Le training autogène de Schultz. Sommaire La méthode Ca commençait toujours de la même façon : des battements cardiaques en crescendo, les paumes des mains qui se mettent à coller, la crise de larmes à fleur de peau… Ariane s’en souvient : lorsqu’elle tirait trop sur la corde, qu’elle cumulait près de soixante heures de présence au bureau dans la semaine, c’était la crise de stress assurée. « Je ne dis pas que je ne suis plus anxieuse aujourd’hui, mais je sais que je peux gérer mes trop-pleins émotionnels, explique-t-elle.
Grâce au training autogène, j’ai appris à me détendre quand je veux et donc à prendre du recul, même au boulot. » Fini le temps où cette directrice artistique fermait la porte de son bureau « dix minutes pour pleurer comme une gamine ». 10 distorsions cognitives qui entretiennent des émotions négatives. Le terme distorsion cognitive a été introduit en 1967 par le psychiatre américain Aaron T.
Beck, pionnier de la psychothérapie cognitivo-comportementale. Selon son modèle, les distorsions cognitives sont des façons de traiter l'information qui résultent en erreurs de pensée prévisibles ayant souvent pour conséquence d'entretenir des pensées et des émotions négatives. Elles contribuent ainsi aux troubles émotionnels tels que la dépression et l'anxiété ainsi qu'aux troubles de la personnalité. Dans son travail avec des personnes atteintes de dépression, Beck a identifié six erreurs systématiques de pensée : Une technique mentale efficace pour se libérer de l'anxiété chronique en moins d'un mois.
Ref à lire. Top five regrets of the dying. There was no mention of more sex or bungee jumps.
A palliative nurse who has counselled the dying in their last days has revealed the most common regrets we have at the end of our lives. And among the top, from men in particular, is 'I wish I hadn't worked so hard'. Bronnie Ware is an Australian nurse who spent several years working in palliative care, caring for patients in the last 12 weeks of their lives. She recorded their dying epiphanies in a blog called Inspiration and Chai, which gathered so much attention that she put her observations into a book called The Top Five Regrets of the Dying.
Ware writes of the phenomenal clarity of vision that people gain at the end of their lives, and how we might learn from their wisdom. Here are the top five regrets of the dying, as witnessed by Ware: 1. "This was the most common regret of all. 2. "This came from every male patient that I nursed. 3. "Many people suppressed their feelings in order to keep peace with others. 4. 5.
La médecine ne doit plus séparer le corps et l’esprit. Et si nos émotions étaient autant de messages envoyés par notre corps ?
Négatives, lorsque notre équilibre physiologique est mis à mal, positives lorsque nous sommes en harmonie ? C’est la thèse révolutionnaire dont ont débattu Antonio Damasio, neurologue, auteur de “Spinoza avait raison”, et David Servan-Schreiber, psychiatre. David Servan-Schreiber David Servan-Schreiber, neuropsychiatre, professeur clinique de psychiatrie à l’université de Pittsburgh, aux Etats-Unis, chargé de cours à la faculté de médecine de Lyon-I, est également un de nos chroniqueurs.
Dans son best-seller Guérir le stress, l’anxiété et la dépression sans médicament ni psychanalyse (Robert Laffont, 2003), il propose sept méthodes naturelles de traitement qui constituent une « nouvelle médecine des émotions. » Professeur de neurologie de renommée internationale, Antonio Damasio était de passage à Paris pour une série de conférences au Collège de France.
Antonio Damasio : Oui. Comprendre la phénoménologie. Entretien : Boris Cyrulnik - Éloge de la peur. Nouvelles Clés : Commençons par le règne animal...
Bien-être et santé par la nature. Nicolas Guéguen Docteur en psychologie Arbres, fleurs, soleil, nous entourent au quotidien mais nous n'imaginons pas à quel point ils jouent un rôle dans notre vie.
La nature pour se ressourcer. Se balader en forêt, contempler un jardin, cultiver la terre, partir dans le désert, à chaque fois ces moments nous permettent de nous ressourcer.
Pourquoi avons-nous tant besoin de ce contact avec la nature ? Explications. © â–ºCubaGallery Les Japonais s'adonnent avec passion au shinryoku, « la balade en forêt ». Ils ne sont pas les seuls. La psychologie, qui s'intéresse à l'humain dans sa singularité, mais aussi à ses interactions familiales et sociales, s'est dotée d'une nouvelle orientation au début des années 1990 : l'écopsychologie. . « Des travaux ont ainsi montré que des salariés dont la fenêtre donne sur des arbres et des fleurs estiment leur travail moins stressant que ceux qui ont une vue sur des constructions urbaines », précise Nicolas Guéguen, professeur en sciences du comportement à l'université Bretagne-Sud et auteur avec Sébastien Meineri de Pourquoi la nature nous fait du bien (Dunod, 280 p., 16,90 €).
Renouer avec des images de notre univers primitif D'autres ont aimé... Comment transformer l'enfer en paradis ? Vous n’aimez pas votre boulot ?
Vous prenez mal les remarques de votre boss ?