La Laïcité en 3 minutes. "Philippe Meirieu, comment former à la citoyenneté ?" Présent aux Boussoles du numérique, Philippe Mérieu, Professeur Emérite de l'Université de Lyon 2 auteur notamment pour les eux derniers ouvrages de Comment aider nos enfants à réussir, à l'école, dans leur vie, pour le monde, Paris, Bayard, 2015 et C'est quoi APPRENDRE ?
, Editions de l'Aube, 2015, répond à cette question en marge de son intervention : Philippe Meirieu : La laïcité et le mythe de « l’instruction pure » Dans un article intitulé « Laisser la croyance hors des établissements scolaires », paru dans Le Monde du 31 janvier 2015 (1), Danièle Sallenave revient sur la question de la laïcité et, reprenant à son compte une affirmation du président de la République, affirme que « les religions n’ont pas leur place à l’école ».
Elle voit dans ce principe la « définition claire et sans équivoque de ce qu’est l’école "laïque", et qui lui permet d’être l’école de tous : une école qui tient les religions à distance ». Évidemment, Danièle Sallenave n’est pas hostile à « l’enseignement du fait religieux », mais, bien sûr, à condition qu’il soit enseigné comme « savoir » et non comme « croyance » : elle souhaite donc qu’on en donne la charge aux professeurs de français ou d’histoire.
. « Décréter l’élève ? Laissez parler les écoliers ! Avec les attentats terroristes de janvier 2015 et le refus de la minute de silence constaté dans certains établissements, l’école a rapidement été au cœur des interrogations.
Guillaume Bourgin (@CGBourgin) Un hussard bleu, blanc et rouge. – Les Outils Tice. On a beaucoup parlé ces derniers jours des menaces directes contre le monde de l’enseignement de la part des propagandistes de Daesh.
Il y a de quoi. J’ai reçu ce texte de Guillaume, Prof d’école dans les Alpes Maritimes. « Un texte contre la haine et contre les imbéciles… » Je l’ai lu plusieurs fois. Il est juste formidable. Avec l’accord de Guillaume, j’ai décidé de le publier en intégralité sur le site. Il parait que Daesh me menace directement. Il paraît que je suis une cible. On te manipule.
Une Théorie du complot, c'est quoi ? Une théorie du complot (on parle aussi de conspirationnisme ou de complotisme) est un récit pseudo-scientifique, interprétant des faits réels comme étant le résultat de l’action d’un groupe caché, qui agirait secrètement et illégalement pour modifier le cours des événements en sa faveur, et au détriment de l’intérêt public. Incapable de faire la démonstration rigoureuse de ce qu’elle avance, la théorie du complot accuse ceux qui la remettent en cause d’être les complices de ce groupe caché.
Elle contribue à semer la confusion, la désinformation, et la haine contre les individus ou groupes d’individus qu’elle stigmatise. Des élèves se rebellent contre le port obligatoire du soutien-gorge. A Mantes-la-Jolie, des milliers de « musulmans ordinaires » défilent « contre la barbarie » V. Soulé : Enseigner les valeurs républicaines en prison. On a beaucoup parlé de la prison comme lieu d’endoctrinement des jeunes djihadistes.
On n’a en revanche rien entendu sur la prison comme lieu d’éducation. Même Najat Vallaud-Belkacem, toujours prompte à vanter les actions de son ministère, n’en a pas soufflé mot. Rendons ici hommage à ces enseignants qui travaillent en détention, héros ignorés de la bataille pour les valeurs républicaines. Nathalie de Spirt est professeure d’histoire-géo ainsi que d’éducation civique au centre scolaire – appelé Unité pédagogique régionale (UPR) - de la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis, dans l’Essonne, le plus grand centre pénitentiaire de France. Elle enseigne dix-huit heures par semaine, essentiellement dans des cursus professionnels – CAP (certificat d’aptitude professionnelle) et bac pro - et technologique, plus rarement dans la filière générale. Cyber security lessons offered to schools in England.
Image copyright Thinkstock Schoolchildren in England will be offered lessons in cyber security in a bid to find the experts of the future to defend the UK from attacks.
It is hoped 5,700 pupils aged 14 and over will spend up to four hours a week on the subject in a five-year pilot. Classroom and online teaching, "real-world challenges" and work experience will be made available from September. The meritocracy is a smokescreen for inherited privilege. 'Birth control is a political act': the pre-Trump contraception rush starts now.
On Wednesday morning, gynecologist Deborah Ottenheimer went to work determined not to talk about the election.
“I never do that,” she says. “You just never know where people are at.” But as her doors opened, she quickly realised she wouldn’t have a choice. “Every single patient that walked in burst into tears,” she says. “Women and girls were sobbing. Ottenheimer’s New York City clinic treated nearly 40 patients the day after Donald Trump was elected, and the only thing more unusual than their tears was that so many of them had the same question: “Should I get an IUD?” This tiny T-shaped plastic-and-copper coil, designed to stop an egg and sperm from surviving in the womb, has become an unlikely weapon on the frontline of women’s rights. In fear of what a Trump presidency might mean for reproductive rights, thousands of women on social media have urged each other to seek out access to IUDs, a form of birth control that can last anywhere from three to 12 years.