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Technique

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Mobile World Congress 2010 : Orange Vallée lance "ON" | Presse-C. Le projet était en beta privée depuis plusieurs mois, couvé avec attention par Orange Vallée, le centre d’innovation et de développement d’Orange déjà à l’origine, entre autres, du Tabbee. « ON » a été annoncé et lancé officiellement le 16 février à Barcelone. Agissant comme une sorte d’agrégateur de contacts et de communications mobiles, ON est une Le projet était en beta privée depuis plusieurs mois, couvé avec attention par Orange Vallée, le centre d’innovation et de développement d’Orange déjà à l’origine, entre autres, du Tabbee. « ON » a été annoncé et lancé officiellement le 16 février à Barcelone. Agissant comme une sorte d’agrégateur de contacts et de communications mobiles, ON est une nouvelle application pour téléphone portable qui permet de faciliter la communication avec ses contacts, de façon simple et intuitive.

Personnalisable mais pas intrusif Une autre façon, transversale, de gérer ses relations avec sa communauté. Bootstrap. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Sur les autres projets Wikimedia : bootstrap, sur le Wiktionnaire En anglais, les bootstraps qui sont généralement traduits en français par "tirants de bottes", sont les boucles, en cuir ou en tissu, cousus sur le rebord des bottes et dans lesquels on passe les doigts ou qu'on tire pour s'aider à les enfiler. L’étymologie populaire prétend que le bootstrapping est censé faire référence aux aventures du baron de Münchhausen, qui se serait sorti d'un marécage en se soulevant par les tirants de bottes. Dans le roman de 1785, le baron se sort d'un marécage où il était embourbé rien qu'en se tirant par les cheveux (plus précisément, sa queue de cheval) et se propulsant ainsi dans les airs.

Cette expression imagée est notamment utilisée : Webschool de février à Orléans : comment gérer mes flux RSS et s. Groupware. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un groupware (ou collecticiel) on parle de TCAO est un type de logiciel qui permet à un groupe de personnes de partager des documents à distance pour favoriser le travail collaboratif. L'origine anglo-saxonne du terme Groupware est une extension de Hardware et Software, mais on utilise aussi CSCW (Computer-Supported Cooperative Work). En français le mot Collecticiel est recommandé, mais on utilise aussi logiciel de travail collaboratif ou logiciel de groupe. Vocabulaire et éléments de définition[modifier | modifier le code] L'Office québécois de la langue française recommande la traduction « collecticiel ». Éléments de définition : Ces difficultés de définitions révèlent l'aspect pluridisciplinaire du collecticiel, mais sans doute aussi les difficultés d'appropriation dans les entreprises.

Les objectifs des logiciels de groupe[modifier | modifier le code] Les différents types de groupe[modifier | modifier le code] Portail de l’informatique. Web 2.0. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cartographie sensible du web 2.0 L'expression « Web 2.0 » désigne l'ensemble des techniques, des fonctionnalités et des usages du World Wide Web qui ont suivi la forme originelle du web[1]. Elle concerne en particulier les interfaces permettant aux internautes ayant peu de connaissances techniques de s'approprier de nouvelles fonctionnalités du web. Les internautes peuvent d'une part contribuer à l'échange d'informations et interagir (partager, échanger, etc.) de façon simple, à la fois au niveau du contenu et de la structure des pages, et d'autre part entre eux, créant notamment le Web social[2].

L'internaute devient, grâce aux outils mis à sa disposition, une personne active sur la toile. L'expression « Web 2.0 » utilisée par Dale Dougherty (en) en 2003, diffusée par Tim O'Reilly en 2004 et consolidée en 2005 avec l'exposé de position « What Is Web 2.0 »[3] s'est imposée à partir de 2007. Présentation[modifier | modifier le code]

Web Semantique

Getting started with social software for learning. The world of social software is large, diverse and complex. There are a multitude of applications that sit within this space. Some of these are single purpose applications, such as Twitter, Wordpress, Google Docs, Google Reader etc. Some are multi-purpose, such as Facebook, Elgg and Moodle. This post is not about how to choose the right application. I wrote about that earlier this year (Top tips for choosing and using social software), and Jane Hart's directory of software is probably the most useful starting place. Instead, this post is about how to start making use of social software to support learning. I'm assuming that you have some responsibility for leading learning (whatever that means) in an organisation. You've recognised the value that the social element brings to learning.

