heureux ?