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Ecologie

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Pesticides : le « gauchiste » de l’ONU qui a inspiré Marie-Monique Robin. C’est le rapporteur spécial des Nations unies sur le droit à l’alimentation qui le dit : l’agriculture industrielle n’est pas l’avenir. Et si « l’agroécologie pouvait nourrir le monde », comme l’affirme Marie-Monique Robin ? En sous-titre de son nouveau film « Les Moissons du futur », Marie-Monique Robin, l’auteure du « Monde selon Monsanto », proclame : « Comment l’agroécologie peut nourrir le monde ». Une affirmation osée tant cette discipline, mélange d’agronomie et d’écologie, est peu connue et tant il peut paraître prétentieux de remplacer l’agriculture traditionnelle.

Ce film, diffusé sur Arte mardi 16 octobre à 16h55 et 20h50, et le livre qui l’accompagne sont construits en pied de nez à l’industrie agroalimentaire, qui ne cesse de menacer : « Si on supprime les pesticides, on ne pourra pas nourrir le monde. » Bousculer le système représenté par l’OMC Bande-annonce de « Les Moissons du futur » de Marie-Monique Robin Olivier de Schutter (DR) Comment discutez-vous avec l’OMC ?

OGM : comment une étude bidonnée par Monsanto a été validée par les autorités sanitaires - Santé publique. Photo : source Avant d’être commercialisés, les OGM sont-ils vraiment évalués avec la plus grande rigueur scientifique, comme leurs promoteurs le prétendent ? Toute entreprise sollicitant une autorisation de mise sur le marché de son OGM doit produire une évaluation censée démontrée que sa semence transgénique est inoffensive. Ces analyses sont réalisées par des laboratoires que les entreprises de biotechnologie rémunèrent directement.

Les autorités sanitaires qui étudient ensuite le dossier, comme l’Agence européenne de sécurité des aliments (EFSA [1]), ne disposent ni de temps ni de crédits pour pratiquer leurs propres analyses. Elles se contentent donc de lire le dossier de l’entreprise et la littérature scientifique sur le sujet. D’un côté, la firme est juge et partie. Que doivent évaluer les experts ? Le Mon810 « aussi sûr » qu’un grain de maïs conventionnel ? Problème : sur quels éléments démontrés scientifiquement repose cette affirmation ? Des extrapolations pas très scientifiques. Fresh (2009 film) Fresh is a 2009 documentary film directed by Ana Sofia Joanes. The film focuses on sustainable agriculture, and depicts farmers, activists and entrepreneurs who are changing America's food system. Jeannette Catsoulis of The New York Times noted that the film "casts a sympathetic eye on farmers under contract to the giants of agribusiness," and is "less judgemental" and "more folksy in tone than the recent Food, Inc..

La production d’hydrogène accessible à bas coût. Avec la découverte d’un nouveau catalyseur à prix abordable, les chercheurs de l’université de Cambridge ont fait le premier pas vers l’industrialisation de la production d’« hydrogène vert » à partir d’eau. L’origine renouvelable de ce gaz pourrait renforcer les bénéfices écologiques des véhicules électriques équipés d’une pile à combustible. Le principal obstacle au développement des technologies basée sur l’utilisation de l’hydrogène est sa production qui reste aujourd’hui essentiellement basée sur les énergies fossiles, fortement émettrices de CO2.

De plus, afin que l’électrolyse de l’eau puisse être industrialisable, ce procédé doit fonctionner sous des conditions atmosphériques bien spécifiques : pression de 1bar, température ambiante, pH neutre, et forte concentration d’oxygène provenant de l’air. Aucun catalyseur fonctionnant dans ces conditions avec une efficacité et des coûts satisfaisants n’avait encore été trouvé à l’heure actuelle. Illustration : © university of cambridge. Graines rares et anciennes : Kokopelli condamné, la biodiversité en danger | Rue89 Planète. Tribune Vous ne le savez peut-être pas, mais en Europe, il n’est plus possible de vendre des semences anciennes, rares, originales.

Seuls les produits standardisés, formatés, homogènes sont autorisés. J’exagère ? Jugez plutôt. L’association Kokopelli a été condamnée à payer à l’entreprise Graines Baumaux 100 000 euros de dommages-intérêts pour concurrence déloyale. Cet arrêt a été rendu le 12 juillet dernier par la Cour de justice de l’Union européenne. Depuis dix ans, l’association distribue plus de 2 200 variétés de plantes potagères, céréalières, médicinales, condimentaires, ornementales et une gamme de variétés très peu cultivées, peu connues, voire en voie de disparition.

Selon la Cour de justice de l’Union européenne, le catalogue officiel est la norme. Logique productiviste Cette vision des choses me pose un réel problème. Même économiquement, je doute qu’il y ait une réelle viabilité à restreindre le nombre de semences et, par conséquent, le « champ » commercial. Je lui demande : Nos Enfants Nous Accuseront. Nouveau danger découvert au réacteur 4 de Fukushima 1/2 - 25.05.2012. La Suède recycle si bien qu'elle doit importer des ordures !, NR. Les Suédois sont les as du recyclage : ils recyclent avec une telle efficacité que leurs usines d’incinération ont besoin d’importer de déchets. La Suède est confrontée à un drôle de problème : elle est tellement fortiche en recyclage qu'elle manque d'ordures, matière combustible utilisée pour fabriquer de l'énergie. En Suède, le programme de réutilisation des déchets ménagers rencontre un succès phénoménal. 96 % des déchets sont effectivement recyclés.

Reste seulement 4% pour fournir énergie électrique et chaleur dans un pays où il fait souvent frisquet. Trop peu pour engraisser suffisamment les ventres des incinérateurs et apporter l'électricité dans 250 000 foyers. « Nos capacités (de retraitement) sont plus importantes que notre production de déchets », explique Catarina Oslund, de l’Agence suédoise de protection de l’environnement. Qu'à cela ne tienne, la Suède a trouvé la solution : importer les ordures.

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