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Coût du nucléaire

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Axpo veut investir 700 millions dans Beznau - Suisse. 27.06.2012, 16:03 - Suisse Actualisé le 27.06.12, 16:09 Nucléaire Le réacteur de Beznau est entré en service en 1969. Crédit: Keystone Le groupe électrique Axpo entend remettre à jour la sécurité la plus vieille centrale nucléaire en fonction au monde. Axpo veut investir 700 millions de francs d'ici 2014 dans la sécurité de la centrale nucléaire de Beznau à Döttingen (AG). Grâce aux travaux, les deux réacteurs devraient pouvoir rester en fonction "plus de 50 ans", estime le groupe électrique. La sécurité passe avant la rentabilité, a déclaré mercredi le directeur d'Axpo Manferd Thumann au cours d'une rencontre avec les médias. Le réacteur I est en service depuis 1969, ce qui fait de Beznau la plus ancienne centrale commerciale encore en fonction au monde. La nouvelle alimentation d'urgence autarcique et résistante aux séismes coûtera 500 millions de francs. 100 millions serviront au remplacement des deux couvercle à pressions des réacteurs, prévu en 2014.

Par ATS. Yves Lenoir : “Le coût du nucléaire est bien supérieur à celui qu’on annonce” Etude: Energie: c'est la guerre des chiffres! - Suisse. Etude EconomieSuisse conteste les plans de Doris Leuthard pour sortir du nucléaire. Christophe Darbellay contre-attaque. Image: Keystone INTERVIEW DE L’EXPERT: CHARLES PHILLOT, 64 ans, patron d’une PME fribourgeoise De dangereux rêves politiques Vous estimez vraiment que sortir du nucléaire va tuer l’économie suisse? Ne serait-ce pas au tour des entrepreneurs de faire des efforts en matière d’énergie? LA QUESTION DU JOUR: Le cri d’alerte de l’économie est-il justifié? Partager & Commenter Votre email a été envoyé. Le lobby de l’économie n’allait pas laisser champ libre à Doris Leuthard et à la majorité du Conseil fédéral pour sortir la Suisse du nucléaire.

Selon cette étude, le prix de l’énergie sera de deux à trois fois plus cher et la consommation ne baissera pas pour compenser ce coût pour l’économie suisse, comme le prévoit le plan 2050. Ne serait-ce pas plutôt l’absence de bonne volonté des milieux économiques qui noircissent les chiffres? Pierrelatte | L’usine Georges-Besse 2 qui succède à Eurodif coûtera 3 milliards d’euros. Malgré la catastrophe de Fukushima et l’arrêt de tous les réacteurs nucléaires au Japon, le groupe Areva a décidé de maintenir ses investissements sur le site du Tricastin. Il a même pour ambition d’en faire « le pôle d’excellence mondial de conversion et d’enrichissement de l’uranium ». Un investissement conforté La construction des usines Georges-Besse 2 (GB 2) et Comurhex 2 qui remplacent l’usine Eurodif et la Comurhex 1 a été confortée en décembre 2011 lors de la présentation du plan d’actions stratégique d’Areva 2012-2016.

Le groupe présidé par Luc Oursel a toutefois suspendu ses projets d’extension de capacité de GB 2 et de la Comurhex 2 à plus long terme. « On se reposera la question quand le marché sera à nouveau capable d’absorber une hausse de la production » expliquait Frédéric de Agostini, le directeur d’Areva-Tricastin en décembre dernier. À Bollène et Pierrelatte L’unité Sud située sur la commune de Bollène (Vaucluse) est en train de monter en puissance.

Le nucléaire est-il toujours rentable ? Greenpeace présente sa contre-expertise sur le nucléaire français. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Rémi Barroux et Pierre Le Hir Jamais l'atome n'aura fait l'objet, en France, d'autant d'études, de rapports et de contre-rapports. Après l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), la Cour des comptes et la commission "Energies 2050", c'était au tour de Greenpeace de rendre publique, lundi 20 février, une "analyse critique des évaluations complémentaires de sûreté menées sur les installations nucléaires françaises après Fukushima". Principale conclusion : ces évaluations comportent "trop de limites et de lacunes pour fonder des décisions définitives".

