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Addiction Numérique

Addiction Numérique
Selon de récente études , l’addiction numérique ou la Toxicomanie numérique constitut ,un véritable danger pour la santé ,pour Le Professeur Guy Almes celle-ci créer chez le Toxicomane numérique trois formes de mort : « la mort cardiaque, la mort cérébrale et la déconnexion du réseau » . En outre il faut notez qu’elle est particulièrement vérifiée chez les adolescents. Pour un certain nombre d’entre eux, la navigation sur Internet ou les jeux en ligne sont devenus une drogue dont ils ne peuvent plus se passer. Si pour les psychanalystes, aucune technologie ne porte en elle-même d’effet addictogène, l’addiction ne pouvant être générée que par une pratique particulière de l’objet en cause, liée à d’autres facteurs complexes (situation du sujet, environnement familial, contexte social…), la cyberdépendance semble prendre de l’importance.car 6 à 8 % des internautes seraient ainsi dans l’usage excessif ou dépendant du réseau informatique. source : AFP

Addiction au numérique : peut-on vivre déconnecté ? Il est parfois difficile de se détacher de la spirale infernale du numérique. En 2014, 28 millions de Français possédaient un smartphone et neuf millions avaient une tablette tactile. De plus, les réseaux sociaux tels que Facebook ou Twitter comptaient jusqu'à 32 millions d'inscrits. L'addiction au numérique frappe alors de nombreuses personnes. Celles-ci peuvent consulter leur smartphone 100 fois par jour et se précipiter à la moindre alerte ou notification. Le documentaire Digital Detox s'est inspiré de cette dépendance. Michel Lejoyeux, un professeur de psychiatrie et d'addictologie à l'université Paris 7, estime que le problème n'est pas de savoir s'il est possible de vivre déconnecté ou non. On peut avoir une relation complètement passionnelle et exagérée vis-à-vis du téléphone. Quant à l'écrivain Thierry Crouzet, il considère que la dépendance à Internet peut causer un trouble physique tel que des crises d'angoisse ou encore un trouble social. Lire la suite

LES FRANÇAIS ET LE MONDE NUMÉRIQUE, ENTRE ADDICTION ET VOYAGE EN TERRES INCONNUES Il ressort de cette étude qu'un large pourcentage des Français (39%) se disent passionnés par le numérique et que la moitié d'entre nous ne pourrait plus se passer de toutes les innovations qui envahissent notre quotidien. Serions-nous tous des geeks en puissance ? Il semble que non (ouf !). L'addiction n'est pas encore généralisée et la possession de mobiles, tablettes et autres ordinateurs ne fait pas de nous des experts en clics, téléchargement, formatage et autres termes barbares. Pire, nous sommes sceptiques et 61% des français expriment des appréhensions sur l'évolution du monde numérique. Le numérique c'est bien, mais point trop n'en faut Dans cette veine, 58% des personnes interrogées considèrent comme négatif l'apport des technologies pour l'homme et la société. D'ailleurs, pour une grande majorité, l'utilisation des nouvelles technologies mériterait d'être quelque peu organisée. Six profils différents face au monde numérique, lequel êtes-vous ? Source : Frenchweb

Comment devient-on accro au numérique ? Atlantico : Portables, tablettes, ordinateurs, les nouvelles technologies nous entourent. Elles sont partout : au bureau, à la maison, dans les magasins… Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. Les nouvelles technologies mettent la vie sociale au second plan petit à petit. Pour lire les autres épisodes de notre série de la semaine sur les Nouvelles addictions, consultez notre dossier : ici. Il faut faire le distinguo entre les moments excessifs et l’addiction. Dan Véléa : La e-dépendance et le concept de cyberdépendance sont apparus vers le milieu des années 1990. L’évolution des outils informatiques s’accompagne par la suite d’une véritable explosion de demande consultation. Lire ou relire plus tard

Dépendance ? — Enseigner avec le numérique Dépendance aux jeux vidéo : les signes à surveiller « Les nouvelles addictions : tel était le thème de la séance hebdomadaire de l'Académie de médecine qui s'est tenue mardi avec, notamment, la question de l'addiction des jeunes aux jeux vidéo. Or sur ce thème, Marie-France le Heuzey, pédopsychiatre à l'hôpital Robert-Debré à Paris, se veut à la fois vigilante et rassurante. Vigilante, car il existe effectivement des cas de jeunes qui se font happer par le jeu [...]«Il faut bien sûr regarder le nombre d'heures que l'enfant passe à jouer, mais il est difficile de déterminer un seuil exact», poursuit le médecin. Ce sont plutôt les conséquences qu'il faut regarder: «Lorsque l'enfant décroche de la vie familiale ou scolaire, qu'il ne veut plus se lever le matin, qu'il abandonne ses activités sportives… Ce sont autant de signes d'alerte», explique le médecin. » Figaro.fr, 22/01/

