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OGM : comment une étude bidonnée par Monsanto a été validée par les autorités sanitaires - Santé publique

OGM : comment une étude bidonnée par Monsanto a été validée par les autorités sanitaires - Santé publique
Photo : source Avant d’être commercialisés, les OGM sont-ils vraiment évalués avec la plus grande rigueur scientifique, comme leurs promoteurs le prétendent ? Toute entreprise sollicitant une autorisation de mise sur le marché de son OGM doit produire une évaluation censée démontrée que sa semence transgénique est inoffensive. Ces analyses sont réalisées par des laboratoires que les entreprises de biotechnologie rémunèrent directement. Les autorités sanitaires qui étudient ensuite le dossier, comme l’Agence européenne de sécurité des aliments (EFSA [1]), ne disposent ni de temps ni de crédits pour pratiquer leurs propres analyses. Que doivent évaluer les experts ? Le Mon810 « aussi sûr » qu’un grain de maïs conventionnel ? Concernant son maïs Mon810, Monsanto a affirmé en 2007 : « Comme il a été démontré dans ce dossier de renouvellement d’autorisation, Mon810 est équivalent à un maïs conventionnel à l’exception de sa protection contre certains papillons parasites ». Conflits d’intérêts Related:  Evaluations habituelles défaillantes

Quatre agences européennes épinglées pour conflits d’intérêts | De l’intérêt du conflit Jeudi 11 octobre, un rapport d’audit de la Cour des comptes européenne montre de graves conflits d’intérêts au sein d’instances communautaires cruciales dans la protection de la santé et de la sécurité alimentaire. La Cour épingle sévèrement quatre agences européennes de régulation pour leur mauvaise gestion des conflits d’intérêts. Sans surprise, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) est en tête du tableau, en particulier pour les liens étroits que certains de ses experts entretiennent avec l’International Life Science Institute (ILSI), le lobby des géants de l’agroalimentaire (Monsanto, Unilever, Syngenta, Bayer, Nestlé...). L’ILSI est au cœur de plusieurs scandales de conflits d’intérêts, dont le dernier en date remonte à mai 2012 quand Diana Banati, présidente de l’EFSA, fut contrainte de démissionner en raison de ses liens dévoilés avec le lobby. « Aucune agence ne gère les situations de conflit d’intérêts de manière appropriée. » Des lacunes aberrantes

MONSANTO : Comment piéger les journalistes crédules – même de Médiapart ? Le SMC propose une liste qui paraît tout à fait objective et est intitulée : « Réactions d’experts à propos du maïs GM provoquant des tumeurs » . Huit scientifiques sont cités et réagissent à l’étude de Séralini et on y trouve aussi 10 contre-arguments dont l’auteur n’est pas cité. Sans aucune surprise, toutes les réactions rejettent l’étude de Séralini. D’après Spinwatch , 70% de tout l’argent reçu par le SMC viendrait de l’industrie et la liste des donateurs comprend presque tous les grands de l’industrie des biotechnologies. Cette opération de désinformation semble avoir bien marché puisque les trois citations critiques mentionnées par Reuters contre l’étude de Séralini proviennent de personnes (Tony Sanders, Mark Tester, David Spiegelhalter) qui sont sur la liste qu’a fait circuler le SMC. Médiapart a publié le 22 septembre un article intitulé "OGM : une étude fait beaucoup de bruit pour presque rien" se référant, à notre grand étonnement largement au SMC.

Grève Générale Illimitée - 14 novembre 2012 Les politiques n’aiment pas les initiatives venant du Peuple ! Il est facile de renoncer à tout parce qu’on ne peut pas réussir du premier coup mais faut-il continuer à renoncer à ses droits et à sa dignité, à se soumettre, à se donner des coups de pieds tout seul, à agir comme des pleutres, se plaindre et dire que c’est toujours la faute des autres ? La solution contre les médias achetés est de faire voir à ces mêmes médias que le peuple est décidé à prendre les choses en main et qu’il a son projet : Le serment Citoyen Démocrate Libre et digne que voici. Sortez le ! Il n’y a pas meilleure arme pour attendre les politiques et leurs comparses, les banquiers, les multinationales et les entrepreneurs voyous ! Après seulement, vous pourrez en tirer les conséquences et améliorer les choses. SERMENT DE CITOYEN DEMOCRATE LIBRE ET DIGNE Les dix volontés Considérant que : Si dans l’honneur et la dignité je remplis ce serment, jouir heureusement de la vie sera mon but.

