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Vie numérique : une étude souligne le grand écart entre le discours et la pratique. TECHNOLOGIE - Les nouvelles technologies n'ont pas toujours bonne presse. Téléphones portables accusés d'entraver la bonne marche des relations sociales, réseaux sociaux auxquels nous assujettirions notre vie privée ou encore incapacité à déconnecter, celles-ci nous rendraient accros, et constitueairent une menace autant pour notre vie intérieure que dans notre relation aux autres. Pour échapper à ce mal qui nous guette, il faudrait déconnecter, abandonner portable et réseaux sociaux, à l'image du blogueur Thierry Crouzet qui avait raconté dans J'ai débranché, les six mois qu'il avait passés sans Internet. D'un côté la vie hyper connectée, de l'autre la déconnexion... Est-ce vraiment aussi simple? Dans une étude que Le HuffPost publie en exclusivité, quatre chercheurs en sciences de l'information et de la communication du cabinet Discours & Pratiques affirment le contraire.

Pour aller plus loin:» Le résumé de l'étude» Le fichier Powerpoint Autodiscipline Mieux. » Pas convaincu? Close. Hyperconnectée, la "ménagère numérique" manque de sommeil. La traditionnelle image de la ménagère serait-elle écornée par l'assiduité avec laquelle elle se connecte à Internet ? Il ressort d'une enquête de comportement "Media in Life", menée par Médiamétrie, que les femmes hyperconnectées sont hyperactives et consacrent moins de temps que le reste de la gent féminine aux loisirs, repos et sommeil.

La "ménagère numérique", telle que défine par Médiamétrie, est "une femme de moins de 50 ans, responsable des achats du foyer et qui se connecte au moins une fois par semaine à Internet". Plus de 78 % de ces femmes connectées le sont tous les jours, contre 65 % pour les ménagères "classiques" et 56 % pour l'ensemble de la population française. Cette femme "branchée" consacre à peine moins de temps que les autres femmes aux activités ménagères. Toutefois, cette hyperactivité empiète sur ses temps de repos et de sommeil ainsi que sur ses activités de loisirs. Addiction 2.0 : deux essais décortiquent le phénomène. Lost Memories, un court métrage sur notre dépendance au numérique.

Misère de notre addiction numérique. Les Etats et les grandes entreprises devraient faire preuve d'une vertu surnaturelle pour ne pas être tentés de tirer profit du fait que nous vivons dans une société où tout est enregistré LE MONDE | 02.01.2014 à 17h21 • Mis à jour le 03.01.2014 à 18h35 | Groupe Marcuse Comment combattre la tyrannie de la surveillance? L'affaire Snowden, du nom de l'ex-consultant pour l'Agence de sécurité nationale américaine (NSA) à l'origine des fuites sur le programme de surveillance électronique, a révélé l'ampleur du contrôle des citoyens du monde entier. Que faire face à ce phénomène? La cascade de « révélations » sur les programmes de surveillance électronique, déclenchée par Edward Snowden au mois de juillet, continue.

Après les classes politiques européennes et la presse, ce sont maintenant des écrivains du monde entier qui s'indignent et réclament l'édiction par l'ONU d'une déclaration des droits de l'homme numérique (« Refusons la société de surveillance ! », Le Monde daté 11 décembre). L'addiction mumérique : la virtuelle vie - Le blogabonnel. Mardi 14 août 2012 2 14 /08 /Août /2012 14:37 Vous passez des heures sur le net, dans le monde virtuel : messages, courrier, pubs, sites, blogs ou facebook... Au lieu de vivre, c'est-à-dire d'aimer, de se promener, de voyager, de faire du sport, de lire un bon livre... C'est vrai, on lit beaucoup sur le net, mais surtout des bêtises...

Etes-vous conscient(e) de cette addiction numérique..? Votre vie est connectée sur le monde, mais vous êtes seul(e), chez vous, perdu(e) dans le village mondial, où ronronnent les rumeurs les plus folles et malhonnêtes... Et vous vous croyez moderne, alors que vous êtes l’esclave du temps et des commerces à la mode… Avec les réseaux sociaux, vous avez l’illusion de dialoguer ou d’être acteur… mais que de piètres réponses, quel triste dialogue d’au-delà les machines numériques.. ! Pendant ce temps, les médias traditionnels (la presse écrite, surtout) est en régression et perd des lecteurs. Vous êtes accro de virtuel ? LES FRANÇAIS ET LE MONDE NUMÉRIQUE, ENTRE ADDICTION ET VOYAGE EN TERRES INCONNUES. Il ressort de cette étude qu'un large pourcentage des Français (39%) se disent passionnés par le numérique et que la moitié d'entre nous ne pourrait plus se passer de toutes les innovations qui envahissent notre quotidien.

