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Supports de formation sur l'identité numérique, les réseaux sociaux et réseaux recherche. Interroger le travail scientifique en ligne : ou le développement d’u… Is blogging and tweeting about research papers worth it? The Verdict. Guess when I tweeted my papers?

Is blogging and tweeting about research papers worth it? The Verdict

Top ten downloaded papers from my department in the last year, 7 of which include me in the author list. In October 2011 I began a project to make all of my 26 articles published in refereed journals available via UCL's Open Access Repository - "Discovery". I decided that as well as putting them in the institutional repository, I would write a blog post about each research project, and tweet the papers for download.

Would this affect how much my research was read, known, discussed, distributed? I wrote about the stories behind the research papers - the stuff that doesn't make it into the official writeup. So what are my conclusions about this whole experiment? Some rough stats, first of all. ColloquePole_Cadrage. Pour une utilisation critique des réseaux sociaux académiques. 14 février 2014 L’information n’a pas encore reçu beaucoup d’échos en France : et pourtant cela fait plusieurs mois maintenant qu’Elsevier demande régulièrement le retrait d’articles déposés par leurs auteurs sur le réseau social Academia.

Pour une utilisation critique des réseaux sociaux académiques

Si on le regarde sous l’angle de l’open access, cet exemple souligne incontestablement l’« injustice fondamentale de l’actuel écosystème de la communication académique » (John Dupuis). Mais il met également en lumière l’arrivée à maturité des réseaux sociaux académiques : à l’heure où Elsevier peine à se créer une place sur les outils 2.0 (échec de 2collab en 2011, rachat de Mendeley en 2013), il n’est pas étonnant que celui-ci attaque les nouveaux challengers qui se développent auprès des communautés académiques, après avoir laissé faire.

HAL et Academia. Accueil. Faire l’expérience des conférences augmentées : un jeu de rôle lors d’un live-tweet ? Les 26, 27 et 28 octobre auront lieu les rencontres CNRS Jeunes « Sciences et Citoyens » réunissant 450 jeunes européens de 18 à 25 ans, à Poitiers.

Faire l’expérience des conférences augmentées : un jeu de rôle lors d’un live-tweet ?

J’ai été invitée pour expérimenter le samedi un live-tweet (ou LT – voir plus bas si ce terme vous intrigue) avec les participants, et notamment les chercheurs, présents lors de ces rencontres. Nous « live-tweeterons » en particulier l’atelier de Béatrice Korc, intitulé « l’homme augmenté : demain les post-humains ? ». Le dimanche matin, à la fin des rencontres, j’interviendrai afin de revenir sur l’expérience et pour discuter avec les jeunes des potentialités et des questions que soulèvent la pratique du live-tweet lors de conférences comme celles auxquelles ils ont assisté. Et si vous êtes intéressés par l’expérience du “live-tweet – jeu de rôle”, n’hésitez pas à le dire en commentaire ou en me contactant sur Twitter (@Infusoir)

Pourquoi je suis "ami" avec mes étudiants. Qu’est-ce que chercher ? (4) Les sociabilités savantes. 3 Les sociabilités savantes Je voudrais pour conclure insister sur un troisième aspect de ma conception de la recherche à l’heure des humanités numériques : le travail collectif, la communication, le partage, le don.

Qu’est-ce que chercher ? (4) Les sociabilités savantes

Le premier enjeu est sans doute la redéfinition des frontières entre travail individuel et travail collectif. Certes, les sciences humaines et sociales ne sont pas dans la position des sciences biomédicales ou de la physique des particules, où l’acteur de la recherche est nécessairement un collectif, une équipe ou un assemblage d’équipes. Les chercheurs individuels sont devenus les contributeurs de projets collectifs, où l’apport de chacun doit être redéfini, dans sa spécificité, mais aussi dans son intégration à un programme plus vaste. Le passage de la catégorie d’auteur à celle de contributeur, tel qu’il a été analysé par le sociologue David Pontille, marque une nouvelle écologie du travail scientifique. Deux points me semblent fondamentaux : Les réseaux sociaux scientifiques, la visibilité et l’open access. J’ai participé, le 19 novembre, à la journée d’étude des correspondants IST (CorIST) de l’InSHS.

