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SCIENCES

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Actualité des sciences et de l'environnement avec Maxisciences. L'âge du père influe sur certains gènes de l'autisme. Les causes de l'autisme sont-elles génétiques, ou bien sont-elles liées au comportement de l'enfant, à son environnement familial, à son éducation dès la petite enfance ?

L'âge du père influe sur certains gènes de l'autisme

Depuis quelques mois la bataille fait rage entre les partisans de chaque camp. Trois équipes de recherche américaines ont publié le mercredi 4 avril dans la revue scientifique Nature leurs derniers travaux, qui renforcent la thèse des causes génétiques, rapporte The New York Times. Pour identifier les causes génétiques de l’autisme, les chercheurs ont séquencé la partie "utile" du génome (celle qui permet la fabrication de protéines) de patients autistes et de leurs parents. Ils ont cherché de petites mutations impliquant une seule base du gène (une seule « lettre » dans l’écriture du gène). 03/19 > BE Espagne 113 > Découverte d'un mécanisme moléculaire permettant d'améliorer la mémoire.

SantéDécouverte d'un mécanisme moléculaire permettant d'améliorer la mémoire La synapse désigne une zone de contact fonctionnelle qui s'établit entre deux neurones, ou entre un neurone et une autre cellule (cellules musculaires, récepteurs sensoriels...).

03/19 > BE Espagne 113 > Découverte d'un mécanisme moléculaire permettant d'améliorer la mémoire

La synapse chimique, très majoritaire, utilise des neurotransmetteurs pour transmettre l'information tandis qu'au niveau des synapses électriques, le signal est transmis électriquement par l'intermédiaire d'une jonction communicante. Les connexions synaptiques entre neurones ne sont pas figées mais répondent à l'activité neuronale qui modifie leur intensité. En effet, la connexion entre deux neurones dépend de l'activité précédente des neurones et de leur "utilisation". Des stimulations extérieures peuvent ainsi provoquer que l'activité de certaines synapses augmente tandis que d'autre diminue. Plus on est riche, moins on a de morale, c'est prouvé.

Des chercheurs américains et canadiens documentent l'existence d'une relation inverse entre élévation dans la hiérarchie sociale et éthique du comportement individuel.

Plus on est riche, moins on a de morale, c'est prouvé

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Stéphane Foucart Dans un climat politique où il est tant question d'opposition entre les "élites" et le "peuple", voici une étude qui devrait faire couler beaucoup d'encre. Et pour cause : des chercheurs américains et canadiens documentent, dans l'édition du lundi 27 février de la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), l'existence d'une relation inverse entre élévation dans la hiérarchie sociale et éthique du comportement individuel. C'est-à-dire, exprimé de manière un peu plus directe, que plus vous êtes riche, plus vous êtes susceptible de vous comporter de manière moralement lamentable. L'équipe américano-canadienne menée par Paul Piff (université de Californie à Berkeley) a quelques arguments.

Institut National Etudes Démographiques - Recherches sur la population et en démographie. Après 2050 l’espèce humaine s’éteindra. Constat guère réjouissant, mais espoir tout de même, mardi au Tribunal pour les générations futures.

Après 2050 l’espèce humaine s’éteindra

Procureur, accusés s’affrontaient lors d’une conférence spectacle en forme de procès. Au cœur du débat : la surpopulation. Sommes nous trop nombreux pour les ressources de la planète. Mais surtout allons nous demeurer aussi nombreux. Pas si sûr, selon des démographes. Hier, l’INSEE communiquait ses derniers relevés de la population française, mettant en évidence une croissance de dix millions d’âmes en trente ans. Comme dans tout bon procès, la parole est à l’expert, place à l’objectivité. Pour parler du futur, nous devons remonter le passé, 2000 ans en arrière. À titre d’exemple, entre 1800 et 2000, la population Européenne a été multipliée par quatre. Autrefois, les familles faisaient six enfants en moyenne, mais la moitié mourrait en bas âge, la population n’augmentait donc pas. Un nouvel équilibre est alors apparu, en Europe, en Amérique et en Asie. Comment éviter le cataclysme ? Provost - MIT - Report on the Initiative for Faculty Race and Diversity. January 14, 2010.

Provost - MIT - Report on the Initiative for Faculty Race and Diversity

The Human Spark . Video: Full Episode - Program Three: Brain Matters. ANRS - Agence Nationale de Recherche sur le Sida et les hépatites virales. Le site à fréquenter avant de baiser ! Sciences du vivant. DocSciences - Rencontre entre le monde de la recherche et l’Éducation nationale.

Ethology

PLoS ONE : accelerating the publication of peer-reviewed science. Why Do Woodpeckers Resist Head Impact Injury: A Biomechanical Investigation. Head injury is a leading cause of morbidity and death in both industrialized and developing countries.

Why Do Woodpeckers Resist Head Impact Injury: A Biomechanical Investigation

It is estimated that brain injuries account for 15% of the burden of fatalities and disabilities, and represent the leading cause of death in young adults. Brain injury may be caused by an impact or a sudden change in the linear and/or angular velocity of the head. However, the woodpecker does not experience any head injury at the high speed of 6–7 m/s with a deceleration of 1000 g when it drums a tree trunk. It is still not known how woodpeckers protect their brain from impact injury. In order to investigate this, two synchronous high-speed video systems were used to observe the pecking process, and the force sensor was used to measure the peck force. Figures Citation: Wang L, Cheung JT-M, Pu F, Li D, Zhang M, et al. (2011) Why Do Woodpeckers Resist Head Impact Injury: A Biomechanical Investigation.