Serions-nous tous des geeks en puissance ? Il semble que non (ouf !). L'addiction n'est pas encore généralisée et la possession de mobiles, tablettes et autres ordinateurs ne fait pas de nous des experts en clics, téléchargement, formatage et autres termes barbares. Pire, nous sommes sceptiques et 61% des français expriment des appréhensions sur l'évolution du monde numérique. Faut-il y voir une opposition entre le cartésianisme français et l'univers du virtuel et de la technologie en général ?

Peut-être. Ou plus simplement la manifestation des craintes ancestrales liées au changement, au progrès, une expression du bon vieux « c'était mieux avant... » . Le numérique c'est bien, mais point trop n'en faut Six profils différents face au monde numérique, lequel êtes-vous ? Addiction Numérique. Selon de récente études , l’addiction numérique ou la Toxicomanie numérique constitut ,un véritable danger pour la santé ,pour Le Professeur Guy Almes celle-ci créer chez le Toxicomane numérique trois formes de mort : « la mort cardiaque, la mort cérébrale et la déconnexion du réseau » .

En outre il faut notez qu’elle est particulièrement vérifiée chez les adolescents. Pour un certain nombre d’entre eux, la navigation sur Internet ou les jeux en ligne sont devenus une drogue dont ils ne peuvent plus se passer. Si pour les psychanalystes, aucune technologie ne porte en elle-même d’effet addictogène, l’addiction ne pouvant être générée que par une pratique particulière de l’objet en cause, liée à d’autres facteurs complexes (situation du sujet, environnement familial, contexte social…), la cyberdépendance semble prendre de l’importance.car 6 à 8 % des internautes seraient ainsi dans l’usage excessif ou dépendant du réseau informatique. Source : AFP. Web et addiction. Après l’alcool, la cigarette et la drogue, Internet est classifié comme « addiction ». En bref, certains ne savent plus décrocher de leur ordinateur. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance) , est une réalité.

En termes psychologiques, elle désigne un besoin excessif et obsessionnel d’utiliser un ordinateur qui finit par interférer sur la vie quotidienne. Vive la vie virtuelle De nombreuses personnes déçues par le quotidien de la vie réelle finissent pas se faire une nouvelle vie , bien plus exaltante, sur Internet . Et en fin de parcours c’est le clash.

Sur Internet, il est possible d’exister, d’être valorisé sans être jugé sur ses qualités physiques et intellectuelles. La cyberdépendance en pratique Trois heures du matin. La dépendance à Internet (aussi appelée cyberdépendance), est un trouble psychologique entraînant un besoin irrésistible et obsessionnel d’utiliser Internet . Les traitements contre la cyberdépendance A propos de Pierre Davister. 3. Jean-Luc Vénisse : addiction et société numérique (1) Selon une étude, l'addiction au numérique n'existe pas. Une étude, publiée par le Huffington Post, menée par quatre chercheurs, révèle le fossé entre la manière dont les technologies de communication sont perçues par la société et la façon dont les Hommes flirtent avec l’ère numérique.

D’après les journaux, nos chers téléphones portables, nos précieux profils Facebook et nos tweets favoris seraient une grande menace pour notre vie privée mais aussi pour nos relations sociales. Quatre chercheurs se sont penchés sur la question pour contredire ces rumeurs. Durant trois mois, les scientifiques ont interrogé plusieurs dizaines de participants partout en France en s’intéressant particulièrement à leurs pratiques numériques quotidiennes. Selon cette étude, nos vies seraient loin d’être connectées en permanence et l’addiction numérique serait seulement un fantasme de la société.