You've now been charged with introducing these ideas into your organisation. Where do you start? Start with the person Social learning starts with the individual. It's all about syndication Start to contribute. Widget Traducteur automatique dans 51 langues avec Google Traduc. Boris Johnson to launch London 'Datastore' with hundreds of sets. The Mayor of London, Boris Johnson, will on Thursday launch a website hosting hundreds of sets of data - including previously unreleased information - about the capital, as part of a new scheme intended to encourage people to create "mashups" of data to boost the city's transparency and accountability.

Channel 4 will also be offering up to £200,000 through its 4ip fund to help develop the most innovative uses of the data. To announce the site, Johnson will take part in a live linkup on Thursday to the Consumer Electronics Show in Las Vegas with President Barack Obama's chief technology officer Aneesh Chopra, who has overseen the development of the US government's "data.gov" project, which aims to put all US government data onto the web for others to use. The London Datastore, as it is called, will be fully open from 29 January.

It will be the first such "datastore" for a city in the UK. Linked Data. An introductory overview of Linked Open Data in the context of cultural institutions. In computing, linked data (often capitalized as Linked Data) describes a method of publishing structured data so that it can be interlinked and become more useful. It builds upon standard Web technologies such as HTTP, RDF and URIs, but rather than using them to serve web pages for human readers, it extends them to share information in a way that can be read automatically by computers. This enables data from different sources to be connected and queried.[1] Tim Berners-Lee, director of the World Wide Web Consortium, coined the term in a design note discussing issues around the Semantic Web project.[2] Principles[edit] Tim Berners-Lee outlined four principles of linked data in his Design Issues: Linked Data note,[2] paraphrased along the following lines: All kinds of conceptual things, they have names now that start with HTTP.I get important information back.

Components[edit] European Union Projects[edit] Ouverture des données du web – dream Orange. L’Entreprise 2.0 démystifiée « La consultation et la gestion de. J’ai récemment terminé la lecture du livre Enterprise2.0 de Andrew McAffee et je vous le recommande fortement. C’est un livre bien écrit et simple qui explique clairement et démystifie ce qu’est l’entreprise 2.0 (Ent2.0). Voici ce que j’en ai retenu ainsi que mon opinion… L’Entreprise 2.0 se définit comme étant l’utilisation par une entreprise de Plateforme Applicative Sociale Émergente (traduction libre de Emergent Social Software Plaforms – ESSP), dans la poursuite de ses objectifs.

C’est simple n’est-ce pas? Oui et non. En premier lieu parce que bien que la définition mette l’emphase sur une l’utilisation d’une nouvelle technologie, le phénomène de l’entreprise 2.0 ne se limitent pas à sa dimension technologique. Concrètement, l’Ent2.0 c’est donc l’utilisation de blogues, de Wiki, d’application de microblogage (Twitter) et d’application de réseautage sociaux (Social Networking Software – SNS) dans le cadre des activités d’une entreprise. Les bénéfices de l’Ent2.o sont les suivants : Entreprise 2.0, collaboration et contraintes individuelles | Blo.

N’en déplaise à beaucoup, l’unité de base du travail est la tâche individuelle. Le quotidien du collaborateur est fait de tâches à effectuer. Et même dans le cadre du travail de groupe, du travail collaboratif. Le groupe ne délivre en effet que la somme de la tâches effectuées par ses membres. D’où l’importance de la coordination. Mettons nous à la place de l’individu face à une tâche à réaliser. S’il est en mesure de l’accomplir seul tout va bien. Dans un système traditionnel on est dans la difficulté.

Une première conclusion à ce point : l’individu part de lui, passe ensuite au groupe et ensuite aux réseaux/communautés. Une observation également : on est très « in the flow » ici. Mais cela nécessite un autre facteur : il faut que des communautés actives et pertinentes existent pour pouvoir mener la logique à son terme, pour permettre au collaborateur de passer en mode « réseau » lorsque le groupe montre ses limites. Vous vous demandez certainement où je veux en venir… Google+