L'addiction mumérique : la virtuelle vie - Le blogabonnel Mardi 14 août 2012 2 14 /08 /Août /2012 14:37 Vous passez des heures sur le net, dans le monde virtuel : messages, courrier, pubs, sites, blogs ou facebook... Au lieu de vivre, c'est-à-dire d'aimer, de se promener, de voyager, de faire du sport, de lire un bon livre... C'est vrai, on lit beaucoup sur le net, mais surtout des bêtises... Etes-vous conscient(e) de cette addiction numérique..? Votre vie est connectée sur le monde, mais vous êtes seul(e), chez vous, perdu(e) dans le village mondial, où ronronnent les rumeurs les plus folles et malhonnêtes... Et vous vous croyez moderne, alors que vous êtes l’esclave du temps et des commerces à la mode… Avec les réseaux sociaux, vous avez l’illusion de dialoguer ou d’être acteur… mais que de piètres réponses, quel triste dialogue d’au-delà les machines numériques.. ! Pendant ce temps, les médias traditionnels (la presse écrite, surtout) est en régression et perd des lecteurs. Vous êtes accro de virtuel ?

Les veilles : Toute l'actualité de la pub TV et de la TV surveillée pour vous par le SNPTV - Syndicat National de la Publicité Télévisée A l’occasion de la Journée de la Femme, Médiamétrie s’est penchée sur les pratiques médias et loisirs numériques des femmes. Bonne nouvelle, les femmes passent un peu moins de temps à faire le ménage et les courses. Elles en ont donc un peu plus pour le travail mais surtout le temps libre et les loisirs. Notamment pour consommer des médias, communiquer par téléphone, internet, lire, écouter de la musique, voir des amis, aller au cinéma…. En 25 ans selon l’Insee, les femmes ont gagné plus d’une heure par jour sur le ménage et les courses. L’étude Media in Life1 de Médiamétrie montre la vie des femmes davantage scandée que celle des hommes par des « activités courantes », comme les soins personnels, la prise de repas, le shopping, les relations avec la famille et les amis, les loisirs comme se promener, sortir au spectacle et les activités domestiques (des tâches ménagères au soin des enfants). Les femmes plus consommatrices de télévision Suréquipées en TV, sous-équipées en consoles

Loi numérique, l’addiction à portée de clic ? La loi de santé signée Marisol Touraine avait libéralisé la publicité pour l’alcool, à la grande joie du lobby viticole ; celle sur le numérique, défendue par Axelle Lemaire, en fera-t-elle de même avec les compétitions de jeux vidéo ? Attendu en commission ce mardi à l’Assemblée nationale, le projet de loi Pour une République numérique inquiète en tout cas certains médecins spécialistes des comportements addictifs. Des craintes infondées ? À voir. Absente de la première version du texte élaboré par la secrétaire d’État chargée du numérique, Axelle Lemaire, cette disposition a été ajoutée à la loi à la faveur d’une grande consultation citoyenne organisée à l’automne dernier, au sein de laquelle chacun était libre d’enrichir le projet de loi. Web et addiction Après l’alcool, la cigarette et la drogue, Internet est classifié comme « addiction ». En bref, certains ne savent plus décrocher de leur ordinateur. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance) , est une réalité. En termes psychologiques, elle désigne un besoin excessif et obsessionnel d’utiliser un ordinateur qui finit par interférer sur la vie quotidienne. Vive la vie virtuelle De nombreuses personnes déçues par le quotidien de la vie réelle finissent pas se faire une nouvelle vie , bien plus exaltante, sur Internet . Et en fin de parcours c’est le clash. Sur Internet, il est possible d’exister, d’être valorisé sans être jugé sur ses qualités physiques et intellectuelles. La cyberdépendance en pratique Trois heures du matin. La dépendance à Internet (aussi appelée cyberdépendance), est un trouble psychologique entraînant un besoin irrésistible et obsessionnel d’utiliser Internet . Les traitements contre la cyberdépendance A propos de Pierre Davister

Thierry Crouzet : "J'ai fait un burn-out numérique" Yves Calvi s'entretenait mardi avec Thierry Crouzet, un "addict" du tout connecté presque repenti. En février 2010, Thierry Crouzet est admis aux urgences : « overdose », diagnostiquent les médecins de l'hôpital. Pas de stupéfiants ou de médicaments, mais... d'Internet. Ce mardi, c'est la "Journée mondiale sans téléphone mobile".