Autrement dit, les mesures de renforcement de la sûreté du parc nucléaire préconisées par l'ASN sont mal étayées. Et elles ne permettent donc pas de parer à tout risque d'accident majeur. >> Le rapport de Greenpeace sur la sûreté nucléaire en France post-Fukushima Les auteurs ont plus particulièrement passé au crible les dossiers des centrales de Gravelines (Nord), Flamanville (Manche)... Les scénarios de Siemens pour remplacer le nucléaire allemand. Le groupe dément les propos rapportés par Reuters qui lui attribuait une estimation de 1700 milliards d'euros pour le coût de la sortie du nucléaire outre-Rhin. Selon Siemens, il en coûterait de 11 milliards à 252 milliards sur vingt ans selon les scénarios… sans compter le démantèlement des centrales. Contacté par L'Usine Nouvelle, Siemens dément avoir estimé que la sortie du nucléaire coûterait entre 1400 milliards et 1700 milliards d'euros à l'Allemagne d'ici à 2030.

L'agence Reuters avait attribué mardi 17 janvier cette estimation au patron du secteur Energie du conglomérat allemand, Michael Suß. Pour Siemens, les propos tenus par le dirigeant lors de la conférence annuelle Energiewirtschaft du quotidien Handelsblatt ont été mal interprétés. Selon Siemens, sans même sortir du nucléaire, il en coûterait 1418 milliards d'euros pour financer le système énergétique allemand au cours des vingt prochaines années. Un mix équilibré. Energie: les mauvaises nouvelles s'accumulent pour le consommateur. Energie: les mauvaises nouvelles s'accumulent pour le consommateur PARIS - L'ère de l'énergie bon marché semble bel et bien finie en France: des organismes publics ont prévenu que les consommateurs devaient se préparer à une forte augmentation de l'électricité alors que le gaz a flambé de 25% en deux ans et que l'essence n'a jamais été aussi chère.

Alors que l'hiver commence tout juste à s'installer sur la France et que les radiateurs ne tournent pas encore à plein régime, les signaux d'alarmes se multiplient sur le front des factures énergétiques. Coup sur coup, la Commission de régulation de l'énergie (CRE) et le médiateur national de l'énergie, deux autorités administratives indépendantes, ont prévenu que les prix réglementés de l'électricité allaient grimper dans les années qui viennent. Mardi, le président de la CRE Philippe de Ladoucette a estimé lors d'un colloque que le prix de l'électricité pourrait grimper de 30% d'ici 2016 si la législation actuelle était maintenue. Frogatt-Schneider_FR. Cost of electricity by source. Cost factors[edit] While calculating costs, several internal cost factors have to be considered.[2] (Note the use of "costs," which is not the actual selling price, since this can be affected by a variety of factors such as subsidies and taxes): Capital costs (including waste disposal and decommissioning costs for nuclear energy) - tend to be low for fossil fuel power stations; high for wind turbines, solar PV; very high for waste to energy, wave and tidal, solar thermal, and nuclear.Fuel costs - high for fossil fuel and biomass sources, low for nuclear, and zero for many renewables.Factors such as the costs of waste (and associated issues) and different insurance costs are not included in the following: Works power, own use or parasitic load - that is, the portion of generated power actually used to run the stations pumps and fans has to be allowed for.

Calculations[edit] It can be defined in a single formula as:[6] where System boundaries[edit] Discount rate[edit] . Avoided cost[edit] Nucléaire et prix de l'électricité. Une forte proportion d'électricité nucléaire n'a pas de lien direct avec le prix de l'électricité en Europe. Le prix de l'électricité est l'un des plus élevés en Belgique, malgré un taux élevé (51%) d'électricité nucléaire. Le prix hors taxes reflète le coût de production. Le taux de taxes est très différent d'un pays à l'autre, pour des raisons de politique générale et de politique énergétique. Taux d'électricité nucléaire et prix de l'électricité dans quelques paysen centimes d'euro par kilowatt-heure Source : statistiques Eurostat pour le second semestre 2012 / Observ'ER Le prix de l'électricité à usage domestique est pour la tranche moyenne, de 2.500 à 5.000 kWh par an. Baisse rapide du prix de l'électricité solaire. Le prix de l'électricité solaire photovoltaïque est en baisse rapide dans tous les pays.

