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Sexisme chez Disney Studios

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“Help, My Eyeball is Bigger than My Wrist!”: Gender Dimorphism in Frozen. I can’t offer much in the crowded field of Disney gender criticism.

“Help, My Eyeball is Bigger than My Wrist!”: Gender Dimorphism in Frozen

But I do want to update my running series on the company’s animated gender dimorphism. The latest installment is Frozen. Just when I was wondering what the body dimensions of the supposedly-human characters were, the script conveniently supplied the dimorphism money-shot: hand-in-hand romantic leads, with perfect composition for both eye-size and hand-size comparisons: 7 problematic lessons Disney movies teach to boys about masculinity. Tiny Wrists & Freakishly Huge Eyes. With Brave and, more recently, Frozen, Disney has garnered praise for embracing female-centric stories (finally!).

Tiny Wrists & Freakishly Huge Eyes

But Disney princesses still have a long way to go. Despite being kick-ass females in their own right, Disney princesses seem to always need male love interests to complete them. On top of that, they all pretty much look the same and they’re always supposed to be pretty and not show too much expression. It turns out that even Disney princesses’ wrists ooze sexism. Philip N. Pin it Perhaps even more freaky is Cohen’s realization that our Frozen heroine’s eye is bigger than her wrist.

To prove the obvious ridiculous difference between male and female characters’ wrists, Cohen used statistics on male and female wrist size of U.S. You might argue that Disney is a cartoon, hence the exaggeration of features. Frozen - A Musical feat. Disney Princesses. Quand on trouve des images érotiques (et plus) dans les Disney, ça brise une jeunesse. Disney, le monde de la magie, des princes, des princesses… et du sexe, apparemment.

Quand on trouve des images érotiques (et plus) dans les Disney, ça brise une jeunesse

Dans certains dessins animés, quelques images subliminales se sont glissées dans les longs-métrages. Et il faut vraiment être attentif pour se rendre compte de la discrétion de la chose. À moins que ce ne soit nous qui ayons l’esprit perverti. Ou pas. À vous de juger ! Faudrait voir l’architecte de ce château… (La Petite Sirène) Troublante robe chez Mickey et Minnie Chaude flamme ( Le bossu de Notre-Dame) The Amazing Rejection Letter Disney Sent In 1938 To A Woman Who Wanted To Be An Animator. By Alyssa Rosenberg on January 9, 2014 at 1:50 pm "The Amazing Rejection Letter Disney Sent In 1938 To A Woman Who Wanted To Be An Animator" CREDIT: sim sandwich I’ve read artist and animator Bill Peet’s autobiography, which offers up a fairly hairy portrait of working with Walt Disney in the early days of the company’s animation golden age.

The Amazing Rejection Letter Disney Sent In 1938 To A Woman Who Wanted To Be An Animator

Disney Princesses, Deconstructed. By Lisa Wade, PhD, Oct 25, 2009, at 10:37 am Jeff Brunner put together this analysis of the evolution of the Disney princess.

Disney Princesses, Deconstructed

What do you think? Progress? Pères et mères chez Disney : qui a le beau rôle ? La sortie cet été de Rebelle est une bonne occasion de revenir sur les figures de pères et de mères qui peuplent les « classiques d’animation Disney ».

Pères et mères chez Disney : qui a le beau rôle ?

En effet, dans le portrait qu’il fait des parents de Merida, Rebelle semble exacerber une tendance présente depuis longtemps dans les longs métrages d’animation du studio, et qui consiste à dépeindre de manière radicalement différente (et totalement sexiste) les pères et mères des héros/héroïnes. En effet, ici, c’est la reine Elinor seule qui s’oppose à la volonté de sa fille en cherchant à tout prix à en faire une princesse, c’est-à-dire une femme distinguée, charmante, douce, soumise, et surtout mariée. Rebelle (2012) : mater la rousse. Parce qu’il est centré sur une fille qui n’aspire pas à la vie de princesse à laquelle on veut la soumettre, le dernier film de Disney/Pixar a pu passer pour féministe aux yeux de certain-e-s critiques.

Rebelle (2012) : mater la rousse

Le magazine Elle le qualifie ainsi de « conte de fées moderne et féministe »[1], et Télérama va dans le même sens en se réjouissant de voir Disney persévérer dans la « veine capillaire » inaugurée par « l’insolente Raiponce »[2] (j’ai personnellement du mal à voir comment on peut qualifier Raiponce d’« insolente » mais passons… Cf. sur ce site l’article consacré à ce film). C’est vrai qu’il y avait a priori de bonnes raisons de se réjouir. En effet, Rebelle est le premier long métrage de Pixar à avoir un personnage féminin pour protagoniste (il était temps, après 12 longs métrages et 26 ans d’activité… Mieux vaut tard que jamais comme on dit).

La Reine des Neiges ou : quand Disney avance d’un pas et recule de trois. Depuis quelques années, Disney semble attentif à ne blesser personne pour ne s’attirer les foudres d’aucun public : en témoignent des films pleins de compromis, pas aussi dégradants qu’un Blanche Neige que l’époque peut justifier mais néanmoins encore emplis de clichés nauséabonds.

La Reine des Neiges ou : quand Disney avance d’un pas et recule de trois.

Par exemple, en réponse à des critiques, le nom et la profession de l’héroïne de La princesse et la grenouille ont été changés : l’héroïne s’appelait initialement Maddy, un nom qui rappelle l’esclavage, et travaillait comme femme de chambre d’une femme blanche. Globalement, le studio semble tenter de se montrer plus progressiste, ce qu’on a vu avec Il était une fois, La princesse et la grenouille, Raiponce, les Mondes de Ralph.

Une histoire de sœurs ou la Womance chez Disney. Mon dieu mais que vois-je ? Non pas une mais DEUX héroïnes ?! Là, la solidarité féminine est le cœur de l’intrigue de La Reine des Neiges ; ce qui motive les actions des deux héroïnes et résout les problèmes. Mickey Mouse Monopoly - A video examination of Disney and race, gender, and class. Study guide to Mickey Mouse Monopoly. Approche de la représentation de la femme dans Mulan et Rebelle des studios Disney. Par Manuel Gauvin Illustrations : Alice Schneider La preuve de la forte présence et de l’influence des dessins animés1 Disney dans la culture occidentale et dans son exportation à l’étranger n’est plus à faire.

Approche de la représentation de la femme dans Mulan et Rebelle des studios Disney.

Il suffirait de regarder le nombre de langues dans lequel chaque nouvelle production des studios Disney est traduite. Les enfants sont majoritairement le public visé par ces dessins animés, même si les studios ont depuis longtemps fait preuve d’une volonté d’élargir aux adultes. Ainsi il est intéressant d’étudier, de questionner, les images, les représentations du monde qui y sont données.

En partant de ces affirmations, il devient intéressant d’étudier ces représentations, d’analyser l’image du monde qui est donnée au public des dessins animés Disney. Ces deux films sont Mulan, sorti en 1998, et Rebelle, sorti en 2012. Commençons tout d’abord par un bref résumé des intrigues de chaque film. Les deux films présentent au début une série de règles à suivre par la femme.