background preloader

Autres réseaux

Facebook Twitter

3 réseaux sociaux qui donnent de la voix. Après le texte, la photo et la vidéo, les réseaux sociaux redécouvrent le médium universel pour échanger entre humains: la voix. Plusieurs services existent qui permettent ainsi d’enregistrer des petites bulles sonores que l’on peut facilement publier et partager. Voici trois d’entre eux. Trois réseaux sociaux qui portent votre voix sur le web social. Yappie Un projet né à Londres et dont on parle beaucoup. Bubbly Bubbly vous propose de partager votre voix avec le monde.

Bobler Bobler est le régional de l’étape, ce projet né en France est une jeune pousse fort prometteuse. Learn about easy, free and safe text messaging for teachers with Remind (formerly Remind101) 3 réseaux sociaux pour apprendre une langue étrangère. Une des difficultés pour apprendre une langue étrangère c’est de la pratiquer couramment pour gagner en fluidité, parler avec naturel. Le web et les outils en ligne ont changé la donne en permettant de s’entrainer à tout moment de la journée, chez soi ou en déplacement, le jour comme la nuit. Pour pratiquer une langue avec des natifs d’un pays il y a aussi les réseaux sociaux.

En voici trois. Trois réseaux sociaux dédiés à l’apprentissage et à la pratique d’une langue étrangère. Tous les trois permettent de s’inscrire gratuitement et de créer des groupes pour des échanges. Busuu C’est une des plus importantes ressources en ligne pour apprendre une langue étrangère. LiveMocha Livemocha annonce 16 millions d’utilisateurs pour un réseau social qui permet de contacter des personnes parlant 35 langues étrangères différentes. Italki Le troisième larron de cette liste propose une vaste salle de cours virtuelle. Sur le même thème. Tutos Lettres's post on Vine. Inscription.

Respire - Le réseau social de l'innovation pour les professionnels de l'éducation. KissKissBankBank. Moissonner le web avec Outwit - Le blog d'Olivier Ezratty. Le web, ses sites et les moteurs de recherche ont une particularité : ils présentent des tonnes d’information, mais en général, faiblement structurées.

La couche de présentation “web/HTML” détruit la structure originelle des informations, très souvent stockées dans des bases de données. Il en résulte des silos de données disparates difficiles à exploiter. Pourtant, des trésors d’informations sont disponibles qui pourraient être mieux exploitées : données financières, listes diverses, comparaisons de prix, listes d’objets à vendre, etc. Cela fait des années que les chercheurs et spécialistes des standards du web cherchent une réponse. Elle s’appelle le plus souvent “web sémantique”, voire “web services”. Les “services web” permettant quant à eux d’interroger les sites à partir de logiciels, comme si on interrogeait une base de données (pour faire simple), ne se sont pas plus généralisés. Résultat, le web sémantique est pour l’instant dans les limbes. L’équipe Le produit Les utilisateurs. Paper.li - Vous êtes le red-en-chef. Foursquare.

Ma-residence.fr.