La parité avec le prix de l'électricité provenant du réseau (parité réseau) est déjà atteinte depuis 2012 dans plusieurs pays d'Europe (dont l'Allemagne). Cela se constate avec les tarifs d'achat dans le cadre des dispositions de régulation (fit : feed-in tariff). Entre 2004 et 2011, le prix d'achat de l'électricité solaire photovoltaïque a baissé de moitié en Allemagne, ce qui correspond à une baisse moyenne de dix pour cent (10%) par an depuis sept ans. C'est une tendance que l'on retrouve dans tous les pays. Pour les prochaines années, ce prix d'achat continuera de baisser dans les mêmes proportions, comme le montrent les tarifs d'achat définis pour quatre grands pays européens, selon la législation la plus récente.

Tarif d'achat de l'électricité solaire photovoltaïque en France (centimes d'euro / kilowatt-heure) Tableau par année de 2014 à 2016. Baisse pour chaque catégorie : IAB et ISB. Www.ucsusa.org/assets/documents/nuclear_power/nuclear_subsidies_summary.pdf. Le gouffre du nucléaire. [MAST] Mon avis sur tout !: Payer plus cher son électricité pour conserver le nucléaire, quelle belle affaire! Non. Dans tous les pays, la question pouvait se poser, notamment dans le contexte post Fukushima, mais en France, le peuple ne mérite même pas qu'on lui pose de questions, car son avis, on s'en fout.

Le peuple ne sait pas grand chose et ne comprend rien aux sujets compliqués, donc son avis sur une sortie du nucléaire, on ne lui demande pas. De toutes façons, la réponse est NON! Pourquoi? Parce que c'est trop compliqué pour qu'on vous l'explique, mais c'est pas possible. Qui sommes-nous? Des politiques élus ou nommés à de hautes fonctions dans des gouvernements ou des commissions, des personnes qui finalement n'y connaissent pas grand chose, mais qui croient dur comme fer aux chiffres et aux études qu'on leur remet sur le sujet... Le résultat? On va conserver les centrales et en construire d'autres plus performantes, plus exportables (en croisant les doigts pour qu'il y ait encore un marché).

Le coût? Rien... pensez-vous... Conclusion? Energie.sia-conseil.com/wp-content/uploads/2011/11/2011_11_10_-Le-Monde_-Limpossible-chiffrage-du-coût-de-laprès-nucléaire.pdf. Mensonges et trahisons d'EDF et d'Areva sur le coût d'une sortie du nucléaire. Le nucléaire est une affaire d’argent... Ce n’est pas sortir du nucléaire qui est suicidaire, mais s'entêter...

Areva sous perfusion financière D’abord, la situation financière actuelle d’Areva est catastrophique, et parler de ce qui est susceptible de se passer dans 15 ans évite de traiter des problèmes d'aujourd’hui. La société est sous perfusion d’EDF, seul client du retraitement à la Hague, un des seuls ou le seul acheteur de Mox (une usine de fabrication est aujourd’hui en chômage technique). A cela s'ajoute une dette monumentale, accentuée par des provisions pour l’EPR finlandais (3 milliards d'euros), le surcoût de l’achat d’UraMin, et une baisse de notation considérable. Aujourd'hui, la question pour Areva est bien celle de l’emploi et non celle du futur, en raison de choix stratégiques absurdes. EDF traîne des pieds pour sécuriser ses centrales Et pourtant EDF a les moyens... c'est l'État qui offre ! Quel sera le coût de la mise à niveau ? Les subventions aux énergies en France. Numérisation par le Réseau Sol(ID)aire des Energies Soutiens et subventions de l'état aux énergies en France Par Antoine BONDUELLE, Fréderic TUILLE et Sébastien FENET Rapport réalisé pour GREENPEACE Décembre 1998 1.1 - La recherche et développement 1.2 - Les budgets dÌintervention de lÌADEME 1.4 - Aides aux financement de projets dÌélectrification 1.5 - La fiscalité sur les énergies renouvelables 1.6 - La défiscalisation des biocarburants 1.7 - Le programme EOLE 2005 2.1 - Les subventions directes 2.1.1 - Les dépenses de R&D 2.1.2 - Les R&D d'autres partenaires 2.1.3 - Les coûts de la sûreté nucléaire en France 2.2 - Les subventions indirectes 2.2.1 - Les commandes anticipées de réacteurs 2.2.2- Le financement de la filière plutonium 2.2.3 La sous estimation des coûts du nucléaire français 2.2.3.1 - Les coûts de fonctionnement 2.2.3.2 - Les coûts externes, écologiques et autres de l'énergie nucléaire Récapitulatif du nucléaire 3.1- La R&D 3.2 - Les investissements des collectivités dans les réseaux de gaz.

