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ANPAA Languedoc Roussillon. Cigarette électronique : Un addictologue explique pourquoi il la défend. Info. Ils lancent « un appel en faveur de la réduction des risques tabagiques, par la prise en compte sincère du potentiel de la cigarette électronique ». Vous aidez les fumeurs à « décrocher ». Pour y parvenir, l’e-cigarette est-elle un moyen efficace ? Je constate que c’est un bon moyen pour diminuer ou arrêter sa consommation de tabac. La cigarette électronique est incomparablement moins toxique que le tabac, il n’y a pas photo! Et elle s’intègre bien à la nouvelle politique de réduction des risques que je soutiens: il ne s’agit plus de prôner à toute force l’abstinence, mais de chercher à améliorer la santé des patients. L’objectif est de parvenir à une vie meilleure; si cela passe par l’arrêt du produit, très bien, mais le patient doit avoir son mot à dire. L’usager de l’e-cigarette est acteur du processus. Vous prescrivez la cigarette électronique ? Non, car elle n’est pas un médicament.

L’essentiel est de trouver avec le fumeur le traitement substitutif qui lui convient le mieux. Il faudrait ne pas boire une goutte d'alcool avant 15 ans. C'est l'un des casse-têtes auxquels les parents d'adolescents sont très souvent confrontés : la consommation d'alcool chez les jeunes. La Fédération Addiction, et son association Oppelia, s'apprêtent à publier une brochure qui fixe des règles en fonction de l'âge, pour mieux aider les parents face aux comportements à risques.

Jusqu'à 15 ans : pas d'initiation à l'alcool. Pas même une goutte d'alcool, c'est ce que préconise la brochure. Pas même de trempage de lèvres dans le champagne lors d'un repas de famille, par exemple. Entre 16 et 17 ans : l'alcool accompagné. Après 18 ans : l'autonomie. Alcool et cannabis, pourquoi les ados sont vulnérables - Psycho. De quoi on parle Depuis dix ans, le programme Départ du Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV) dépiste, évalue et accompagne les adolescents en proie à une consommation problématique d’alcool, de cannabis ou d’autres substances psychotropes.

L’unité compte désormais quatre secteurs répartis dans tout le canton. Elle est également un pôle de formation et de relais pour tous les professionnels qui s’occupent d’adolescents entre 12 et 20 ans. Depuis une dizaine d’années, la consommation d’alcool, de cannabis et autres substances problématiques stagne voire diminue chez les adolescents. Néanmoins, ils sont encore un sur deux à avoir au moins une fois consommé un produit illicite et tous ont consommé de l’alcool. L’adolescence est une période de grande vulnérabilité. La puberté se caractérise par d’importantes transformations biologiques (apparition des caractères sexuels secondaires – poils, seins, etc. –, croissance, changements cérébraux), psychologiques et sociales. L’école, terrain de jeu des vendeurs de drogue.

Un marché de la drogue dans les écoles secondaires. Des étudiantes droguées à leur insu dans les partys d’université. La consommation d’alcool et de drogues par les jeunes est à la baisse depuis une quinzaine d’années, mais l’usage des drogues devient normal : « C’est trop facile à trouver ! » Incursion dans un monde souterrain. Un véritable trafic de drogue prend place dans les écoles, par et pour les élèves du secondaire. Une nouvelle étude du Département de criminologie de l’Université de Montréal lève le voile sur le monde secret du trafic de drogue dans les écoles secondaires du Québec. Les jeunes trafiquants ont développé toutes sortes de trucs pour déjouer la surveillance dans les écoles : ils cachent la marchandise dans leurs sous-vêtements, derrière des briques qui se détachent, dans les salles de bain, dans les poubelles ou dans des buissons.

Il s’agit d’une des premières études québécoises sur les dessous du commerce de drogue dans les écoles. Argent et prestige. Alcoolisme : une étude pour évaluer les effets indésirables du Baclofène. ALCOOLISME. Le lancement d'une étude sur le Baclofène, médicament prescrit dans la maladie alcoolique, grâce à la participation de près de 800 patients volontaires, devrait permettre de mieux connaître les effets indésirables spécifiques à ce traitement, selon le responsable de l'étude. 25 centres hospitaliers de la région Nord-Pas-de-Calais-Picardie participeront à cette étude, sans précédent dans le domaine de l'addiction, coordonnée par le CHU de Lille, sous la houlette du Dr Benjamin Rolland, psychiatre et addictologue.

Baptisée "Baclophone", l'étude durera trois ans. Les volontaires seront inclus dans l'étude par le biais des centres ou d'un réseau de plus d'une centaine de médecins prescripteurs de baclofène. En pratique, les patients recevront des appels téléphoniques mensuels. Faire le tri dans les effets indésirables L'étude vise aussi à décrire la nature et la fréquence des différents effets indésirables, les doses du médicament employées. Baclofène ou comment vaincre l’alcoolisme.