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Ergonomie

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Human factors and ergonomics. Human factors and ergonomics (HF&E), also known as comfort design, functional design, and user-friendly systems,[1] is the practice of designing products, systems or processes to take proper account of the interaction between them and the people who use them. The field has seen contributions from numerous disciplines, such as psychology, engineering, biomechanics, industrial design, physiology and anthropometry. In essence, it is the study of designing equipment and devices that fit the human body and its cognitive abilities. The two terms "human factors" and "ergonomics" are essentially synonymous.[2][3][4] The International Ergonomics Association defines ergonomics or human factors as follows:[5] HF&E is employed to fulfill the goals of occupational health and safety and productivity.

It is relevant in the design of such things as safe furniture and easy-to-use interfaces to machines and equipment. Etymology[edit] Domains of specialization[edit] Physical ergonomics[edit] In aviation[edit] Ergonomie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’ergonomie est « l'étude scientifique de la relation entre l'homme et ses moyens, méthodes et milieux de travail[1] » et l'application de ces connaissances à la conception de systèmes « qui puissent être utilisés avec le maximum de confort, de sécurité et d'efficacité par le plus grand nombre[2]. » Les ergonomes, praticiens de l'ergonomie, contribuent au développement des entreprises, institutions, associations pour les rendre plus performantes, notamment par la prise en compte du fonctionnement humain et des exigences concrètes des situations de travail, de vie et d'usage dans les choix de conception retenus (organisationnels, techniques, de formation, etc.).

Cette performance s'exprime sous plusieurs aspects : qualité des biens et/ou services produits, efficacité et efficience, fiabilité, développement de la santé, sécurité, etc.). Les ergonomes peuvent être sollicités dans différentes configurations. Liste non exhaustive. What is ergonomics? Let’s start with terminology… Are ergonomics and human factors the same thing?

Essentially yes, they are different terms with the same meaning but one term may be more in favour in one country or in one industry than another. They can be used interchangeably but it’s pretty cumbersome to read “ergonomics and human factors”, so throughout this website we’ve used whichever of the two terms is more often used in that context. So what is ergonomics (or human factors)? Ergonomics is about designing for people, wherever they interact with products, systems or processes. We usually don’t notice good design (unless perhaps, it’s exceptional) because it gives us no cause to, but we do notice poor design. Researchers study the biomechanical, physiological and cognitive effects of work on people, or users’ understanding of processes, or the efficiency of systems. See examples and more explanation in our information about careers in ergonomics and human factors. Interactions homme-machine.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les interactions homme-machine (IHM) définissent les moyens et outils mis en œuvre afin qu'un humain puisse contrôler et communiquer avec une machine. Les ingénieurs en ce domaine étudient la façon dont les humains interagissent avec les ordinateurs ou entre eux à l'aide d'ordinateurs, ainsi que la façon de concevoir des systèmes qui soient ergonomiques, efficaces, faciles à utiliser ou plus généralement adaptés à leur contexte d'utilisation.

L'amélioration de l'ergonomie de l'interface homme-machine a notamment pour objectif d'optimiser l'aménagement du poste de travail et de limiter ainsi les risques du travail sur écran (troubles musculosquelettiques, fatigue oculaire, syndrome d'épuisement professionnel, stress, stress numérique...)[1]. Les différentes techniques[modifier | modifier le code] Une IHM ancienne : à chaque mécanisme son contrôle. Informatique[modifier | modifier le code] Organes d'entrée[modifier | modifier le code]

Effet Hawthorne. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'effet Hawthorne ou expérience Hawthorne, décrit la situation dans laquelle les résultats d'une expérience ne sont pas dus aux facteurs expérimentaux mais au fait que les sujets ont conscience de participer à une expérience dans laquelle ils sont testés, ce qui se traduit généralement par une plus grande motivation. Cet effet tire son nom des études de sociologie du travail menées par Elton Mayo, Fritz Roethlisberger et William Dickson dans l'usine Western Electric de Cicero, la Hawthorne Works, près de Chicago de 1924 à 1932. Cet effet psychologique est à rapprocher de l'effet Pygmalion, que l'on observe chez des élèves dont les résultats s'améliorent du simple fait que le professeur attend davantage d'eux.

On peut aussi le rapprocher de l'effet placebo[1]. Toutefois dans l'effet Placebo l'amélioration ne dépend que de la perception du sujet. Début des expériences[2][3][modifier | modifier le code] Les économistes John A. Charge cognitive. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La charge cognitive est une théorie développée par John Sweller (en) et Fred Paas qui explique les échecs ou les réussites des personnes essentiellement en activité d'apprentissage mais aussi en activité de résolution de problème. La théorie de la charge cognitive met en jeu la capacité de stockage d'informations en mémoire de travail et l'intégration de nouvelles informations. Elle est utile aux enseignants et pédagogues, et leur donne des conseils facilement applicables en situation d'apprentissage. Théorie[modifier | modifier le code] Mémoire de travail[modifier | modifier le code] La mémoire de travail ne peut gérer qu'un nombre limité d'informations à la fois, le nombre habituellement avancé étant de 3 à 4 informations.

