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Aide aux migrants en France

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Sées - La bienveillance contre l'exigence ? Sées - Aider un migrant, est-ce un crime ? Les aides dont bénéficient les migrants en France. LE SCAN ÉCO/VIDÉO - Face à la crise migratoire que traverse l'Europe, Manuel Valls vient d'annoncer le déblocage de 613 millions d'euros pour 2016 et 2017, pour financer l'accueil des réfugiés et des demandeurs d'asile en France.

Passage en revue des droits dont bénéficient les migrants en France. Quand il s'agit de se partager un problème, l'Union européenne ne sait toujours pas faire. Les susceptibilités nationales des États membres bloquent toute perspective rapide d'une stratégie d'envergure pour faire face à la crise des migrants.

Asile : combien coûte réellement l'accueil des réfugiés ? Pour la majorité, l'accueil des migrants ne coûtera que quelques dizaines de millions d'euros.

Asile : combien coûte réellement l'accueil des réfugiés ?

Pour l'opposition, au bas mot un demi milliard d'euros. Où se trouve la vérité? Un coût dérisoire... La France, cinquième destination des migrants. La dure réalité qui se cache derrière l'idéologie du "vivre-ensemble" L’immigration en elle-même n’est pas « mauvaise ».

La dure réalité qui se cache derrière l'idéologie du "vivre-ensemble"

Elle peut même être objectivement bénéfique, quand elle cible le mérite et la qualité, plutôt que l’indigence et la quantité. La quantité, qui est le choix de la France, présente à court terme, et pour certains, de sérieux avantages. Si l'on augmente la quantité de main-d'œuvre, son prix baisse, et ses bénéfices bruts augmentent. Il est facile d'en déduire que les gagnants sont à la fois les immigrés et les employeurs. - Aide à l'entrée et au séjour de migrants : le délit de solidarité contesté - Dossier d'actualité. Solidarité © jean-Paul Bounine, fotolia.com Dans sa décision du 6 juillet 2018, le Conseil constitutionnel s’est prononcé sur le délit de solidarité qu’il oppose au principe de fraternité.

- Aide à l'entrée et au séjour de migrants : le délit de solidarité contesté - Dossier d'actualité

Le délit de solidarité suscite de nombreux débats en France depuis 2009. Le délit de solidarité est le risque, pour les militants des associations d’aide aux immigrés ou pour les particuliers, de se voir mis en examen et condamné pour aide au séjour irrégulier, au même titre que les organisateurs de filières d’immigration clandestine. Tout l’enjeu du débat autour de cette notion est de savoir si ce délit peut viser des militants associatifs dans le cadre de l’aide humanitaire qu’ils apportent de façon désintéressée aux étrangers en situation irrégulière. Le délit de solidarité en droit. (1) «Délit de solidarité» : la fraternité érigée en principe constitutionnel. Elle figure sur le fronton de toutes les mairies, mais elle était jusqu’ici la parente pauvre de la devise républicaine : la fraternité vient d’être érigée au rang de principe constitutionnel.

(1) «Délit de solidarité» : la fraternité érigée en principe constitutionnel

Au même titre que l’égalité et la liberté. Le Conseil constitutionnel, dans sa décision 2018-717/718, rendue ce vendredi 6 juillet, a estimé que l’aide au séjour et à la circulation d’une personne en situation irrégulière, lorsqu’elle était faite pour des raisons humanitaires et désintéressées, ne pouvait être considérée comme délictuelle. Que mettre en actes le principe de fraternité ne faisait pas des citoyens des délinquants ou des passeurs – quoi qu’on en dise au sommet de l’Etat.

A lire aussi le délit de solidarité, infraction à frontière floue.