Addict au numérique. Par Stéphane Diebold - Formaguide.com L’addiction fait partie des critiques classiques que l’on reproche aux usages du numérique… S’agit-il d’une légende urbaine ou d’une réelle dépendance à l’informatique ? L’addiction peut-elle être une opportunité pour la formation, et si oui, laquelle ? Un apprenant addict à la formation ne règlerait-il pas du même coup le problème de la motivation et de l’érotisation de la formation ? Qu’est-ce que ces questions recouvrent ? L’addiction est une addiction comportementale, une addiction sans substance, le cocaïnomane sans la cocaïne… Mais les avis sont partagés, le psychologue Michael Stora valide l’existence d’une telle addiction alors que Yann Leroux ne le valide pas… Autant dire que chacun trouve ce qu’il cherche… Guerres des études, guerres des psychologues,… Et on estime de 1 à 3 % la population qui pourrait être concernée… Il y a ceux qui discutent du thermomètre et ceux qui soignent le malade…Les guerres de thermomètres sont souvent liées à une incapacité à proposer quelque chose…

Vie numérique : une étude souligne le grand écart entre le discours et la pratique TECHNOLOGIE - Les nouvelles technologies n'ont pas toujours bonne presse. Téléphones portables accusés d'entraver la bonne marche des relations sociales, réseaux sociaux auxquels nous assujettirions notre vie privée ou encore incapacité à déconnecter, celles-ci nous rendraient accros, et constitueairent une menace autant pour notre vie intérieure que dans notre relation aux autres. Pour échapper à ce mal qui nous guette, il faudrait déconnecter, abandonner portable et réseaux sociaux, à l'image du blogueur Thierry Crouzet qui avait raconté dans J'ai débranché, les six mois qu'il avait passés sans Internet. D'un côté la vie hyper connectée, de l'autre la déconnexion... Pour aller plus loin:» Le résumé de l'étude» Le fichier Powerpoint Autodiscipline Principal enseignement: "il n'y a pas le monde numérique d'un côté, et nous de l'autre," explique la sociologue Joëlle Menrath, directrice de Discours & Pratiques. Le numérique, ou le hors-champ de notre quotidien Mieux. » Pas convaincu? Close

Vidéo - Le Trèfle L’addiction numérique, un mal croissant chez les jeunes A Singapour, comme dans un nombre grandissant de pays, des psychiatres militent pour que l'addiction aux smartphones soit reconnue comme un trouble psychologique. Avec la Corée du Sud, la Chine et Taïwan, la cité-Etat est l'un des pays d'Asie les plus concernés par ce phénomène. L’addiction au smartphone, un trouble psy ? Singapour et Hong Kong détiennent d’ailleurs le record régional du plus grand nombre d'utilisateurs de smartphones par habitant, selon un rapport publié l'an dernier par le cabinet d'étude Nielsen. 87% des 5,4 millions de Singapouriens sont ainsi munis d'un téléphone multifonctions, contre 65% aux Etats-Unis. Et d’après Adrien Wang, psychiatre au centre médical de Gleneagles, l'addiction à l'internet devrait être classée dans les troubles mentaux. Sans internet à la maison, il erre à la recherche d’une connexion Le médecin évoque le cas d'un étudiant de 18 ans dont les symptômes étaient extrêmes. Les ravages du text-neck Les symptômes de l’addiction numérique

Hyperconnectée, la "ménagère numérique" manque de sommeil La traditionnelle image de la ménagère serait-elle écornée par l'assiduité avec laquelle elle se connecte à Internet ? Il ressort d'une enquête de comportement "Media in Life", menée par Médiamétrie, que les femmes hyperconnectées sont hyperactives et consacrent moins de temps que le reste de la gent féminine aux loisirs, repos et sommeil. La "ménagère numérique", telle que défine par Médiamétrie, est "une femme de moins de 50 ans, responsable des achats du foyer et qui se connecte au moins une fois par semaine à Internet". Cette femme "branchée" consacre à peine moins de temps que les autres femmes aux activités ménagères. L'étude souligne, qu'à l'instar des pratiques observées chez les jeunes multitâches, la ménagère numérique peut, dans le même temps, être connectée à Internet et regarder la télévision.

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