OGM : l’Allemagne recale l’étude Séralini OGM : comment mettre fin à l’irresponsabilité organisée ? | De l’intérêt du conflit Imaginez que les entreprises pharmaceutiques empêchent des chercheurs d’évaluer les effets secondaires de leurs médicaments au motif qu’ils sont protégés par le « secret industriel » d’un brevet, le scandale serait assuré. Pourtant, dans l’évaluation sanitaire des OGM et des pesticides, c’est la norme. Depuis la présentation de son étude sur un OGM et son herbicide associé, l’équipe du professeur Séralini, de l’université de Caen, réclame la « fin du secret industriel sur les évaluations d’OGM » et demande de rendre publiques « les données brutes ayant servi à l’évaluation du Roundup », mais aussi des maïs transgéniques MON810 et NK603 commercialisés en Europe par Monsanto. Le Pr Séralini tonne : « Nous ne parviendrons pas à apaiser le débat sans mettre sur la table l’ensemble des analyses qui ont permis l’autorisation de ces produits. » 99% des substances chimiques non évaluées Pour Corinne Lepage : « Une irresponsabilité organisée » Pourtant, les comportements ont du mal à changer.

COMBAT MONSANTO De hauts responsables évoquent une guerre si l’euro sombrait De hauts responsables évoquent une guerre si l’euro sombrait Pointant le risque d’un conflit armé, le ministre anglais du Commerce Vincent Cable, a évoqué ce week-end des conséquences "absolument incalculables" pour le Vieux continent en cas de faillite de la monnaie unique. Des propos qui se situent dans le sillage de ceux de Christine Lagarde, qui a jugé la semaine dernière que la dette des pays riches avoisinait les niveaux atteints "en temps de guerre". Il tire la sonnette d’alarme. Alors que la semaine dernière, tous les dirigeants européens se sont félicités de l’attribution du Nobel de la paix à l’UE, Vincent Cable, lui, nage à contre-courant. Dans un discours au Cheltenham Literature Festival ce dimanche, le ministre britannique du commerce a jugé que les conséquences d’une faillite de l’euro seraient "absolument incalculables" pour le Vieux continent. Le ministre n’y est pas allé de main morte. Sources : La Tribune / Le Journal du Siècle Like this: J'aime chargement…

Une autre défaîte pour Monsanto Va-t-on finir par avoir cette pourriture ? Il y a de l'espoir... Monsanto perd du terrain – un groupe d'Afrique du sud appelle à une interdiction de céréales OGM Anthony GucciardiNaturalSociety30 Septembre 2012 Sur la lancée de nations comme la France et la Russie, l'Afrique du sud pourrait bien être dans peu de temps la toute dernière nation à formuler une interdiction du maïs OGM de Monsanto, récemment relié au développement de tumeurs et à des lésions d'organes chez les rats. C'est particulièrement important pour l'Afrique du sud car le maïs blanc est un aliment de base très important, constituant à lui tout seul jusqu'à 80 % de la récolte de l'année passée. ''Nous exhortons vivement le gouvernement sud-africain à faire les démarches nécessaires pour protéger ses citoyens.'' Elle a aussi corroboré une recherche des plus approfondie sur les effets prolongés des OGM et du Roundup sur les rats. Comme on s'y attendait, Monsanto n'a pas pris ces nouvelles à la légère. Traduit par Hélios

OGM et étude de Séralini mise en doute : l'EFSA est une agence qui s'auto-protège Pour l'autorité européenne de sécurité des aliments, "il est peu probable que l'étude [de Séralini] se révèle fiable" (CRIIGEN/AFP) La vraie question n’est pas celle de l’étude de Gilles-Eric Séralini, c’est celle de la responsabilité croissante de l’autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA). Pourquoi ? Un organisme à faible légitimité D’abord parce qu’un pré avis rendu par des fonctionnaires de l’EFSA et relu par seulement deux scientifiques, sans aucun débat contradictoire, n’est pas admissible sur le plan déontologique. Ensuite et surtout parce que les critiques sur la méthodologie suivie par l’étude Séralini, à savoir le nombre d’animaux testés, devraient avant tout être adressées à toutes les études que l’EFSA a validé sans exception depuis 10 ans ; qu’en particulier, l’étude de Séralini n’est pas une étude de cancérogénèse mais toxicologique. L'EFSA ne remplit pas son rôle