Schémas mentaux[modifier | modifier le code] Si la mémoire de travail ne peut traiter que trois données simultanément, la taille de ces données n'est, semble-t-il, pas limitée. Modality effect[modifier | modifier le code] Hygiénisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le mot hygiénisme est aussi utilisé pour désigner une médecine non conventionnelle se basant sur les théories de l’hygiène vitale. Fréquemment utilisé dans une acception généraliste, l’hygiénisme désigne un courant du milieu du XIXe siècle qui, selon Georges Vigarello, se base sur « le principe nouveau de rentabilité « combustive » [pour réorienter] les valeurs données à la nourriture, aux boissons, à l’air respiré, au travail, au repos, à la propreté d’un corps censé laisser pénétrer l’oxygène par la peau[1] ».

L'hygiénisme s'est ensuite appuyé sur les découvertes de Louis Pasteur en 1865, et de ce fait sur le rôle des bactéries et des micro-organismes dans la contamination des maladies humaines. Applications[modifier | modifier le code] La doctrine hygiéniste a révolutionné l’ensemble des sociétés occidentales tant ses applications sont variées : médecine, architecture, urbanisme, crémation, etc. Voir aussi[modifier | modifier le code] Sébastien Le Prestre de Vauban. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sébastien Le Prestre, marquis de Vauban ( - ) est un ingénieur, architecte militaire, urbaniste, ingénieur hydraulicien et essayiste français. Il est nommé maréchal de France par Louis XIV. Vauban préfigure, par nombre de ses écrits, les philosophes du siècle des Lumières. Comme le souligne Fontenelle dans l'éloge funèbre prononcé devant l'Académie, Vauban a une vision scientifique, sinon mathématique de la réalité et en fait un large usage dans ses activités.

Expert en poliorcétique (c'est-à-dire en l'art d'organiser l'attaque ou la défense lors du siège d'une ville, d'un lieu ou d'une place forte), il donne au royaume de France une « ceinture de fer » pour faire de la France un pré carré — selon son expression — protégé par une ceinture de citadelles. Il conçoit ou améliore une centaine de places fortes. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance[modifier | modifier le code] Au service du roi[modifier | modifier le code] 1673. . - Phase 1. Jacques Vaucanson. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jacques Vaucanson Jacques Vaucanson[1][réf. incomplète], né le à Grenoble et mort le à Paris, est un inventeur et mécanicien français. Il a inventé plusieurs automates. Biographie[modifier | modifier le code] Le mécanisme du canard mécanique de Vaucanson. Jacques Vaucanson est le dixième enfant d’une famille de gantiers de Grenoble.

Il commence par réparer les horloges et les montres de son quartier. Il tente de reproduire mécaniquement les principales fonctions de l’organisme humain, encouragé par les chirurgiens Claude-Nicolas Le Cat et François Quesnay qui souhaitent de cette façon mieux comprendre ces fonctions. À partir de 1733 ou 1735 et jusqu’en 1737 ou 1738, il construit son premier automate, le flûteur automate, qui joue de la flûte traversière. Son deuxième automate est lui aussi un joueur de flûte et de tambourin, de taille humaine, habillé en berger provençal.

Œuvre[modifier | modifier le code] Hommages[modifier | modifier le code] Joseph Marie Jacquard. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Jacquard. Joseph Marie Jacquard Statue de Jacquard place de La Croix-Rousse à Lyon (4°arrondissement) . Joseph Marie Charles dit Jacquard, né le à Lyon, mort le à Oullins, est un inventeur français, à qui l'on doit le métier à tisser semi-automatique. Biographie[modifier | modifier le code] Fils d'un maître-fabricant en soie, il exerce de nombreuses professions dont certaines sont liées à la soie, mais également à l'imprimerie. Le 12 avril 1805, Napoléon rencontre Joseph Jacquard lors d'un séjour à Lyon. Amélioré par Jean-Antoine Breton en 1806 et 1817, le métier connaît un succès international (certains sont encore utilisés de nos jours). Le 16 août 1840 fut inaugurée, place Sathonay à Lyon, une statue en son honneur, faite en bronze.

Le métier Jacquard, qui a inspiré Charles Babbage, est souvent présenté comme l'un des ancêtres de l'ordinateur. Hommages[modifier | modifier le code] Liste d'inventeurs. Productivisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Apparu au début du XXe siècle, le productivisme se définit selon le Dictionnaire historique de la langue française comme « un système d'organisation de la vie économique dans lequel la production est donnée comme objectif premier ». Il ne doit pas être confondu avec la recherche de la productivité. Le développement technique industriel tend à accroître la production de façon considérable depuis la révolution industrielle.

