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Nietzsche

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[PHILO] Nietzsche, sa vie, son oeuvre. Le Coup de Phil' #17 - Le Surhomme de Nietzsche. L'éthique de Nietzsche (1) NIETZSCHE ET LES MÉCHANTS ! - Généalogie de la morale (2/2) NIETZSCHE - La morale des winners ! - Généalogie de la morale (1/2) Émission cogito: Nietzsche. Nietzsche, la philosophie comme remède à la civilisation. Friedrich NIETZSCHE– Généalogie de la Morale (FR) L'éthique de Nietzsche (1) Friedrich Nietzsche : Par delà le bien et le mal. Nietzsche : La morale est une valeur de sous-homme. Nietzsche Fabrice Luchini. Nietzsche - La généalogie de la morale - De Dicto #3. Nietzsche : Généalogie de la morale. La Généalogie de la Morale appartient aux oeuvres de la maturité de Friedrich Nietzsche, puisqu’elle a été publiée en 1887, après Ainsi parlait Zarathoustra.

Nietzsche : Généalogie de la morale

Dans cet essai, le penseur allemand traite de philosophie morale, cherchant à retracer l’origine de nos conceptions morales : selon lui, les valeurs prennent leur source dans la morale chrétienne, qu’il tient pour une morale du ressentiment, une morale d’esclave, dont il faut se libérer : la morale du surhomme sera ainsi une morale de la libération. Le livre est structuré en trois essais, ce qui le rend un peu plus accessible que certains oeuvres écrites en aphorismes et déliées, comme le Gai Savoir. Résumé de la Généalogie Dans le premier essai, “du Bien et du Mal”, Nietzsche oppose la “moralité du maître” “morale d’esclaves”. La première est développée par les forts, sains et libres, capables de définir eux-mêmes leur propre valeur et d’inventer leur propre définition du bonheur. Analyse : Le perspectivisme nietzschéen. 20th WCP: Nietzsche et Kant: Philosophie, Critique et Morale. Eric Dufour : Leçons sur Nietzsche (partie I) Nietzsche a magistralement dépassé Kant !

Eric Dufour : Leçons sur Nietzsche (partie I)

C’est ce qu’explique Eric Dufour dans ses Leçons sur Nietzsche. Héritier de Kant, parues chez Ellipses en 2015 [1]. Dufour révèle les affinités électives qui rapprochent ces deux penseurs illustres, et les oppositions qui les séparent, ce qui éclaire l’histoire de la philosophie moderne sous un tout nouveau jour. L’auteur présente d’abord la conception nietzschéenne de la connaissance, puis il aborde le problème de l’individu, enfin il analyse le statut de l’action dans la philosophie de Nietzsche. Dufour ne propose pas seulement « une généalogie des notions majeures du nietzschéisme » (p. 10) : il tente surtout de situer Nietzsche « par rapport à la philosophie moderne dans son ensemble, et essentiellement les empiristes et les sensualistes », qui réduisent les idées à des rapports entre des sensations (p. 14).

Nietzsche : un postkantien Dufour rappelle que « Nietzsche connaissait Kant » et qu’il le connaît « de première main » (p. 11 et 13). La Morale de Nietzsche. AVERTISSEMENT[modifier] Publié, il y a près de trois ans dans un recueil périodique, mais composé il y en a plus de cinq, c'est-à-dire avant que Nietzsche ne fût encore lisible en français, ce travail nous avait paru perdre toute utilité à la suite de la belle et complète traduction du grand psychologue donnée par M.

La Morale de Nietzsche

Henri Albert et ses collaborateurs. Nous avions voulu initier ou plutôt « amorcer » aux idées de Nietzsche quelques jeunes esprits particulièrement capables d'en tirer profit comme il venait de nous arriver à nous-même et d'en recevoir non un joug, mais une stimulation dans leur développement. Ayant eu cependant l'occasion de connaître quelques-uns des plus notables exposés de Nietzsche donnés dans nos revues depuis cette époque, nous avons dû cesser de croire toute lumière faite sur des conceptions qui demanderaient, pour être bien comprises et justement appliquées, plus de perspicacité psychologique que d'érudition philosophique. Avril 1902. (i) M. .ses au-delà... Nracune, I. « Utilité » versus « volonté de puissance ». Sens et portée de l'anti-utilitarisme de Nietzsche.

« Salut à vous, braves bêtes de trait,“Plus ça traîne en longueur, mieux ça vaut” à tout coup,La tête et le genou toujours plus raides,Sans enthousiasme, sans raillerieMédiocres sans rémission,Sans génie et sans esprit !

« Utilité » versus « volonté de puissance ». Sens et portée de l'anti-utilitarisme de Nietzsche

» [Nietzsche, Par-delà bien et mal, § 228] C’est sur ces mots que s’achève le seul aphorisme du corpus nietzschéen où apparaît nommément Bentham. Ils ne laissent à première vue pas l’ombre d’un doute quant au mépris de Nietzsche envers les utilitaristes, autant dire quant à son anti-utilitarisme. Cette diatribe, cependant, n’a que l’originalité de son expression dans la mesure où elle constitue en réalité quelque chose d’extrêmement banal, pour ne pas dire un lieu commun de son époque, qu’on trouve chez de nombreux romantiques français, anglais ou allemands [1]. La critique nietzschéenne de la métaphysique platonicienne - Mémoire.