Les réseaux sociaux scientifiques, la visibilité et l’open access

Je n’ai pu assister qu’à une partie de la journée mais ce que j’ai pu voir, notamment la table-ronde sur Wikipédia comme outil de la valorisation de la recherche, était intéressant et fera j’espère l’objet d’un compte rendu. On trouvera un cadrage des thèmes traités ici, ainsi qu’un compte-rendu de chaque intervention ici. J’intervenais pour ma part dans une table ronde sur les réseaux sociaux scientifiques et leurs usages par les chercheurs. Au-delà du constat d’un usage intensif de ces outils il est vrai très divers, deux enjeux transversaux apparaissent. THATCamp Paris 2012 - Les réseaux sociaux numériques de chercheurs en SHS. 1Les deux animateurs indiquent qu’un projet de réseau social scientifique pour les SHS est en cours d’élaboration au sein de l’Institut des humanités numériques de Bordeaux, dans un état déjà avancé (préparation d’un budget, d’un plan de développement, d’un modèle économique), cependant qu’à la Fondation Maison des sciences de l’homme, au cœur d’un réseau national et international de chercheurs en SHS, la réflexion est bien engagée sur la création d’un réseau équivalent, avec une dimension francophone dans un premier temps, mais qui devra s’ouvrir ensuite.

THATCamp Paris 2012 - Les réseaux sociaux numériques de chercheurs en SHS

Réseaux sociaux pour les chercheurs - A lire ou à relire. Les réseaux sociaux pour chercheurs: une illusion? Un récent débat autour du libre accès aux données et publications scientifiques et d’un réseau social pour chercheurs [] m’a poussé à me poser une question que j’ai déjà effleurée ici ou là.

Les réseaux sociaux pour chercheurs: une illusion?

Des réseaux sociaux spécifiques aux chercheurs ont-ils une quelconque utilité pour les chercheurs? Qu’apportent-ils de plus que les outils sociaux génériques comme twitter, facebook ou des logiciels avec couche social comme Google Drive, par exemple? Contexte du débat En faisant une simple recherche sur un moteur de recherche, en anglais comme en français, on trouve assez facilement des références sur le sujet. À THATCamp Paris 2012, une session avait été organisée sur le sujet. Quel réseau social pour les chercheurs en histoire ? Par Frédéric Clavert [Ceci est un "guest post" de Frédéric Clavert.

Quel réseau social pour les chercheurs en histoire ?

Historien, il a soutenu sa thèse sur Hjalmar Schacht, financier et diplomate 1930-1950 en 2006 et l’a publiée chez PIE-PeterLang (Bruxelles) en 2009. Après avoir été ATER à l’Université de Strasbourg, il est devenu chercheur, au CVCE (Luxembourg) où il est « responsable scientifique Digital Humanities ». Il est l’un des contributeurs du blog zotero francophone. Social network sites: my definition. I would like to offer my working definition of “social network sites” per confusion over my request for a timeline.

social network sites: my definition

A “social network site” is a category of websites with profiles, semi-persistent public commentary on the profile, and a traversable publicly articulated social network displayed in relation to the profile. To clarify: Profile. A profile includes an identifiable handle (either the person’s name or nick), information about that person (e.g. age, sex, location, interests, etc.).

Most profiles also include a photograph and information about last login. This definition includes all of the obvious sites that i talk about as social network sites: MySpace, Facebook, Friendster, Cyworld, Mixi, Orkut, etc. There are sites that primarily fit into other categories but contain all of the features of social network sites. Of course, things are getting trickier every day. At the same time, it’s critical to point out what social network sites are most definitely NOT. Les réseaux généralistes au service des chercheurs - Les réseaux sociaux pour chercheurs. LinkedIn , comme Viadeo, est un réseau social plutôt orienté vers la recherche d'opportunités de carrière.

Les réseaux généralistes au service des chercheurs - Les réseaux sociaux pour chercheurs

On peut notamment y télécharger son CV, chercher des CV de collègues, de candidats, les sauvegarder, les recommander, etc. La navigation permet aussi de retrouver d'anciens collègues ayant travaillé dans la même entreprise /université avec lesquels on pourra se reconnecter pour obtenir des informations sur des postes, des établissements... Des comptes payants permettent de limiter les informations que l'on souhaite faire connaître à des personnes ayant un abonnement (en général des services de ressources humaines). LinkedIn a racheté en mai 2012 la plateforme de partages de diaporamas en ligne Slideshare. Les réseaux sociaux pour chercheurs. En 2010, des chercheurs ont prétendu que des bactéries (originaires d'un lac ou le taux d'Arsenic était supérieur à la normale) pouvaient incorporer de l'Arsenic dans leur ADN à la place du phosphore que l'on pensait nécessaire à la constitution de n'importe quel ADN.

Ces résultats ont connu un grand écho dans le monde scientifique et au-delà : pour la première fois, l'arsenic mieux connu du grand public comme un poison très efficace était considéré comme un des composants de la vie. L'arsenic étant présent dans l'espace, la possibilité d'une vie extra-terrestre était démontrée. Science a édité le résultat de ces recherches. ResearchGate.

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