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Fermes bio et en transition

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À Kerlanic en Bretagne, le choix de vivre en autonomie en accord avec la nature. Dans la campagne reculée du Centre Bretagne, au bout d'une route que le GPS peine à indiquer, on finit par atteindre le lieu-dit Kerlanic, appelé par ses résident·es «Oasis Kerlanic».

À Kerlanic en Bretagne, le choix de vivre en autonomie en accord avec la nature

Il a été surnommé comme cela car, pour une personne qui cherche à fuir la frénésie de notre société, c'est comme si elle était dans le désert et qu'elle trouvait, au milieu de nulle part, une oasis. Il s'agit d'un lieu où l'on vit en autonomie et en adéquation avec la nature, un lieu où chacun·e est la ou le bienvenu·e et qui prône un mode de vie alternatif. «Mama Terra», c'est ainsi qu'on surnomme Audrey pour sa bienveillance permanente envers la nature et ses semblables; c'est elle qui est à l'origine de cette initiative. Mère de deux enfants, elle a habité pendant douze ans en région parisienne où elle pratiquait deux métiers à la fois: celui d'écrivaine publique et celui de styliste grande taille.

C'est un burn-out qui l'a poussé à dire «STOP». Le Potager d'à Côté. Ferme bio finistère. Petit traité du jardin punk - Apprendre à désapprendre. « A force de chercher la nature, on finit par la trouver » !

Petit traité du jardin punk - Apprendre à désapprendre

Concept radical et provocant, le jardin punk est une invitation à pratiquer le jardin autrement, au-delà des conventions, avec son instinct et son intuition. Il est nécessaire parce qu’il répond aux problématiques actuelles de l’écologie appliquée pour amener de la biodiversité dans chaque parcelle du quotidien et à l'embellissement de notre environnement quels que soient les connaissances, moyens financiers, etc.

Conçu pour que le néo jardinier ne voie pas son envie de jardiner bridée par sa méconnaissance ou les idées préconçues (par lui-même ou les autres), l'objectif de cet ouvrage est que chacun mesure à quel point il lui est possible de créer, quoiqu’il arrive, un espace beau et écologique. Adoptez la culture punk pour créer un jardin impertinent et apprenez à le gérer en restant fainéant, rebelle, fauché et écolo ! Description : 96 pages ; (15 x 21 cm) . Plonéour-Lanvern : un jardin punk où les plantes poussent librement. Au Hameau de Ty Coat, à Plonéour-Lanvern (Finistère), il est un jardin pas comme les autres.

Plonéour-Lanvern : un jardin punk où les plantes poussent librement

Manogane est un jardin bio punk. Cécile Le Guen en est l’instigatrice. Quand vous poussez la porte, Désinvolte et Désirée, deux chèvres élevées au biberon, vous font la fête tout comme les chats, les moutons, sans oublier Crunch et Brillant, deux ânes gris qui paissent tranquillement à l’autre bout du champ. Tout ce petit monde entretient une partie du jardin d’un peu plus d’un hectare. Un jardin qui se gère presque tout seul et où tout pousse tranquillement. Cécile Le Guen explique : Le principe est de ne pas aller contre la nature.

Son havre de paix Toutes les plantes y ont une place et les petites bêtes également. « Une grenouille rouge, un lézard vert, une libellule bleue, je m’émerveille de toute cette nature qui occupe ce terrain. » Des arbres y ont également trouvé refuge. Ce jardin, elle y passe le plus de temps possible. Pour faire des tisanes Un camping d’étapes. Comment une petite société coopérative tente de changer radicalement le monde paysan. Voilà quatre ans que la ferme de Belêtre, en Indre-et-Loire, a initié le mouvement des petites coopératives (Scop) en agriculture.

Comment une petite société coopérative tente de changer radicalement le monde paysan

L’enjeu : limiter l’endettement, se rémunérer pour son travail et non sur son capital, améliorer la protection sociale et faciliter la transmission. À Dolus-le-Sec, en Indre-et-Loire, la coopérative paysanne de Belêtre est l’une des premières fermes françaises à avoir adopté, en novembre 2016, le statut de société coopérative de production (Scop). « Quand on a cherché à s’installer en agriculture tous les cinq, ce qui motivait notre projet agricole était avant tout politique, explique Mathieu Lersteau, l’un des cinq cofondateurs.

Dans ce projet, il y avait quelque chose d’assez tranché sur le rapport au capital et la volonté de participer à un mouvement de transformation sociale. » Imaginer un projet où l’argent ne soit pas un obstacle Fonctionnement horizontal et autogestionnaire Génération sacrifiée Sophie Chapelle Crédit photo : Yoan Jäger.