Www.oecd-nea.org/pub/newsletter/2010/28-1/AEN-infos-28-1.pdf. Nicolas Sarkozy reconnaît que l’on ne paie pas l’électricité nucléaire à son prix réel. Avec la catastrophe de Fukushima en toile de fond, les promoteurs du nucléaire se font de plus en plus entendre pour défendre leur industrie menacée. Le 25 novembre 2011, avant de se rendre à la centrale nucléaire du Tricastin, Nicolas Sarkozy a fait une déclaration lors de la visite de l’usine Isover à Orange. Après avoir fait un discours en faveur de la poursuite du nucléaire, il s’est entretenu avec un ouvrier de l’usine. Le micro de Philippe Leduc et Anne-Laure Danier enregistrait ce dialogue et le journal de 13 heures de France-Inter l’a rapporté. Transcription du dialogue entre Nicolas Sarkozy et un ouvrier de l’usine Isover à Orange diffusé sur France-Inter le 25 novembre 2011 : [sujet sur le déplacement de Nicolas Sarkozy à la centrale nucléaire du Tricastin : 10:50 à 12:25 ; transcription de 11:42 à 12:14] écouter : L’ouvrier : Est-ce que vous pensez réellement que l’on paie l’électricité nucléaire à son prix réel ?

Nicolas Sarkozy : Non. Rapport no 1359 sur l'aval du cycle nucléaire. Rapport sur l'aval du cycle nucléaire Par M. Christian Bataille et Robert Galley Députés Tome II : Les coûts de production de l’électricité I. La convergence des compétitivités selon les études récentes de la Digec, de l’AEN-OCDE et d’EDF C. Les évaluations d’EDF 111 C. A la demande des Rapporteurs, EDF s’est livré début 1999 à un calcul des coûts complets de production du kWh relatifs à des nouvelles installations mises en service industriel en 2005 et correspondant aux filières nucléaire, charbon et gaz. Les deux principales originalités de ces calculs sont d’une part de porter sur des centrales plus avancées que dans l’étude Digec et d’autre part de proposer une évaluation pour deux régimes d’utilisation, la base et la semi-base. · Des hypothèses économiques et techniques discutées EDF a considéré nécessaire, en l’absence d’instructions des pouvoirs publics et d’une révision des taux par le Commissariat Général du Plan, d’utiliser un taux d’actualisation de 8 %. a) le nucléaire b) charbon.

La Tribune.fr. Le rapport de la Cour des comptes que nous publions est au moins aussi intéressant en ce qu'il dit qu'en ce qu'il tait. Ce n'est pas parce que ses auteurs ont délibérément voulu cacher quelque fait ou chiffre dérangeant. Non, beaucoup plus simplement, ils reconnaissent n'avoir pas ou trop peu d'information sur des sujets pourtant majeurs. Ce qui, sur certaines questions, n'est pas à proprement parler scandaleux. Après tout, qu'il demeure des incertitudes sur le coût du démantèlement des centrales, sur celui de la gestion à très long terme des déchets, apparaît somme toute assez normal. Parce qu'il n'y a pas, et pour cause, d'historique en la matière, parce que nous sommes dans un domaine d'une telle complexité que personne d'honnête ne peut prétendre la maîtriser dans son impossible globalité, parce qu'enfin l'histoire technologique de cette industrie est loin d'être finie.

Il n'empêche. La Tribune.fr. Nucléaire, du coût de la sûreté. Taxe sur le nucléaire en Allemagne: un tribunal n'y trouve rien à redire. « Le nucléaire, c’est pas cher » Assez de mythes : le nucléaire est plus cher que les énergies renouvelables.