Monsanto, 50 ans de scandales sanitaires Malgré des condamnations à répétition, rien n'arrête la croissance du géant américain des phytosanitaires. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Soren Seelow La condamnation, lundi 13 février, du géant américain de l'agroalimentaire Monsanto, poursuivi par un petit agriculteur charentais intoxiqué par un herbicide, est une première en France. A l'échelle de l'histoire de la multinationale, centenaire, cette condamnation ne constitue qu'une péripétie judiciaire de plus dans un casier déjà très chargé. PCB, agent orange, dioxine, OGM, aspartame, hormones de croissance, herbicides (Lasso et Roundup)… nombre de produits qui ont fait la fortune de Monsanto ont été entachés de scandales sanitaires et de procès conduisant parfois à leur interdiction. Un géant de la chimie… explosif Depuis sa création en 1901 à Saint-Louis, le petit producteur de saccharine devenu un des principaux semenciers de la planète n'a cessé de défrayer la chronique. PCB : le procès de la honte Monsanto a fait appel.

Visions CSFA- Tribune de Mr Mondialisation : Le changement, ce n’est pas « maintenant » mais « depuis toujours ». On s’interroge souvent sur nos conditions dans la société actuelle. La plupart d’entre-nous sont nés avec l’enseignement des droits de l’Homme, de la démocratie moderne, de l’Histoire (souvent chaotique) que l’humanité a écrite au cours des siècles précédents… On y cherche des solutions pour rendre réelle l’égalité des droits, des chances, des libertés, des moyens pour chaque citoyen. On va dire, c’est pas nouveau, ça fait des siècles que des humains se battent pour transformer « positivement » la société dans laquelle ils vivent. Il n’y a pas que les guerres et les révolutions qui induisent le changement. Ce fameux courant est né de ceux qu’on appelle « les bohèmes ». À notre époque, il est possible de ne pas être « fils de bourgeois » et malgré tout, de vivre en marge de la société. Pourquoi parler de « hackers » ? Dans leurs valeurs fondamentales, les hackers résolvent des problèmes, construisent des choses et croient à la liberté et à l’entraide volontaire. question.

UN NOUVEAU LIVRE DÉNONCE L'AGRICULTURE ET DONNE L'ALERTE À TOUS LES FUTURS CANCÉREUX QUE NOUS SOMMES ! www.notre-planete.info : environnement, développement durable et sciences de la Terre Vous recevez cette alerte car votre navigateur Internet bloque les publicités Malheureusement, la publicité nous est indispensable pour faire vivre ce média web et ses auteurs qui sont 100% indépendants autant moralement que financièrement.Si vous bloquez notre seul moyen de revenu qui reste discret, notre-planete.info est condamné à disparaître au profit de sites soutenus par des grands groupes financiers ou des lobbys. Vous n'aimez pas la publicité ? Nous non plus ! Mais c'est notre seul moyen d'exister tout en proposant un contenu original et gratuit. Pour visualiser la page demandée, merci de : Puis de copier-coller l'URL ci-dessous de la page que vous souhaitiez visualiserdans la barre d'adresse de votre navigateur : Procédure à suivre en fonction de votre navigateur Internet : Sous Internet Explorer Sous Firefox Sous Chrome Vous n'y parvenez pas ?

Comment le test sur les rats échoue à protéger les hommes LE MONDE | • Mis à jour le | Par Stéphane Foucart S'agit-il des "bons rats" ? L'étude controversée de Gilles-Eric Séralini (université de Caen, Criigen) sur la toxicité du maïs génétiquement modifié NK603 et de son herbicide-compagnon, le Roundup, a soulevé de nombreuses discussions sur le type de rongeurs utilisés dans l'expérience. Entre autres choses, l'"affaire Séralini" illustre les limites de l'évaluation des risques toxiques, telle que menée aujourd'hui sur les animaux de laboratoire. L'intérêt est donc de se passer d'animaux de laboratoire. Pour illustrer ce fait, le toxicologue Thomas Hartung, professeur à la Johns Hopkins University de Baltimore, dont il dirige le Centre de recherche pour les alternatives aux tests animaux (CAAT), prend l'exemple de l'aspirine. A l'inverse, la thalidomide – prescrite comme antinauséeux aux femmes enceintes dans les années 1950 – avait été testée sur le rat sans montrer d'effets tératogènes, responsables de malformations de l'embryon.

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