Observez bien : notre vie est faite de petites « déconnections ». La vie numérique ne serait pas non plus responsable d’une quelconque baisse des rapports humains. "Les français et le monde numérique" A l'été 2011, le groupe TNS Sofres a publié une étude baptisée « Les français et le nouveau monde numérique ». Comment vivons nous avec les nouvelles technologies et quels consommateurs sommes-nous ? Six profils de comportements ont été identifiés à l'issue de l'étude pour une cartographie des français face à l'ordinateur.

Il ressort de cette étude qu'un large pourcentage des Français (39%) se disent passionnés par le numérique et que la moitié d'entre nous ne pourrait plus se passer de toutes les innovations qui envahissent notre quotidien. Serions-nous tous des geeks en puissance ? Il semble que non (ouf !). L'addiction n'est pas encore généralisée et la possession de mobiles, tablettes et autres ordinateurs ne fait pas de nous des experts en clics, téléchargement, formatage et autres termes barbares. Pire, nous sommes sceptiques et 61% des français expriment des appréhensions sur l'évolution du monde numérique. Le numérique c'est bien, mais point trop n'en faut. Misère de notre addiction numérique. L'addiction numérique : intox ou détox. Cyberdépendance: ces internautes qui ne débranchent jamais. Il vit quinze heures par jour sur internet. «C'est une addiction, oui. Je me sens obligé. Quand je sors, je ressens du manque. Alors, le téléphone compense».

Il a 19 ans et avoue qu'«internet a pris la place de mes amis». Il continue le foot. «Je joue, mais je suis un zombie. A Taïwan, une jeune fille a planté un couteau de 29 centimètres dans le corps de son oncle. En France, la dépendance à internet se transforme. Recevoir trente mails par jour n'étonne personne. Avec l'irruption des réseaux sociaux et l'invasion du numérique dans le monde professionnel, la cyberdépendance n'est plus une histoire d'adolescents blafards entassés dans des caves à zigouiller des dragons. Kyle, lui, ne joue jamais à des jeux. Quinze heures par jour devant l'écran, comme ce jeune Charentais, c'est un cas extrême. «Internet n'exclut pas la vraie rencontre» Il y a au moins 40 millions d'internautes en France. «Je ne vois pas où est le danger, s'étonne Hervé, journaliste très numérique. . - «Tu fais quoi?» 1h25. Le côté diabolique du numérique.

L’addiction aux médias numériques, et en particulier à la sphère du net, sera-t-elle bientôt considérée comme un problème au même titre que l’addiction à la drogue ou à l’alcool ? Tout le monde se met au numérique et personne ne peut plus vivre sans. Les internautes naviguent, vivent par le web 2.0 et en sont devenus complètement dépendants. D’ailleurs ils ne s’en cachent pas et avouent aisément leur addiction au phénomène. Dans une société qui vit de plus en plus par le numérique, Internet, les Smartphones et autres technologies digitales sont devenues incontournables.

Internet représente 3,2% du PIB français en 2009 et ce chiffre pourrait augmenter et atteindre 5,5% d’ici 2015 ! Alors forcément on continue de développer le e-commerce, la e-publicité et le e-marketing ! Les Smartphones, dont les utilisateurs ne peuvent se passer, sont vecteurs de cancers ? Internet est vecteur d’addiction chez certaines personnes, de violences chez d’autres ? Prudence sur la toile ! Vie privée et cyber dépendance à Internet.

«Mieux vaut prévenir que guérir», est devenu le slogan de certains internautes, qui ont commis une erreur de présenter les détails de leur vie privée dans les pages de «facebook» « twitter », le chat ou dans des forums. Tout ce qu’ils voulaient était de communiquer avec des amis et des parents ou d’élargir leur réseau de connaissances … C’est un point noir dans la vie des jeunes internautes, en particulier de sexe féminin. De se retrouver victimes, de «pirates», des hommes, avec leur web caméra, leur téléphones et appareils photos. Ainsi, ils transforment ce monde virtuel en un monde de cauchemar réel. Les femmes souffrent, à des époques différentes, de ces «francs-tireurs». Cela est évident à travers les vidéos qui remplissent les sites Web, qui vise à saboter la réputation des femmes, sans distinction d’aucune sorte.

Il n’y a aucune chance de révéler l’identité de ces «snipers», qui connaissent les secrets de l’informatique bien plus que leurs victimes. Lorsque la santé est en jeu.