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Philosophies & réflexions. C'est quoi la technologie? Philosophie. Pourquoi l'interdit de l'inceste. Parcours pédagogique : Roland Barthes. Le Centre Pompidou vous propose de nombreuses visites, parcours et ateliers pour découvrir le bâtiment, les collections, les expositions temporaires, la création des 20e et 21e siècles. L'ensemble des visites, générales ou thématiques, offrent la possibilité d'établir des liens avec les programmes scolaires, adaptés à chaque niveau.

Parcours, ateliers et événements de la Galerie des enfants permettent aux plus jeunes dès 2 ans, de se familiariser à l'art moderne et contemporain par la manipulation ou l'expérimentation. Le programme d’activités Visites des collections permanentes et des expositions temporaires Les visites s'adressent à tous les niveaux scolaires. Elles permettent d'aborder les œuvres à partir de notions fondamentales dans l'apprentissage du langage de la création et sont associées aux thèmes d'enseignement abordés dans les programmes scolaires.

Parcours Histoire des arts dans « Modernités plurielles » Ateliers Les ateliers pour le jeune public se déroulent en deux temps. Michel Foucault : Les Mots et les Choses. Jacques Ranciere vidéos. Les Humains Associés No6 : Baudrillard. Jean Baudrillard Philosophe et sociologue. Les Humains Associés : Dans votre dernier ouvrage (L'Illusion de la fin ou la grève des événements, Galilée, Paris, 1992), vous parlez de ces phénomènes qui aujourd'hui nous touchent particulièrement, comme si l'histoire était devenue cyclique, comme si nous étions dans une dimension de totale reversibilité. Pourriez-vous nous en parler? Jean Baudrillard : Oui, le livre l' Illusion de la fin est parti d'une désillusion, il pourrait aussi s'appeler "Désillusion de la fin" ou "La fin de l'illusion", enfin on peut tourner la chose comme on veut (rire); c'est-à-dire qu'il y a toujours eu une sorte d'espoir, d'espérance, de perspective sur: les choses ont une finalité, l'histoire a une finalité, le progrès, enfin toutes les valeurs, nous portent vers un accomplissement futur.

C'est cela qui m'avait un peu préoccupé. Si nous pouvions faire la preuve du passé, nous aurions encore droit au futur. Association internationale pour une politique industrielle des technologies de l'esprit. L'individu désaffecté. Ce texte est un extrait du quatrième chapitre de Mécréance et discrédit, t.2, éd.

L'individu désaffecté

Galillée, publié comme document de travail pour la préparation de la réunion d'Ars Industrialis Souffrance et consommation du 25 février 2006 On n’est pas sérieux quand on a dix-sept ans. Rimbaud Qui veut noyer son chien prétend qu’il a la rage. 24. Esprit. Il est plus urgent que jamais « d’intéresser les esprits au sort de l’Esprit, c’est-à-dire à leur propre sort » (Paul Valery, La liberté de l’Esprit, 1939). Il est d’abord constitué par des choses, des objets matériels – livres, tableaux, instrument, etc. qui ont leur durée probable, leur fragilité, leur précarité de choses. Lorsque les hommes ne savent plus se servir des technologies de l’esprit qui leur sont imposées, c’est alors l’esprit qui a perdu son capital, c’est aussi bien le capitalisme qui a perdu son esprit. C’étaient de grands consommateurs. Cela signifie-t-il que ces parents n’aimaient pas leurs enfants ? Notre époque ne s’aime pas. 25. 26. Que nous faut-il pour “Refaire société”

« C’est l’état actuel de notre société, « fragilisée, écartelée… » qui nous amène à nous poser la question de comment « refaire société« , explique l’historien Pierre Rosanvallon en introduction des trois jours de conférences initiées par le collectif la République des idées qui avaient lieu à la Maison des jeunes et de la culture de Grenoble du 11 au 13 novembre 2011.

Que nous faut-il pour “Refaire société”

Nous vivons une « terrible régression », assure Pierre Rosanvallon dans son introduction au colloque comme à Refaire société, l’ouvrage collectif qu’il a dirigé et qui accompagnait les questionnements de ces trois jours. Et de n’évoquer qu’un exemple pour souligner la manière dont celle-ci se décompose, celui de la progression de l’écart moyen de rémunération entre les plus petits salariés et leurs PDG, qui était de 1 à 40 au début du XXe siècle et qui est aujourd’hui de 1 à 400. En France, les 1 % les plus aisés accaparent 24 % du patrimoine. Le grand retournement et la crise des communs « Comment en est-on arrivé là ? Michel Serres 1.