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Industries culturelles

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L'édition : secteur culturel menacé. Musique électronique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Amalgames et emplois abusifs[modifier | modifier le code] De plus, depuis quelques années, le terme "Electro" est souvent utilisé de façon abusive pour désigner la musique électronique ; l'Electro étant un genre de musique électronique, et non la "Musique électronique". Journalistes spécialisés et amateurs de musique électronique sont généralement prudents sur l'utilisation du terme "Electro", souhaitant ainsi éviter l'amalgame avec les autres genres de musique électronique. Possédant une diversité sonore sans égal, la multiplication des genres et sous-genres dans la musique électronique était inévitable.

Ainsi, tenant compte de son énorme diversification et de la popularité grandissante de ces sonorités, les médias généralistes (en grande partie) ont usé et abusé des étiquettes englobant des genres et styles souvent très éloignés les uns des autres. Historique[modifier | modifier le code] Origines[modifier | modifier le code] Ma musique dans les nuages. Avec les services de stockage en ligne, il est désormais possible d'écouter ses morceaux n'importe où, y compris ceux qui ne figurent pas dans les catalogues des maisons de disques. Accéder à sa musique n'importe où, c'est possible avec n'importe quel baladeur audio.

Accéder à sa musique n'importe où, sans l'emporter avec soi, c'est aussi ce que proposent les services de streaming comme Spotify, Deezer, Qobuz et d'autres. À partir d'un ordinateur, d'un smartphone ou d'une tablette, on peut ainsi écouter une quantité de morceaux en toute liberté… Mais uniquement ceux du catalogue du service en question. Or, même parmi des dizaines de millions de titres, il n'est pas certain qu'on puisse retrouver des morceaux originaux ou méconnus, sans parler des enregistrements inédits que collectionnent les mélomanes. D'où l'intérêt des offres de stockage de musique en ligne qui permettent de transférer ses propres disques sur des serveurs Internet pour pouvoir en profiter en toutes circonstances. Quoi de neuf pour le Disquaire Day ? Interview du fondateur David Godevais. David Godevais, fondateur du Calif et du Disquaire Day.© Droits réservés Quoi de neuf cette année pour le Disquaire Day ?

Qu'est ce qui a changé depuis la première édition en 2011 ? David Godevais : D'abord, il y a beaucoup plus de disquaires participants : 238 cette année contre 96 la première année, soit plus du double. Ensuite il y a aussi beaucoup plus de disques vinyles proposés, 50% de références en plus que l'an dernier. Ce qui est bien c'est que tout le monde a envie de participer : les artistes, les labels, le public. Et puis il y a beaucoup plus de concerts et de showcases qu'au début, et ils se prolongent plus tard avec les Disquaires Day Night. Le Disquaire Day 2013 à Toulouse - Reportage : L. Quelles sont les différences entre le Record Store Day anglo-saxon et le Disquaire Day ? Le Record Store Day est né en 2007 aux USA et ça a vraiment commencé à prendre en 2009, ainsi qu'en Grande-Bretagne où ça marche très fort.

Combien ya-t-il de disquaire indépendants en France ? Google gagnera-t-il la bataille de la bibliothèque numérique ? Musiques dans les nuages - Arts & Spectacles. Pochette de l'album Tap Water © Pierre The Motionless * Philippe Le Guern, Professeur en science de l'Information-communication à l'Université de Nantes, spécialiste notamment de l'évolution des artistes et de la création musicale en régime numérique. * Pierre Debrouwer dit Pierre the Motionless,musicien, fondateur du collectif hip-hop The Motionless, qui a collaboré et composé un album le rappeur américain Swordplay: Tap Water, sorti en 2013 Swordplay et Pierre The Motionless seront en concert le: - 7 mars à l'International, Paris (11) - 8 mars au Périscope à Lyon - 15 mars à Amiens (80) ...

Comment le numérique écrit-il notre avenir ? Playlist de l'émission: * Weird fishes, de Radiohead, sur l'album "In Rainbows" * No sleep, de Swordplay et Pierre The Motionless * No TS Eliott, de Swordplay et Pierre The Motionless * Hey Jane, de Spiritualized, album "Sweet heart Sweet Light" * Hear me out, d'Irma * Metatron, de Dark Side * Loosers can win, de Starwalker * La vie de bohême, de L'Homme parle.

France Culture - (ré)écouter - Vendredi 28 Mars 13:45:44. Internet renforce la domination des stars de la musique. Une étude parue la semaine dernière pointe les inégalités effarantes de l’industrie musicale, où une petite minorité d’artistes gagne la majorité des revenus du disque. Et contrairement à ce qu’on pourrait croire, Internet ne fait que renforcer cette tendance. A l’heure où l’industrie musicale vit de plus en plus sur la Toile, la chance de se faire entendre est donnée aux artistes émergents. Mais les indé tirent-ils vraiment leur épingle du jeu ? Non, bien au contraire. C’est ce qu’affirme une étude menée par le cabinet Midia Consulting, publiée mardi 4 mars et relayée par Pigeons and Planes. On y apprend que plus des trois quarts des revenus de la musique atterrissent dans la poche d’une poignée d’artistes dominants.

Les bénéfices liés à la production musicale sont passés de 3,8 milliards de dollars (plus de 2,7 milliards d’euros) en 2000 à 2,8 milliards de dollars (plus de 2 milliards d’euros) en 2013. Et pour cause : Ce déséquilibre s’illustre par le graphique ci-dessous : Bienvenue sur le Wiki de MuzeoNum [MuzeoNum] Les musées. Au sommaire de cette émission : Omer Pesquer & Pierre Giner S’intéresser au rapport entre musées et numérique, c’est rapprocher ce que tout éloigne apparemment : d’un côté de l’historique, du temps long, du matériel, de l’architectural ; de l’autre côté de la circulation de fichiers, de l’instable, du toujours en mouvement et de la continuelle prospective.

Et pourtant, il semble qu’il y ait une fertilité à cette rencontre et une fertilité à maints égards. Mais il y a aussi des effets de concurrence. Car si le but des musées d’art est de mettre à disposition du public des œuvres, ils doivent faire avec un nouveau concurrent, Internet, - Google, Wikipédia par exemple – qui se sont donné cette mission aussi, avec des armes dont tous les musées et lieux d’art ne disposent pas. Concurrence ou émulation, car tout cela est pensé, et depuis longtemps. Omer Pesquer Muséogeek, intervient dans le secteur culturel, et pour des institutions muséales notamment. Pierre Giner. Web ou papier, deux conceptions opposées du journalisme ? Le succès des éditions Harlequin. Les écrivains français en voie de paupérisation? - Arts & Spectacles.