Le productivisme a été longtemps accepté par l'ensemble des acteurs politiques, aussi bien dans les pays soviétiques que les pays occidentaux. Dans ces deux options économiques et politiques, la personne productiviste perçoit l'accroissement de la production humaine comme la voie naturelle de l'Humanité au sens où elle est complètement liée à la notion de « progrès » (Max Weber donne des éléments sur les origines de cette manière de concevoir la société humaine). Néanmoins, celui-ci reste très prégnant dans les esprits.

Hippocrate. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Hippocrate de Cos - Ἱπποκράτης Compléments Cependant, les œuvres des écrivains du corpus, des praticiens de la médecine hippocratique et les actions d'Hippocrate lui-même sont souvent confondues. On sait très peu de choses sur la vie d'Hippocrate, sa pensée et ses écrits. Néanmoins, Hippocrate est couramment décrit comme le parangon du médecin de l’Antiquité. En particulier, il est généralement admis qu’il a fait considérablement avancer l'étude systématique de la clinique médicale en compilant la somme des connaissances médicales des écoles précédentes et en instituant des règles éthiques pour les médecins à travers le serment d'Hippocrate et d'autres travaux[1],[3]. Biographie[modifier | modifier le code] D'autres renseignements biographiques sont apocryphes et sujets à caution[4].

Théorie hippocratique[modifier | modifier le code] La médecine hippocratique et sa philosophie sont très éloignées des orientations de la médecine moderne. Xénophon. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Xénophon - Ξενοφῶν Xénophon Œuvres principales Xénophon (en grec ancien Ξενοφῶν / Xenophōn) est un philosophe, historien et chef militaire de la Grèce antique né à Erchia près d'Athènes [4] vers 445, mort vers 354 avant notre ère. Esprit éclectique, il a beaucoup écrit. Biographie[modifier | modifier le code] Xénophon à 15 ans et Socrate par Raphaël Athènes[modifier | modifier le code] Appelé à la cour du jeune Cyrus par son général Proxène de Thèbes, il est engagé à son insu dans l’expédition de Cyrus le Jeune contre son frère Artaxerxès II (-400).

La retraite des Dix Mille[modifier | modifier le code] Les Dix Mille dont l'arrière-garde était commandée par Xénophon aperçoivent la mer : Thalassa ! Athènes et Sparte[modifier | modifier le code] À son retour à Athènes, il est mal accueilli. Scillonte (394-374)[modifier | modifier le code] Xenophon in Thomas Stanley History of Philosophy Les dernières années, Corinthe[modifier | modifier le code] Trad. Nicandre de Colophon. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Nicandre. Nicandre, Xe siècle, Constantinople Il est l'auteur de nombreuses œuvres, tant en prose qu'en vers, mais seulement deux, traitant de médecine et de pharmacie, ont été conservées.

La première est Thèriaka (Θηριακά), longue de 958 hexamètres. Elle traite principalement de la question des blessures causés par les animaux venimeux ainsi que de leur traitement. Il décrit douze espèces de serpents dont certaines sont parfaitement reconnaissables. Il décrit aussi des salamandres, des cantharides, des araignées, des scorpions, des papillons (dont il est le premier à signaler le pouvoir urticants de certaines espèces). Sa seconde œuvre sont les Alexipharmaka (Αλεξιφάρμακα) de 630 vers hexamètre. Ben Sira. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ben Sira est un érudit juif qui écrivit au IIe siècle avant notre ère, vers -180, un des livres poétiques de l'Ancien Testament, le Siracide, appelé aussi Ecclésiastique[1]. Il est dénommé de multiples façons : Sira, Sirach, Jesus ben Sirach, Sophia ben Sirach, Siracides...

On lui attribue également un recueil de sagesse appelé Alphabet de Ben Sira, daté en réalité entre les VIIIe et Xe siècles. Les sources anciennes du texte[modifier | modifier le code] Ben Sira écrivit le Siracide en hébreu, au milieu du second siècle avant notre ère, peut-être à Alexandrie où on pense qu'il aurait fondé une école. Son petit-fils, vivant en Égypte, traduisit le Siracide en grec, y ajoutant une préface. La traduction grecque nous est parvenue, par de nombreux manuscrits, sous deux formes (appelées Gr. Divers fragments du chapitre 6 furent découverts à Qumrân dans les années 1950.

Une traduction latine ancienne de la version grecque Gr. Taylorisme. Wojciech Jastrzębowski. Hywel Murrell Award. Elton Mayo. Jean-Maurice Lahy. Camille Soula. Jacques Leplat. André Ombredane. Jean-Marie Faverge.